Principes méthodologiques de l'économie
Par Raze • 9 Mai 2018 • 2 728 Mots (11 Pages) • 505 Vues
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Seulement c'est pas toujours vrais, il montre le paradoxe de l'eau et du diamant.
J-b.Jay lui aussi et l'auteur d'une loi :
l'offre créer sa propre demande
Offre Distri° de Rev L= C+I = Demande K S=I
Il ne peu pas avoir de crise grave. Selon JB. Say les crises ne peuvent être que des crises mineurs, sectoriel car il y à toujours une adéquation entre l'offre et la demande. Cette crise des débouchés à une autre formulation, la monnaie est un voile. Enfin de compte on échangerais. On comprend donc que la monnaie, la quantité de monnaie ne doit pas augmenter plus vite que la production, sinon on aura de l'inflation.
Parmi les classiques il y à aussi des pessimistes, Malthus, D.Ricardo.
Malthus est connut pour sa loi : la loi de population, il fait des études et il constate que la pop augmenterais bcp plus vite que les richesses et surtout agricoles. La population suivrais une augmentation géométrique et les richesses une augmentation arithmétique.
L'écart entre les 2 va créer de la mortalité de la pauvreté, une aug du prix des céréales et donc une diminution des richesses puisqu'on va concentrer toutes les richesses pour nourrir et on va plus pouvoir créer des richesses industrielles.
A l'époque de Malthus pour avoir un enfant à l'âge de 18 ans, une femme devait avoir 7 enfants car trop de mortalité. Pour Malthus cette loi entraîne la pauvreté et empêche d'augmenter la richesse des nations. Il sera contre tout les dons qui seront donné généreusement par les plus richesse, il ne veut pas la loi pour aider les pauvres. Il va être fav au célibat. Il va ce prononcer contre le remariage.
Une politique Malthusienne est une politique qui limite le nbr d'enfants. Pour Malthus la croissance n'est pas possible. Ricardo à repris la loi de population de Malthus et à aboutie à une autre loi : la loi de l'état stationnaire. La loi de l'état stationnaire c'est l'idée suivant c'est qu'une économie ne peu pas à long termes connaître une croissance forte. Sauf qu'aujourd'hui d'autre économiste reprenne l'idée notamment avec les problèmes écologistes, que la croissance 0 est nécessaire.
David Ricardo est aussi à l'origine des avantages comparatifs, qu'il reprend d'Adam Smith et qu'il développe. C'est aussi un éco pessimiste. Il pense que la dynamique éco conduira à un état stationnaire càd à un non développement ( à une croissance 0). Pour cela il reprend la loi de pop de malthus en la développement pour montrer les conséquences sur l'acti éco . On peux donc noter
la loi de pop entraîne une richesse insuffisante => les prix agricoles augmentent =>, une diminution du pouvoir d'achat de la pop => les autres activités ne peuvent pas ce développer => aucune innovation => les autres ne peuvent pas se développer => l'épargne diminue=> l'investissement baisse => l'innovation est donc freinés et tout cela donne un état stationnaire.
Comme les richesses agricoles sont insuffisantes, ont va donc utiliser des terres de moins en moins fertile de moins en moins rentables => cela va augmenter le plus des produits agricoles liée à la diminution de la production du travail. Ricardo appel sa la théorie de la rente. A l'instar de Ricardo Rostow montre dans un de ce ouvrage la grande croissance, pour qu'un pays connaisse un développement économique ( pays en voie de développement a pays développer) pour connaître le take off il faut qu'il obtienne un taux d'épargne d'au moins de 13 % pendant au moins 1 décennie pour commencer à connaître ce décollage.
Pour lever cette état stationnaire ou pour le reculer dans le temps il reprend la théorie d'Adam Smith dans la théorie des avantages absolue, mais montre que même si on à aucun avantage absolue, on peu profiter du commerce mondial, théorie des avantages comparatifs ( un pays gagnera à l'échange, augmentera ses richesses en ce spécialisant dans les productions pour lesquels il à le plus gros avantages ou le plus petit avantage), un pays à intérêt à ce spécialiser et ainsi à augmenter ses richesses.
Ricardo est l'économiste classique le plus développer, il n'est pas favorable à l'intervention de l'état.
C'est notamment des travaux de Ricardo que va naître les néo classiques. Ils vont faire une étude micro économique, l'individu est calculateur, il fait toujours le meilleur choix ( comportement du conso, du producteur)
Cette école néoclassique est libérale, qui veut montrer les bien faits du marchés, et l'inefficasité de l'état, pour cela ils vont utiliser les mathématiques. Ces écoles néoclassique sont née à partir des années 1870 dans 3 lieux différents et sans ce connaitrent. L'école de Viennes ( école autrichienne)
qui à pour fondateur Menger et qui à eu une ora importante avec Hayek. Ensuite on à l'école de Cambridge ( école anglaise) avec pour chef de fil Jevons, et surtout Marshall ( schéma de l'équilibre partiel, il démontre comment on peut obtenir l'équilibre sur 1 marché).
L'école de Lausanne avec à sa tête un éco français Walras, va avoir une ambition plus grande, qui est de connaître et de comprendre l'équilibre générale, il va écrit sur l'équilibre générale, càd l'équilibre sur tout les marchés, l'équilibre simultanée sur tout les marchés. Le poursuivant de Walras et Pareto et lui il va montrer que l'équilibre générale grâce aux fonctionnement des marchés permet la meilleure situation, situation optimale. Pareto montre ainsi que le système capitaliste est un système idéal, système parfait. Le modèle de concurrence pur et parfaite, n'à pas pour obj de décrire la réalité, ce sont des théorisiens, ils sont là pour donner un idéal vers le quel il faut tendre. Ce modèle de marché, est un idéal type au sens de Marx Weber, càd un modèle qui n'est pas réel mais qui doit nous orienter dans les actions des uns et des autres.
Ces auteurs ne sont donc pas capable d'expliquer les déséquilibres. Ce ne sont pas des practisiens, des pragmatiques, ce sont des théorisiens. Face à ses néoclassiques qui n'expliquent pas les crises, la pauvreté, l'inflation, va naître
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