L’émergence de règles constitutionnelles.

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B-La loi de masculinité

L’image de la femme ntmnt à l’époque médiévale ➔ associer à Eve qui dans le jardin d’Eden va tenter Adam (elle mm tenter par le serpent) donc elle porte en elle la responsabilité du péché originel qui encadre l’image de la femme. Médievale ➔ l’idéal féminin =vierge marie qui n’est pas entaché par le pêché originel qui a repondu Oui à la demande de Dieu en acceptant de porte le Christ et qui montre que Dieu lui mm est passé par une femme donc qui est en qq sorte rétablit l’image de la femme ➔ L’évangile = les rencontres entre Christ et les f = résurrection il apparaît dbr à une femme, la religion chrétienne renvoie à l’= de dignité. Il faut dbr considerer que l’homme et la femme sont les deux moitités de l’humanité, femme en e de minorité, elles ont un pouvoir=donner la vie ce qui dans les affaires de succession n’est pas innocent svnt elles ont de nbx enfants, elles passent une partie de leur vie à enfantée, il arrive que leurs enfants augmentent le pouvoir qu’elles ont déjà = une force pour les femmes d’avoir de nbx enfants et surtout les garçons qui peuvent en qq sorte aider leur mère à s’imposer. Bcp + qu’un réflexe misogyne, il faut comprendre que dans les mentalités médiévales le ministère royale a une nature sacrée, quasi religieuse qui s’est constituée sous l’influence de l’église sur son modèle en qq sorte que de même que les femmes ne peuvent ê ministre de Dieu en étant prêtre et bien de mm les mentalités sont assez hostiles à l’idée qu’une femme puisse être roi.

Les reines ont les bénéfices du sacre mais il ne s’agit pas du même sâcre.

Roi= guerre, fort, virile capable de prendre les armes concrètement, là ou la femme donne une image de faiblesse(=guerre, affrontement avec les royaumes adjacents) ce qui explique que dans les premiers temps de la monarchie capétienne les femmes étaient systématiquement écartée mm ainée au profit des hommes.

Une loi de masculinité ➔ les succesions qui jugent que la ont été tres harmonieuse vnt connaître des difficultés au décès d’un tres grand roi que fut le Philippe IV LEBEL à partir de sa fin de règne vont se poser des questions succesorales, épineuses qui vont conduire à l’affirmation de 2 principes

La descendance mâle s’est imposée sur la descendance femelle.

1). L’exclusion des femmes

Philippe IV lebel meurt ➔ 3 garcons(Louis-Philippe-Charles), 1 fille Isabelle qui est mariée au roi d’angleterre ➔ 1314 ➔ Louis X le Hutain (querelleur, caractère assez soupeler) il paraît fragile par rapport à son frère, cette succesion s’opère sans difficulté, sacré roi au profit du principe de primogéniture ➔ Scandal de La Tourneve ➔ Les 3 fils mariés à des femmes dont deux ➔ Tours de Nesle dans lql elles abitrent leurs aventures, eles vont etre immediatement recruses dans des jolies mines et ce scandale éclabousse l’autorité des princes. Louis X a une fille Jeanne qui pèse des soupçons de bâtardise = discrédité les fils du prince qui n’ont pas su tenir leurs femmes et quii pèsent sur la légitimité de leurs enfants. Marguerite de Bourgogne(=divorce) pour contracter un nouveau mariage avec clémence de Hongrie (=censée lui apporter la descendance masculine dont il fait défaut pour le moment) = deux ans plus 1316 Louis X meurt ; Jeanne (1er mariage) et CDH est enceinte (suspens) or en attendant la naissance la régence va être confier à Philippe qui est alors comte de Poitiers

➔ en cas de naissance féminine le régnant s’imposera cm roi, on voit déjà que cette organisation conduit à l’édiction de Jeanne cette négociation montre malgré tout que son titre n’est pas oublié, chercher à la dédommager en cas de naissance masculine.

➔ Si c’est un garçon Philippe va prendre son rôle jsq ce qu’il puisse régner.

Les accouchements sont accompagnés d’un public ➔ pour qu’il n’y ait pas de tricherie.

CLH : un garçon Jean = hérédité, progéniture ➔ Jean 1er qui n’est qu’un nourrisson : alliances se créer et la déception de Philippe= décès brutale de ce nourisson.

Philippe cherche la légitimité à Reims ; il prime ainsi sa sœur ainée Isabelle sans que ca ne fasse de discussions et sur Jeanne la fille de Louis X cette opération de sacre il s’entoure de juriste qui vont élaborer un texte en fevrier 1317 = l’exclusion des femmes à accès au trône. ➔ Ne cherche pas à donner des agrmt m fixer un principe cm indiscutable, pas besoin de le fonder sur une rhétorique particulière, simplement enocné.

1322 : à la fin de de règne de Philippe V c’est ce texte qui va servir de fondement pour évancer les filles de Philippe V ➔ le miracle capétien=mâles tourne à la débâcle en abs de naissance de garçons, la règle va tourner au + proche collatéral qui est Charles IV Lebel.

Le peuple n’a pas grondé, la lignée capétienne est puissante depuis St Louis pour affirmer un crtn nbr de regles supérieures qui vont faire autorité.

2). L’exclusion des prétendants par les femmes

On ne s’est pas posé la question de la descendance de ses femmes ; décès Charles IV Lebel ➔ laisse une fille et une reine veuve enceinte et là on est ammené à attendre la naissance, la regence est laisée au Comte de Vallois qui est le cousin du roi mort. Si on att cette naissance, un garçon=roi, cette attente n’est pas indifférente, il s’agit d’une fille. Les filles de C4 sont excluent, de la meme facon qu’Isabelle.

On assiste donc en qq sorte à une concurrence de plus prétendants males dbrd le régent mais = pèse sur cette sucession l’ombre du fils d’isabelle et edward II ➔ EIII ➔ Isabelle est une femme d’autorité, 1328 = descendant par les femmes et descendant mâle.

Si la reine Isabelle peut faire pont et planche (transmettre ses D) ; autour des régents qui vont rappeler la règle posée en 1317 en déduisant l’exclusion des prétendants par les femmes.

Phillipe Vi prend la direction du royaume de Fr sachant que dans un premier temps cette succession=harmonieuse, sans qu’E ne conteste le règne de Philippe. En prêtant hommage au roi de fr il reconnaît sa légitimité mais en 1337 Edward change d’avis et va revendiquer la couronne de Fr ce qui va ouvrir un conflit= la guerre de 100 ans. Edward renonce à la couronne de France par le traité de Brétigny,