Caligula et le jeune Scipion
Par Orhan • 26 Juillet 2017 • 1 347 Mots (6 Pages) • 826 Vues
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Mais Scipion place vite une limite, romp la symbiose qui se cree entre eux a ça « je ne suis pas Caligula » « je suis plus humain » (chose que n’est plus Cali) « je ne peux pas exercer ma vision du monde »
III. Une brèche vite refermée
Entrée en scène du jeune sc agréable et apaisée
L’ évocation de la nature a permis par le lyrisme :
-l’ouverte d’un scénique etouffant et etouffé par la tyrannie. Cet espace est a l’extérieur du palais ce qui est propice a la méditation
-fratérnité et solidarité, chose qui est conseillé par camus afin de depasser l’absurdité de la vie, et donc un espoir
-d’entrevoir une autre vérité du personna
MAIS rupture annoncée sur le ton du lyrisme et de la nature avec complement de nom « silence » l55 + partcipie passé « pourries « l55
Le dalogue dialectique laisse place a une tyrade, ou scipion est abscent et qui permet a Caligula d’avoir le dernier mot
‘adverbe « brusquement « 56 + méthaphore du changement du visage de Caligula « le ciel qui bascule » l38 ce qui révele que Caligula rebascule dans la tyrannie apres :
- le jeu L61qui a ete joue au passé et au present et qui est plus renforce par l’adverbe encore « j’ai joué » l63→ mais depuis quand ?
- b.la lucidité . C'est avec « tristesse » qu'il avoue « j'ai joué » et la remarque de Scipion « comme tan de mal et de haine » groupe binaire « doivent te torturé » vont provoquer Caligula : il dévoilé ses angoissent c'est la gradation dans la didascalie qui nous le fait comprendre « douce » « avec colère » « éclatante »
Ce portrait de Cali que l’on connaissait et fait par scipion « l61/ 64 65 69, renforcé par sa revolte (sc) interjection + pt d’exclamation + emphase « comme » → confirmé par le chgmt d’attitude de Cali, chose qui apparaît dans les didascalies 68 70 par l’augmentation de la violence et de la tention + les impératifs « tais toi » X2 L68 66+ reprise d’un lexique de la mort « sang/tués/emposoné » ainsi que les quest rhétor de la tirade
Toutefois, Cali apparaît comme un Jeune Homme épris d’idéal et paratge « les m^vérités » que Scipion l47 et « la force de ma passion pour la vie « L52 »
- tentation d’une amitié offerte L83 → L82 l’empathie de scipion + L84 l’humanité
- Cepandant Caligula éprouve un profond mépris envers les dieux, lui meme et envers les autres
En effet ce dernier et marqué par sa solitude souligné par le champs lexicale « seule, silence , solitude » l69, + la reprise anaphorique de « entiere + toute entiere » l79 + 80
+ adverbe de temps et de lieu + modalisateur Jamais/ Partout
La reccurence de ce terme montre que cela est l'obsession de Caligula.
Cette obsession est croissante par les antithèses qui accompagne ce substantif dans la longue tirade de Caligula « peuplé grincement de dents » L78» « retentissante de bruit et de charmeur perdues »+ accumulation paradoxale ( il parle bcp et accumule psr chose, alors que la solitude est vide normalement)
Caligula est hors de sa société, seul comme personne ne peut l’etre, il epruve en effet un solitude singuliere, exprimée par la mise en // de « la mienne » l76 + « ma solitude » + cette solitide » VS « laquelle »l 71 + « la vraie » 76+ « la tienne »69 et celle des poetes 71
c.est ce le vrai personnage ?
En effet nous avons devant nous un personnage versatile, surprenant, attachant et détestable : il semble malheureux et fatigué : « lassitude » « exténué » « lentement » se remarque sur l'importance sexuel de la femme peut nous rappeler le disparition problématique de Drussilla « de l' aigre odeur ... mes côtés » et déjà l'adjectif péjoratif aigre annonce le mot qui clos la scène le « mépris » . On retrouve peut-être cette véracité du personnage dans l'affirmation antithétique « tu es pur dans le bien, comme je suis pur dans le mal »
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