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MOBILISATION DES CONNAISSANCES

Par   •  29 Septembre 2017  •  997 Mots (4 Pages)  •  620 Vues

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qui a vue son PIB augmenter de 16,5% en 1994. Cet exemple est intéressant pour la question qui touche au bien-être. Ce pays a donc été sujet a une importante progression mais, sa population est resté pauvre avec beaucoup de meurtre, de corruption et profondément touché par la drogue dure.

Les externalités négatives sont des conséquences négatives pour un agent économique, de l’activité d’autres agents économique, sans que ceux-ci n’en supportent le coût. Ces externalités sont des conséquences facheuses de la production de richesse et inversement. Prenons un exemple dans lequel suite a un accident de la route, l’automobiliste devra racheter une voiture, cela créera une demande, donc une offre qui augmentera la production et fera augmenter le PIB, tout cela sans prendre en compte les dégâts causés et peut-être le décès d’un passager, qui supposerait de faire baisser le PIB.

Le PIB ne nous donne aucune information sur la façon dont est repartie la richesse entre individus. Un pays peut avoir un PIB très élevé mais une population vivant majoritairement en-dessous du seuil de pauvreté. En France par exemple les moins bien lotis perçoivent environ 6 fois moins de la masse totale des revenus que les mieux lotis. Cette inégale répartition affecte obligatoirement le bien-être et le bonheur de la population, les dépenses sont généralement orientés vers des besoins primaires et laisse peu voir aucun budget pour les activités, les sorties culturelles, ce qui implicitement conduit a des écarts sociaux.

II -Mais le PIB reste indispensable

Malgré tout, le PIB fait partie des indicateurs utiles, il est simple, est utilisé par tout les pays permet donc de suivre la conjoncture d’une économie, de comparer la croissance économique dans le temps et dans l’espace. Il permet aussi de calculer les déficit, les dettes publiques, les dépenses publique ou encore les prélèvements obligatoires. Il reste compréhensif aux yeux de tous si le PIB augmente c’est bien et si il baisse c’est mal.

On pourrait ajouter des valeurs aux côtés du PIB pour une réel idée globale et objective sur un pays, tel : le coefficient de Gini qui mesure le degré d’inégalité d’une société ou encore l’Indice de développement humain (IDH), qui prend en compte le PIB/hab, l’espérance de vie et le taux d’alphabétisation. Ces deux outils sont plus relatif au bien être et à la qualité de vie d’une population, que la richesse créée. Tant d’outils serait intéressant mais complexifierait le sujet. Ce serait compréhensif et claire pour certains ayant des quelques bases en économie tandis que pour d’autre ce serait incompréhensible et embrouillerait certains à cause de trop de donnée.

Conclusion

De nos jour, le PIB est donc LA valeur sûre, mais il faut être vigilant, il reflète certe une économie mais pas un population. Le PIB est présent pour déterminer des mesures économique qui vise des objectifs supérieur, et non pour determiner le bien être mais ces deux choses sont intimement liés car un gouvernement à pour principal objectif le bien-être de son peuple, et doit prendre des décisions économique et politique en fonction de ce dernier et non d’un indicateur qui ne le prends pas

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