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Culture G CNED 2015-2016

Par   •  27 Octobre 2017  •  1 076 Mots (5 Pages)  •  605 Vues

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A l’arrivée de la IIIe République, les premiers tribunaux pour enfants font leur apparition grâce à une loi de 1912 et, les administrations pénitenciers seront toujours présents et, pas inquiétez par cette nouvelle législation mais, c’était tout de même un premier pas vers une justice malgré une répression toujours présente.

En 1937-1938 les premières réformes font leur apparition pour changer radicalement la politique du pays de cap. L’enfant sera traité par l’éducation et non plus par une répression cruelle mais, ces réformes ne seraient sûrement pas arrivées sans l’ouvrage de Louis Roubaud en 1925 mais, aussi grâce aux campagnes de presse virulente orchestrées par une journaliste du nom d’Alexis Danan pendant l’évasion des enfants du centre de Belle-Île. C’est le début de la fin de la répression de l’enfant délinquant.

Mais en 2012, retour en arrière, Luc Ferry et Nicolas Sarkozy veulent mettre en place une réforme pour enfermer les adolescents délinquants. Et pourtant, l’Histoire montre bel et bien que la répression n’a jamais été une solution, toutes ses politiques ont échoué.

IV. Comparaison de documents

Un grand thème partagé par ces trois documents ressort incontestablement : c’est la délinquance des jeunes. On peut retrouver un mot qui revient dans tous les documents, c’est « enfant », comme si les auteurs voulaient nous faire penser qu’on a plus affaire à des enfants plutôt qu’à des adolescents. Les documents nous montrent les conditions inhumaines qu’on subit ces enfants dans un souci de redressement mais, heureusement, les documents nous montrent implicitement que la maltraitances physiques et morales ne redressera jamais un jeune, bien au contraire, celui-ci se révoltera comme cela a été le cas à Belle-Île. Des enfants sont mêmes morts dans l’indifférence générale sous les coups des gardiens, toujours dans un souci de redressement. Ces maisons de corrections ont conduit à des révoltes, à des tribunes, et sans ça, les mentalités au fil du temps n’auraient pas changé. Les enfants ont fini par gagner l’opinion publique et les politiques ont fini par changer la législation pour que l’enfant soit éduqué pour le redresser vers la lumière plutôt que de l’humilier, le frapper et, l’amener vers l’obscurité. Car les enfants qui ont survécu à cette cruauté ont d’énormes cicatrices à porter tout au long de leur vie, la cruauté et la torture ne s’oublient sûrement jamais, surtout quand on les subit quand on est enfant. Les trois documents s’accordent à dire que c’est en éduquant que l’on va redresser un enfant, car le savoir est une arme.

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