Le taux de chômage chez les jeunes
Par Junecooper • 17 Décembre 2017 • 1 738 Mots (7 Pages) • 856 Vues
...
formation donner dans les écoles est elles ce que les entreprises ont besoin ? On dirait bien que non, les dirigeants trouvent que les jeunes diplômés ne sont pas assez qualifiés et pourtant ils sortent de l’école. Qui est en tort? Est-ce que les entreprises refusent de former la main-d’œuvre ou bien les besoins sont mal ciblés par les institutions d’enseignement ? Les écoles sont-elles en mesure de prévoir la demande des entreprises?
COMMENT RÉDUIRE OU CONTRER LES EFFETS DISCRIMINATOIRES PAR RAPPORT AUX JEUNES DIPLÔMÉS.
De plus en plus, le gouvernement fait son bout de chemin pour aider les jeunes diplômés à se décrocher un emploi. Bien sûr, c’est dans des domaines bien précis, comme par exemple le multimédia ou les nouvelles technologies. Des disciplines ou les jeunes excellent et ou les générations précédentes n’ont pas beaucoup d’expérience. Au Québec, une réforme de l’aide social permet aux jeunes de participés à des programmes de formation, des stages en entreprise ou divers mesures d’intégration en emploi.
«On cherche moins à créer des emplois pour contrer une pénurie qu’à combler les lacunes chez les jeunes. On pense en effet que les jeunes sans emploi sont exclus parce que leurs compétences ou leurs qualifications sont insuffisantes pour leur permettre de s’intégrer au marché du travail. C’est dans ce contexte que le soutien à la formation et à l’insertion, au moyen de programmes de formation et d’employabilité visant à améliorer les qualifications et les compétences, en vient à prédominer dans les stratégies à l’intention des jeunes.»
PISTE DE SOLUTIONS ET STRATÉGIES D’INTERVENTION
Les entreprises peuvent grandement contribuer à diminuer le taux de chômage chez les jeunes diplômés. Premièrement, les organisations pourraient laisser une chance aux jeunes et les embaucher malgré le manque d’expérience. De plus, ils auraient avantage à changer le style de formation en jumelant un nouveau avec une personne expérimenté, pour qu’elles puissent acquérir les diverses compétences manquantes à sa formation scolaire.
Investir dans la formation en mettant l’accent sur une culture d’entreprise qui mise sur la formation. Il serait plus aisé pour eux de conserver leur personnel et d’établir des plans de relève qui les aideront à éviter les coûts liés à la rotation du personnel ainsi que les crises de l’embauche.
Le système dual comme en Allemagne pourrait être une autre solution intéressante. Ce pays à instaurer une alternance travail-étude et de cette façon les étudiants pourraient acquérir de l’expérience tout au long de leur formation et adapter leur apprentissage selon les besoins de l’entreprise.
Est-ce au communautaire d’agir? «Dans un contexte économique relativement difficile pour l’intégration des jeunes sur le marché du travail depuis deux décennies, et compte tenu des difficultés persistantes pour les jeunes non qualifiés ou «à problèmes» délaissé par l’État et surtout par les entreprises, d’autres organismes ont été mis sur pied pour pallier les lacunes observées. C’est ainsi que, au fil des ans, un bon nombre d’organismes communautaire ont investi ce champ au Québec. Le secteur communautaire (solidaire ou associatif) représente donc au Québec un acteur important dans le développement de l’employabilité et de la formation en vue d’améliorer les qualifications des individus et la compétence des organisations où ils peuvent éventuellement s’intégrer.» l’État aurait-elle avantage a sous-traité les services communautaire dans la but de trouver des solutions au taux de chômage chez les jeunes?
CONCLUSION
Les employeurs ne sont qu’une infime partie de la réponse. Les gouvernements et les établissements d’enseignement doivent également revoir leurs politiques pour garantir que les finissants bénéficient de la protection, de l’aide et de l’éducation requises pour assurer leur réussite a tous les niveaux et permettre à leur entreprise de prospéré.
Même si la réforme de 1990 a beaucoup diminué le taux de chômage chez les jeunes passant de 75% en 1990 à 25% à la fin des années 1990, il reste beaucoup de chemin à faire pour contrer les difficultés vécues par les jeunes.
Autant pour les entreprises que pour les jeunes travailleurs, les exigences devront être revues à la baisse. Les compagnies devront investir dans la formation et faire confiance à du personnel avec moins d’expérience et les finissant devront baisser leurs attentes face au salaire et au poste qu’ils occuperont a la fin de leur cours. Il faut commencer au bas de l’échelle.
Bibliographie
1. http://www.adecco.ca/articles/La-menace-du-ch%C3%B4mage-chez-les-jeunes.html
2. Diane –Gabrielle Tremblay (2004) Économie du travail : Les réalités et les approches théoriques. 4e éd. Québec : Télé-université.116 p.
3. Diane –Gabrielle Tremblay (2004) Économie du travail : Les réalités et les approches théoriques. 4e éd. Québec : Télé-université.120 p.
4. Diane –Gabrielle Tremblay (2004) Économie du travail : Les réalités et les approches théoriques. 4e éd. Québec : Télé-université.119 p.
5. http://www.adecco.ca/articles/La-menace-du-ch%C3%B4mage-chez-les-jeunes.html
6. Diane –Gabrielle Tremblay (2004) Économie du travail : Les réalités et les approches théoriques. 4e éd. Québec : Télé-université.119 p.
7. Diane –Gabrielle Tremblay (2004) Économie du travail : Les réalités et les approches théoriques. 4e éd. Québec : Télé-université.124 p.
8. Diane –Gabrielle Tremblay (2004) Économie du travail : Les réalités
...