Les rapports du droit et de la religion
Par Andrea • 8 Novembre 2018 • 1 497 Mots (6 Pages) • 583 Vues
...
Actualité qui vient à faire des amalgames, qui change la perception de la religion musulmane → affaire de la jupe
La pratique individuelle de la religion pose problème au citoyen : elle ne doit pas mettre en cause les pratiques de la laïcité
CCL : passage d’une laïcité par souci d’ égalité à une laïcité de combat suite au contexte économique, politique et culturelle
PLAN MANON et BETTY
Pb : Le droit est-il alors réellement séparé de la religion ?
I – Le droit désengagé de la religion
- Le principe de laïcité
- Des lois pour en garantir l’efficacité
II – Un droit inévitablement relié à la religion
- De la laïcité neutre à la laïcité de combat
- Des sortes de pratiques condamnées par le droit
Conseils : Intro : manque réflexion personnelle, droit comparé ou une évolution historique → besoin de préciser le contexte d’avant 1905 → on ne supprime pas toutes les références à la religion d’un coup
Pb : rapport n’est pas forcément séparation → n’épuise pas le sujet → rapport de complémentarité, d’exclusion… utilisé l’Histoire pour préciser que la Religion a longtemps inspiré le Droit, qu’en est-il aujourd’hui ? Pense à faire un cercle concentrique très large → Concrètement il faut parler de tout ce qu’on a mis dans ce cercle. Vous dites, on passe de rapport pacifié à un rapport de conflit, il faut expliquer pourquoi dès l’intro. Il faut parler de la laïcité de combat dans ton intro. Expliquer pourquoi ce revirement ? Réponse : pratique religieuse tolérer à condition de ne pas troublé l’ordre public.
Intro doit être recto + moitié verso ne pas tenter de la rétrécir, il faut la développer dans tous les sens → il faut faire de l’Histoire (qui justifie les rapports actuels) , du Droit comparé (par rapport à d’autres pays→ici comparaison avec les Républiques islamiques = XXème s. siècle des idéologies XXIème s. siècle religieux qui s’oppose au capitalisme) Religion pas la place dans l’espace publique → le Droit prime sur la Religion
Plan : Plan trop : OUI/NON → besoin de titre plus élaboré
Trouver plus d’exemples, en dehors des textes qu’elle a donné → il faut illustrer autrement que par des textes de lois.
PARTIE = démonstration composé d’arguments qui sont illustré par des exemples concrets. A chaque sous parties il faut se demander quel est l’idée ? Quel est l’illustration ? → Donner des lois ne remplace pas une illustration. On ne peut pas avoir un principe comme argument.
Il faut dire que Droit est séparé de la Religion mais il ne renie pas ses racines : 2 types de relations → acceptation de l’influence passé (ex : fête religieuse → nos racines religieuses font que il n’y a pas de réelle neutralité de l’Etat français. Question polémique ?) ou rejet de cette influence (ex : rejet de l’adultère → maintien d’une pratique religieuse individuelle, avec une pratique qui est régit par le Droit)
Rapports complexes entre Droit et Religion qui ne sont pas univoque. Les deux notions ne sont pas sur un pied d’égalité.
Attention à ne pas faire toute une sous partie en Droit comparé.
Synthèse : Il manque le Passé dans l’Intro / Les traces actuelles du Passé / Droit et Religion complémentaires / Droit et Religion rapports opposés / Aspect spirituelle et Abstrait de la Religion contrairement au Droit qui doit être pragmatique suite à ses objectifs (réguler, paix social …)/ Aujourd’hui qu’est-ce qui compte ? / Influence évidente de la religion : Jusqu’en 2001 les enfants adultérins avaient droit à la moitié de la succession par rapport à aux enfants dit légitimes / Réaction de la CEDH → problématique vous enferme dans un plan il faut trouver un terme moins trancher qu’une séparation → vos deux sous parties doivent se compléter
...