Communication organisationnelle
Par Christopher • 27 Septembre 2018 • 1 187 Mots (5 Pages) • 544 Vues
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Pour que la procédure de mobiliser les personnes soit plus efficace, la primauté de la personne doit passer avant les directives et les orientations. Cette primauté englobe le rapprochement des membres, la clarté des idées et de l’information et la conviction que chaque membre est important pour le groupe. Si la culture organisationnelle (n’oublions pas qu’elle est commune à tous) trouve de résistances ou de menaces à l’harmonie du groupe, l’adoption d’actions, comme les suivantes, peuvent favoriser l’adoption des normes positives : tenir de réunions pour arriver à une entente sur les objectifis du groupe, fournir de l’encadrement et de la formation aux membres, renforcer et récompenser les comportements souhaitables, tenir des réunions de rétroaction et d’évaluation du résultat, et tenir des réunions pour planifier les améliorations.
Les personnes sont différentes les unes des autres. Chacune a sa propre façon de visualiser et d’interpréter les situations selon leur origine et l’idée personnelle du monde qui l’entoure. Pour quelques-unes, travailler en équipe est préférable en tant que pour quelques-autres, cette sorte de travail est évitable. On peut, toutefois, en profiter et adapter chaque caractéristique selon le besoin de réalisation des tâches et des activités réalisées dans l’organisation.
Quant à la question d’être objective ou subjective, je dirais que la culture organisationnelle présente les deux caractéristiques: subjective parce que cette culture a été créée par les fondateurs de l’organisation et enseignée à ses membres qui y arrivent avec sa culture personnelle. Ces membres possèdent une certaine divergence d’opinions à cause du point de vue de chacun, et par conséquent, la compréhension des nouvelles informations devient relative. Cette culture organisationnelle doit être bien comprise pour que tous parlent le même langage de comportement et pour que l’organisation arrive à son objectif déterminé.
Si cette culture organisationnelle n’est pas bien interprétée par un de ses membres, les actions de ce membre iront différer des actions des autres membres et il sera noté. Il faut donc lui retransmettre autrement cette culture organisationnelle pour qu’il soit en conformité au groupe. Il arrive souvent que les normes sont informelles parce qu’elles ne sont pas écrites et sont reconnues et acceptables par tous. Mis à part ça, chaque organisation a sa propre culture organisationnelle vu que son histoire et ses caractéristiques sont uniques. Donc quand une personne part d’une organisation et commence à travailler dans une autre, elle doit apprendre une nouvelle culture organisationnelle qui lui professe une nouvelle vision partagée parmi ses membres.
Quant à son côté objectif, je l’identifie quand nous pouvons observer quelques caractéristiques symboliques organisationnelles comme les réunions journalières avant le début des activités, les uniformes avec telle couleur qui représente une valeur pour la compagnie et les installations physiques (layout) où les employés travaillent ensemble ou séparés, par exemple.
Enfin, la diversité de traitements que nous pouvons donner au sujet de la culture organisationnelle montre que cette culture est subjective et objectif face à plusieurs regards sur les plus variés scénairios possibles.
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