Les voies d'introduction des médicaments
Par Ninoka • 26 Septembre 2018 • 960 Mots (4 Pages) • 442 Vues
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3. voies indirects :
- voie orale, rectale, nasale, pulmonaire, oculaire
voie orale
couche cornée disparaît
muqueuse buccale très vascularisées par des veines linguales et maxillaires → veines jugulaires→ tronc brachiocéphalique → veines caves supérieur → foies
exemple : glossettes, ampoules, homéopathie,
La molécule ne passe pas dans l’estomac ni dans l’intestin.
Estomac : fable resoprtion entouré par 2 muscles cardia et pylore : organe qui secrète
L’alcool, la caféine passe la barrière stomachale. Les molécules passent plus vite la barrière quand l’estomac est vide. pH d’estomac : 1-2
Intestin : excellent organe d’absorption pH 7-8
Irriguation : 1L de sang par min, transfert actif et passif
Activité peristaltique : Mouvement segmentaire (mélange et divise) et pendulaire
Pénicilline ne peut être administré que par voie injectable
Voie orale : injestion facile assez rapide car aucun matériel nécessaire et pas de risque d’infection, facilement répétable, certaines molécules peuvent être irritante pour le tube digestif. Dans le tube digestif, il peut y avoir des phénomènes d’adsorption, formation de précipités. Voie non utilisable quand la personne est dans le coma et certaines cas de vomissement important. Nécessite une coopération du patient.
Voie rectale :
Le supositoire se dégrade dans l’ampoule rectale
Foie : détoxification et métabolisation
Avantages:
Faire passer des molécules qui ne peuvent pas passer par la voie orale, pour les nourissons, pour les personnes opérées du tractus digestif, pour des principes actifs qui sont sensibles au suc digestif et aux enzymes.
Inconvenient :
Principe actif irritant pour les tissus rectales, certains principes dégradés par les enzymes rectales, toujours des interrogations sur la résorption, problème psychologique à la presciption.
Voie nasale :
Considérée comme un voie secondaire, voie de complément théraptheutique. Sphère ORL donc fausses nasales, pharynx, larynx, narines. Muqueuses qui permet un passage dans la circulation générale. Evite l’effet de premier passage. On peut utiliser des traitements pour le rhinite, les sinusites pour cela on utilise des antiseptiques, corticoïdes mais plus d’anibiotiques. Ce sont des aérosols, pommades, voire gouttes.
Voie pulmonaire :
Muqueuses avec 2 types de cellules :
- Cellules cilliées
- Cellules sécrétrices
Mucus a pour rôle d’englober les particules. Remonté par les cellules cilliés.
Molécules peuvent dégradés les cellules cilliés : toux (tabac) Tabac endommage le tapis cillié.
Voie pulmonaire 80m2 donc étendue, très vascularisée et très perméable au passage des principes actifs, épaisseur fine. C’est une voie d’absorption et d’élimination, évite le foie et vont directs au cœur. (oreillette gauche)
On peut traiter des bronchites avec des aérosols, des nébulisateurs et les médicaments sont sous forme liquide ou poudre . on utilise des antiasthmatiques, des mucolitiques (lyse le mucus) des corticoïdes (antiinflammatoires stéroridiens)
- taille idéale des particuls entre 3 et 5 microns.
- Rythme respiratoire : quand on dort le rythme est ralentit les particules ne passent pas
- Calibre des bronches : crise d’asthme les molécules sont arrétés
- Humidité :
Voie oculaire :
Cornée et conjonctive : résorption, passage dans la circulation générale mais passage par le tractus digestif
Différents types de molécules : corticoïde, antiséptique, anesthésie locale, mydriatique
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Voies directes ou parentérale
Voie intradermique
On utilise des quantités très petite, on utilise une aiguille, ou bague de KRAVITZ
Voie sous cutanée :
Tissus conjonctif
On peut utiilisé des solutés aqueux en petits volumes.
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