ORAL Mémoire Sport & handicap

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Ce travail de recherche m’a donc amené a découvrir et d’analyser l’impact du sport sur le quotidien de personne trisomique 21. Et faire les constats suivants :

- La pratique sportive est une source de plaisir, d’amélioration de qualité de vie et d’épanouissement personnel.

- Elle développe son autonomie et une meilleure estime de soi et de ses capacités corporelles.

- Lutte contre le surpoids, l’obésité et l’exclusion sociale

- Avoir une nouvelle image du handicap qui fait accepter l’adhésion de ces personnes en club sportif adapté, en milieu ordinaire et aussi en société.

- Il faut une amélioration concernant la mobilité de ces personnes.

Au terme de ma démarche, j'en suis arrivée à me poser la problématique suivante:« En quoi la pratique d’un sport peut-elle favorisé l’intégration sociale des personnes atteintes du syndrome de down ? »

Suite à cette problématique j’ai pu faire une proposition de réponse à ma question de départ, je propose donc l’hypothèse suivant :

Le sport est reconnu comme producteur de lien social et les pratiques sportives sont des supports essentiels de la vie sociale, sources d’engagement et d’épanouissement personnel. Les personnes porteuses du syndrome de Down lorsqu’elles pratiquent un sport ou une activité sportive peuvent renforcer leur sentiment d’appartenance à un groupe et renforce leur lien social. Cette construction de lien social peut avoir des conséquences sur leur intégration. Ainsi, quel que soit le sport qu’elles pratiquent, il permet de favoriser leur intégration sociale et donc améliorer également leur quotidien.

Comme j’ai pu développer dans mon mémoire, je traite essentiellement des apports individuels à la personne. Il sera dont intéressant de pousser ce sujet et d’étudier cette démarche de manière collective. Notamment concernant leur intégration sociale au quotidien mais en groupe.

Pour aller plus loin dans ma réflexion d’hypothèse, je peux dire que la pratique sportive permet de partager une activité au sein d'un groupe et d'exister aux yeux des autres. Qu’il pouvait entrainer un ralentissement des conséquences du au handicap et que peut aider a favorisé leur intégration Par ailleurs, le sport apporte des enseignements sur la socialisation comme l’apprentissage a communique, de la discipline, du respect d’autrui et des règles. Le sport permet de facilité les échanges et les interactions avec d’autre personne (quel soit atteintes de handicap ou non). Grâce à ces rencontres, leur propre identité et l’identité de leur collectivité sont valorisées et permet une valorisation de leur estime de soi. Ainsi, les personnes porteuses de handicap ou de trisomie 21 ne se sentent plus mises à l’écart et entre dans un processus d’intégration sociale grâce au sport.

Afin de vérifier cette hypothèse, je vous propose le plan d’investigation suivant :

Dans un premier temps approfondir et élargir mon champs de recherche grâce à de nouvelle lecture et à la définition de nouveau concept.

Ensuite, concernant l’étude sur le terrain je compte retourner voir les professionnelles que j’ai déjà rencontrées précédemment, temps afin de réaliser de nouveau entretien mais avec de nouvelles questions et de répondre à mon hypothèse. Puis dans un second temps je l’ai solliciterai s’ils peuvent m’oriente de nouveau professionnelles ou de me présenter des personnes atteintes de trisomie 21 qui accepterai d’échanger et de vérifier l’hypothèse du mémoire.

Aussi j’aimerai ajouter que l’intervention d’une CESF peut être intéressante par rapport à la notion d’insérer une activité sportive ou un sport dans le projet de vie de personne en situation de handicap.

En effet, quel est la place de la CESF

Une CESF peut être amené à travailler et à accompagner des personnes en situation de handicap (dont les personnes atteintes de trisomie 21) Dans le cadre d’un travail auprès de personnes atteintes de handicap, une CESF peut avoir deux aspects dans l’accompagnement. D’un côté un rôle administratif puis de l’autre un accompagnement plus éducatif sur son quotidien. A travers ce mémoire, j’ai voulu développer le côté éducatif des compétences de la CESF. Notamment sur leur quotidien en leur soumettant des actions, activités sportives que l’institution propose par exemple. Les compétences de CESF lui permettent de mettre en place des ateliers ou des activités développer en partenariat avec d’autre professionnelle. Ou de les accompagner à accéder à un sport dont il rencontre des freins (comme citées dans ce mémoire ci-dessus)

En conclusion, ce travail de recherche, d’analyse et de réflexion a été très enrichissant. Cette recherche m’a permis de mettre en évidence les difficultés que peuvent rencontrés les personnes atteintes de handicap mentale à vouloir pratiquer un sport et sur leur quotidien. Il m’a aidé de comprendre et de développer mes connaissances au près d’un public et de quel manière ils ont besoin d’être accompagné qui pourra m’être utile professionnellement. Enfin, la réalisation de ce mémoire m’aura permis de me confronter à la mise en œuvre d’une démarche d’initiation à la recherche qui s’appuie sur la collecte et l’analyse des données théorique et de terrain. Ce terrain m’a permis d’être au courant de la législation en lien avec le handicap mental et de prendre confiance en moi lors des entretiens. (qui sont deux notions essentielles en tant que futur CESF)

Comme en IME, IMPro, ESAT, SAVS, CAP EMPLOI…