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Les peuples autochtones

Par   •  31 Octobre 2017  •  1 686 Mots (7 Pages)  •  512 Vues

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et - 30 °C, tandis qu’en été elles dépassent rarement 0 °C, ce qui laisse un facilité de navigation plus importante (la surface de la glace étant moins épaisse). Les conditions de navigation sont parfois perplexe à cause des vents mais aussi du type de glace rencontré, ce qui peut faire douter les brises glaces, qui est un type de navire utilisé afin d’ouvrir et de garder ouvert des routes maritimes (bien qu’à mon avis, ils contribuent a la fragilisation de la banquise Arctique et à sa fonte). Elles sont plus accessible en été car la banquise des fjords disparait et les icebergs, qui sont dispersé, permettent d’ouvrir un passage aux bateaux. Les personnes participant à des excursions dans le Grand Nord recherchent une aventure leurs permettant de vivre et découvrir la magie de voguer entre les icebergs, de contempler les côtes sauvage du Groenland mais aussi le sentiment de débarquer le premier dans ce paysage vierge. Malheureusement, de part de nombreux risques mais aussi par des actions, ce type de voyage ne s’accorde pas aisément avec les objectifs du développement durable. En effet, les bateaux de croisière détruisent la vie animale et végétale de ce monde hostile à cause du bruit qu’ils émettent (exemple : le narval communique au moyen de sons voit sa vie déboussolé par la navigation, le forage, les activités sismiques, les sonars et la construction, qui sont autant de sources de pollution sonore nuisant à sa capacité de trouver sa nourriture ou un partenaire, de se diriger, d’éviter les prédateurs et d’élever ses petits). La pollution émise lors du déplacement des voyageurs n’est tout d’abord non bénéfique par rapport aux objectifs de développement durable, mais une fois dans le Grand Nord les activités des navires (mais aussi des touristes) polluent cet endroit hostile. De plus, les collisions et risques potentiels d’un déversement de pétrole existent, ce qui créerait une catastrophe si ces aléas venaient à se produire. Afin de répondre à ce type de questions délicates, les entreprises organisatrices ont appris à développer des réponses types, ventant ce voyage extraordinaire mais avant tout leur professionnalisme envers le développement d’un

tourisme éco-responsable et leur devoir d’assurer avant tout la pérennité pour les prochaines générations. GNGL qui est un société de voyages en Arctique a par ailleurs instauré « les dix engagements du voyageur polaire » qui est une charge d’engagement du respect de la nature; car « il nous incombe de la respecter, de participer à sa préservation et de travailler en bonne intelligence avec toutes les personnes de bonne volonté ». Parmi ces engagements nous trouvons le respect de la flore (ne pas dégradez) et celui de la faune (ne pas la nourrir); laisser les vestige archéologique, ce qui implique de ne pas fouiller le territoire; mais aussi le respect de l’environnement car il ne faut laisser que des traces de pas dans la neige afin de polluer le moins possible. Ces engagements sont les réponses prévues aux questions à propos de leurs objectifs du développement durable.

(2) La brochure touristiques de GNGL et l’extrait de Images économiques du monde de Martine Tabeaud se retrouvent sur (presque) tous les points. En effet il est dis dans le texte de Tabeaud que les catalogues illustrent trois points précis étant « l’extreme », « le blanc pur » et « le territoire en sursis »; tout trois se trouvant sur cette image publicitaire. Aucun village Inuit ou peuple autochtone n’est représenté sur la brochure, ce qui accroit les stéréotypes occidentaux qui imagent que le Grand Nord n’est uniquement qu’esthétisme, afin de vivre une aventure incroyable; que spiritualité, afin de se ressourcer dans cette immensité de blanc; et que scientifique. Cette accomplissement personnel rassure les voyageurs avec le risque controlé annoncé par les différentes expériences des compagnies. Aussi, dans son livre Martine Tabeaud fait remarquer que les paysages proposés sur catalogue sont blanc de neige et/ou de glace, couleur pur auquel s’ajoute un immense ciel bleu et une mer profonde. Ainsi nous remarquons que les propos annonçait par Tabeaud dans son livre sont verdict, par la comparaison avec la brochure de la grande compagnie Grand Nord Grand Large.

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