CNED 4

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relier les textes A et C pour la raison que les hommes sont en position de voyeurs, d’espions. Dans la nuit ou à travers l’abat-jour, les femmes sont plus « naturelles » (voir même déshabillée pour la norme de l’époque pour la princesse de Clève.). Les femmes qui ne se savent pas observées montrent leurs sentiments et ne se dérobent pas. Les deux autres textes sont plus malsains avec Frollo sombre face à la lumière de la jeune danseuse ou avec le mari derrière les vitres et qui épie à travers une vitre qui déforme l’image.

2 ECRITURE D’INVENTION

J’observe ma femme rentrer avec un homme que je ne connais pas. Je suis dans la salle à manger je regarde par le centre du carreau médian du battant gauche de la première fenêtre de notre salle à manger. Je vois donc que l’image réfléchie de la voiture bleue de cet homme, sûrement. Elle vient de s’arrêter au beau milieu de ma cour. A… et cet homme sortent chacun en même temps par les portes avant de la voiture. Je réussis à peine à distinguer ce que ma femme tient dans ses mains. C’est un petit paquet. Il est complètement déformé par les défauts du verre. Cela ressemble à un paquet comme un paquet d’une bague. Je lui demanderais tout à l’heure. Non je voudrais vraiment le savoir immédiatement.

Tant pis je remarque immédiatement qu’ils se rapprochent. Ils se rapprochent tellement contre le capot de la voiture que je vois même plus ma femme totalement masqué par la silhouette massive de notre inconnu. Elle se situe maintenant entièrement derrière lui. La tête de l’homme s’incline en avant vers la tête de ma femme si je pouvais la voir. Si seulement ce verre était de meilleure qualité…

Les irrégularités faussent encore plus le détail de son geste qui est déjà très vague. Les fenêtres du salon donneraient, du même spectacle, une vue directe et sous un angle plus commode : ma femme et cet homme seraient placés l’un à côté de l’autre. Je n’aurais malheureusement pas le temps d’y aller avant qu’ils ne partent.

Surtout qu’ils sont déjà séparés ils viennent vers moi sans gênes à environ un mètre côte à côte. Juste devant chez moi ! Sur le sol caillouteux de la cour.

Il est exactement midi et ils ne possèdent pas d’ombre sauf moi qui suis la leur peut être.

A cette distance je peux facilement distinguer le visage et le corps de cet homme. Je peux même entendre sa voix il ne parle que de personnes que je ne connais pas et pour comble ma femme rigole à grand rire… Elle n’a jamais fait ça avec moi…

Evidemment il est grand et fort ! Il joue de ses yeux bleus, de son élégance et de sa voix grave pour s’imposer. Ce type est à l’opposé de moi, et il en profite pour prendre ma femme ! Un homme si beau ne peut être qu’un idiot n’est-ce pas ? C’est un bellâtre, et c’est tout ! Mais c’est vrai qu’elle doit s’ennuyer ici… je suis un solitaire perdu dans mes livres, enfermé la plupart du temps dans mon bureau… je n’ai pas le goût de bavarder des après-midi sur des bêtises. Comme un homme idiot.

Non je ne peux pas me permettre de me remettre en question il m’a provoqué en venant chez moi ! Et maintenant, que va-t-il se passer ? Elle ne peut pas me quitter pour un imbécile, ce n’est pas possible !

Il me semble me rappeler qu’une fois elle m’avait fait la description d’un homme… Son nom était Franck il me semble. Je ne m’étais pas inquiété car elle avait dit que c’était un imbécile et pourtant j’aurais dû on voie ou cela nous emmène. Il rentre chez moi avec ma femme quasiment au bras !

Elle a l’air tellement heureuse avec lui … Elle ne m’a jamais fait ces yeux là…

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Cette fois ci c’en est trop je vais de ce pas vers la porte d’entrée.

En me déplaçant dans la maison j’entends un bruit de moteur. Et la porte de la maison se refermer bruyamment. Je l’ai raté… Tant pis ma femme me doit des réponses.

J’entre dans l’entrée ma femme est toujours légèrement rosée. Elle retire ses chaussures et vient me dire bonjour (difficile a rentré )

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Fin

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