Quel rôle pour les banques aujourd’hui

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Les banques d’aujourd’hui vont devoir faire face a des risques : risque d’insolvabilité lié au crédit, c’est le fait qu’une personne à qui la banque a prêté de l’argent soit dans l’impossibilité de le rembourser. Soit par manque d’argent, ou pour un autre motif. Il y a ensuite un risque de change c'est-à-dire lorsque les banques vont faire des transferts d’argent a l’étranger (par exemple un emprunt) elles s’exposent aux risque de changement du taux de change donc à la perte d’argent sur la totalité des opérations. Si le taux de change évolue défavorablement aux banques (ex : le rapport $/€ diminue les banques vont devoir payer un coût supplémentaire pour combler l’écart créé).

Elles doivent faire face ensuite à un risque de liquidité, c'est-à-dire qu’elles ont un risque que si les clients viennent retirer tous leur argent elles n’aient pas les liquidités suffisantes pour assumer ces opérations.

- Une nouvelle fragilité des banques

Suite aux différentes crises, les banques sont devenues plus fragiles, c'est-à-dire qu’elle se sont retrouver au bord de la faillite ou ont dû fermer leurs portes. L’Etat se préoccupe donc de la santé des établissements bancaires car ils ont un plus grand impacte sur l’économie qu’une entreprise classique. Parfois même l’Etat intervient auprès des banques : c’est ce que l’on appelle l’intervention publique

Conclusion :

Les banques représentent donc un facteur essentiel de l’économie puisqu’elles assurent l’intermédiation entre les différents agents économiques. Elles permettent de recevoir, gérer, et garder les fonds déposés par ses clients et permettent d’octroyer des crédits. Ces banques font aujourd’hui face à de nombreux risques tels que le risque de liquidité, risque lié au crédit, etc.

Les banques étant devenues des agents incontournables de l’économie, les Etats sont obligés de les protéger car une faillite des banques liée à leurs nombreux risques pourrai entrainer une crise bancaire.

Les Etats vont donc chercher des solutions par le biais de réformes pour atténuer les risques liés aux banques.