Économie internationale
Par Raze • 10 Mars 2018 • 5 566 Mots (23 Pages) • 510 Vues
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Donc ce qu’il faut garder à l’esprit c’est que Ricardo travail avec l’hypothèse d’immobilité international des capitaux.
Donc on a l’idée pour Ricardo, que pour lui le commerce international n’existe pas, c’est juste la somme du commerce des nations. Autrement dit, la nation est importante parce que c’est sur elle que tout ce fait.
Ricardo considère la nation comme un macro-agent et la nation a un rôle économique très important.
Chez Ricardo ce ne sont pas les agents qui échangent, ce sont les nations.
- Le principe des avantages comparatifsRicardo explique bien qu’il y a un paradoxe. Les capitaux ne sont pas dans la capacité d’être échangé à l’international et pourtant il y a un intérêt pour tout le monde de faire du commerce international.
Tout son argumentaire fera le lien entre le passage d’une économique autarcique à une économie ouverte. Il dit qu’il y a un avantage comparatif lorsqu’on est dans une situation de libre échange, il dit que chaque pays a tout intérêt à ce spécialiser dans la production pour laquelle il dispose de la meilleure productivité, comparativement à ses concurrents car cela augmente la richesse national.
Il fait tout un exemple algébrique entre l’Angleterre et le Portugal. Et en faite, si on reprend l’analyse de Ricardo, on peut dire qu’il n’a pas vu un truc.
- Le facteur technologique
En ce qui concerne les firmes, on peut autrement dit les nations, parce qu’elle sont engagé dans une course technologique. A un moment, il va y avoir un produit qui va apparaître, et en général soit c’est le hasard.
Exemple : le produit Nutella. Pourquoi est-ce devenu aussi original ? La personne qui l’a crée est morte cette année. L’inventeur a décidé de rajouter des noisettes dans son chocolat pour que ça lui coute moins cher. Cela a été du au hasard.
Le hasard chaque année, chaque mois, une entreprise lance un produit elle le test, ou sinon elle met en place des produits qui ont une réussite assuré. Donc chaque firme est engagée dans une course technologique.
Les firmes a un moment donnée, que ce soit hasard ou course au développement vont devenir a un moment donné leadeur c’est à dire en situation de monopole. Dès lors, on ne parle plus d’avantage comparatif mais d’avantage absolu. L’absolu est toujours au démarrage, c’est à dire quand l’entreprise est leadeur. Ensuite ça devient un avantage comparatif.
Exemple : Apple, avec l’iPhone au départ il été leadeur puis Samsung... l’ont rejoint.
Poster 1961 et Vernon 1966 ont travaillé sur la théorie du cycle de vie du produit. Un produit a toujours un avantage absolu → avantage comparatif → meurt.
- La différenciation du produit
Chamberlain 1933, a écrit un livre qui s’appelle « La théorie de la concurrence monopolistique » et avec ce livre, ça va être une véritable révolution méthodologique.
Les produits des offreurs ne sont pas parfaitement substituables. Par exemple : si on doit échanger un téléphone portable un iPhone 4 contre un iPhone 5, on va dire que un est un peu abimé, l’autre est tout neuf. Sur les mêmes produits, on peut faire une différence.
On va donc être dans la capacité de faire une différenciation objectif « prendre le moins cher » mais subjectivement on va préféré l’autre car « il est plus beau ». Le prix n’est donc pas forcément un critère de choix.
Les firmes vont jouer sur notre intelligence de différenciation. Elles vont volontairement augmenter leurs prix sans perdre la clientèle.
Il va y avoir un équilibre de marché qui ne sera pas celui de la concurrence parfaite car elle voudrait que quand les prix monte la quantité demander baisse. Avec Chamberlain on voit qu’en faite les consommateurs ne sont pas rationnels.
Dans la différenciation des produits il y a enfaite une approche technologique.
Vernon en 1966 dit que les consommateurs sont friands de technologie.
- Les rendements d’échelle croissants
Il faut savoir dans quel secteur on est. Si on est dans un secteur industriel il y aura forcément de la productivité alors que dans le secteur des services non. Les rendements d’échelles fonctionnent avec la productivité.
Un rendement d’échelle c’est forcément une quantité optimale (courbe en cloche, le point qui est en haut de la cloche). L’optimalité au sens de Pareto c’est le meilleur. C’est celle qui va nous faire la rationalité entre la quantité la plus grande et le coût de production. L’optimalité c’est la meilleure quantité possible. Les rendements d’échelle c’est tout simplement produire sans stock, produire sans déchets. On produits et on vends tout ce qu’on produits.
On a l’idée que pour le rendement d’échelle on a le problème de la taille + la technologie.
Il existe trois types de rendements d’échelle :
- Constants : F (aK, aL) = aF (K, L). On appelle ça, homogène de degré 1.
- Croissants : F (aK, aL) > aF (K, L). Homogène de degré > 1.
- Décroissants : F (aK, aL)
A quoi sert Cobb-Douglas ? → Sert à montrer les rendements d’échelles. → Elle a été créée en 1928. → i : Facteur de production. Quantité de K, Quantité de L qu’on va utiliser pour fabriquer le produit. → Si la somme des i = 1. C’est que la fonction de production est constante.
Ln (Y) = ln (i) + (somme) ai x ln (xi) ⬄ Y = c Kn Lz
N et Z sont des constantes déterminés par la technologie est en fait c’est tout simplement ce qui va déterminé le revenu du K et le revenu du L.
Cobb-Douglas montre que la répartition des revenus entre K et L est constante dans les pays développés. C'est à dire qu’a son époque, on travailler pour le même prix, le même salaire et ça couté la même chose. Or, en 2015 il n’y a plus de répartition des revenus entre le capital et le travail aussi constante.
Si on modélise la fonction de Cobb-Douglas on peut faire :
Y= c Kn L1-n.
Si c’est constant,
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