Théorie de la communication

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Chacun définit sa réalité différemment à partir la vision différente de la situation.

1-7 Interactions symétrique et complémentaire

On est sur la structure du message.

Id2e que dans un échanges, les acteurs prennent une position haute (pas au sens de la supériorité) , celui qui mène et qui suit l’ échange

Les acteurs vont soient occuper la positon haute = problème c’est la position symétrique

Interactions complémentaires : alternance de position haute et base

2) du côté des interlocuteurs (émetteurs /récepteurs)

2-1 variables psychologiques

Quand quelqu’un communique avec une autre personne, il va chercher à atteindre 2 objectifs en même temps

Transmettre une information et en même temps av éviter de se mettre en situation difficile pour elle-même.

Filtres : - liés au fait que j’accorde de la crédibilité aux autres, ce qui impact sur la manière dont je communique[pic 6]

- Conflit socio cognitif : il y a une dimension sociale dans l’échange

Projection : - parfois on projette des choses sur les gens donc je m’adresse pas à eux de la bonne manière. Je projette sur elle un conflit non résolu mais qui ne la concerne pas, cela n’est pas conscient.

Mécanismes de défense (pour le récepteur) : élément inconscient, je suis prêt ou non à entendre le message

- La scotomisation :

- La mémorisation sélective : on entend ce qu’on a envie

- Interprétation défensive : j’interprète ce que j’entends

- La négation de l’autorité de la source : je remets en cause car pour moi pas légitime

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2-2 Variables sociales

→Rôle et statut social :

-conflit de rôle : la manière dont on interprète notre statut : le chef de service qui me tutoie

- Rigidité de rôle : je me comporte de la même manière dans toutes les circonstances, je communique d’une manière pas adaptée à la situation mais correspondant à mon rôle

→ préjugés et stéréotypes : Rasman : situe socialement la personne à qui on s’adresse, donc on communique selon ce qu’il représente.(=représentations ) ex : personnes en difficultés social /prof de fac

2-3 l’image de récepteur (pour l’émetteur)

Exp de Rosenthal et Jacobson : pygmalion à l’école, 1971

Selon l’image que j’ai de l’autre, je ne mets pas la même attention dans mon message.

Ce st la prophétie autoréalisante : je suis persuadée de quelque chose au point de le faire réaliser

2-4 le rôle du récepteur : l’écoute

Quelqu’un qui écoute quelqu’un qui parle à un impact sur celui qui parle.

Elias Porter disciple (attitude de Porter) de Carl Rogers :

- L’attitude d’interprétation :

- L’attitude d’évaluation : on valide ou invalide ce que la personne dit : c’est bien, tu as eu raison

- L’attitude d’aide ou de conseil :

- L’attitude de questionnement : on induit son récit, du coup on oriente le récit

- L’attitude de compréhension : on ne valide pas, on ne questionne pas mais on reformule ce que l’autre nous a dit pour bien comprendre.

Pour conclure :

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Projection Mécanisme défensif

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Rétroaction /feed back

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- Structures et réseaux de communication

- Structure de communication

1-1 Définition

« On appelle structure de communication l’organisation des échanges effectivement réalisés dans un groupe »

On obtient en relevant les interventions des membres et leur direction ( qui parl à qui ? ) et en regroupant ces informations dans une matrice.

→ On distingue principalement :

- Les structures centralisées

- Les structures homogènes : des émissions et réceptions de communication entre les membres

1-2 l’effet Steinzor

L’organisation de l’espace a également un impact sur la manière dont les échanges se struturent.

La table ronde : la plus efficace ?

- Chacun perçoit tous les membres

- Le statut spatial est le même pour tous

On observant les groupes, les communications maximales sont entre les personnes qui sont en face, le nombre diminuent en s’écartant.

Plus elles sont éloignées moins on s’adresse à elle, la personne à côté n’est pas dans mon champ visuel.

En fait l’effet n’apparait que dans les groupes où il n’y a pas de statut déjà institué cad où il n’y a pas