Rhétorique

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Pour conclure, la rhétorique et la toute-puissance ne sont que des pouvoirs illusoires, car elle n’apporte aucunement, à celui qui a ces choses, le bonheur promis et il suffit que de creuser un peu pour remarquer que ces deux choses ne rendre pas une personne heureuse et, qu’en fait, il devrait se regarder et se demander s’ils en ont vraiment de besoin. Ce livre m’a beaucoup fait réfléchir à savoir entre quel mode de vie je devrais utiliser dans la vie de tous les jours. Je suis parvenue à choisir celle de Socrate, car elle me paraissait plus juste, mais c’est à ce moment que j’ai trouvé des failles aux enseignements qui sont dans le livre, mais aussi à l’enseignement en classe. Je tiens tout d’abord à vous dire que ce qui suit n’est en aucun cas une attaque contre vous et votre cours, mais bien à la façon dont on nous enseigne la philosophie. La philosophie n’est clairement pas que de la théorie, mais bien la plupart du temps une pratique. Puisque la philosophie est une pratique, il faudrait pouvoir la pratiquer, car si l’on ne pratique pas on ne peut pas la maitriser. On peut utiliser comme exemple le football américain. Le football est la plupart du temps une pratique, mais est quelques fois de la théorie, mais imaginons une personne qui ne fait qu’étudier la théorie du football. Cette personne aura de très gros problèmes lorsqu’elle essayera d’y jouer réellement. Même si elle connait toutes les techniques, car elle les a mémorisées, elle va tout de même rencontrer une personne qui pratique le football depuis très longtemps et elle ne risque pas de le déjouer. Maintenant, si l’on remplace le football par la philosophie et la rhétorique, le petit philosophe qui ne fait que de la théorie ne fera absolument rien à ce sophiste expérimenté ou les citoyens sous l’influence des sophistes. C’est ici que je crois qu’il manque quelque chose au cours de philosophie. Il devrait y avoir des cours pratiques comme les cours de physique et chimie. Si je me trompe, merci de me le faire savoir.

Bibliographie

PLATON, Gorgias, les Belles Lettres,95 bd Raspail 75006 Paris, 1997, p277

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