Valeurs morales
Par Junecooper • 14 Mars 2018 • 992 Mots (4 Pages) • 672 Vues
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Pour terminer mon commentaire sur votre discours, je vous demanderais d’arrêter de juger les gens trop vite, et d’apprendre à les connaître avec le temps pour ensuite les juges. Nous partons mais d’autres vont venir. Adieu, vieillard.
Question sur le corpus
- Nous avons ici trois différents textes, le tout premier texte est un texte écrit par Denis Diderot. Le titre est « Le supplément de Bougainville » et publier en 1796. Notre deuxième texte est écrit par Jacques Lacarrière nommé « l’été grec » et est publié en 1975. Le dernier texte est écrit par Victor Segalen, le titre est « Essai sur l’exotisme » et en publié en 1978
Dans le premier texte de Denis Diderot : « Supplément de Bougainville » Diderot va imaginer un supplément au récit de voyage là où il va pouvoir grâce à ces découvertes par les voyages vers d’autres cultures faire une opposition entre le bien et le mal. Dans le discours du chef tahitien il va critiquer les mœurs de l’autre. Elles sont mauvaises, alors que celles des tahitiens sont meilleures : « Laisse-nous nos mœurs ; elles sont plus sages et plus honnêtes que les tiennes »
Dans le deuxième texte de Jacques Lacarrière : « L’été Grec » Lacarrière fait comprendre que les voyages et les différentes rencontrent, c’est-à-dire les voyages amènent celui qui visite un pays à un oubli de soi faces aux autres et cela donne une certaine révélation de soi, ce qui révèle une autre identité. Lors de ces rencontrent ou séjours avec des inconnus, on essaye de se fondre dans le nouveau milieu, c’est-à-dire oublier ses propres habitudes : « invisible parce que vous devez oublier vos propres habitudes, vous fondre autant que possible dans le nouveau milieu… »
Dans le troisième texte de Victor Segalen : « Essai de l’exotisme » D’après Segalen l’exotisme essentiel est « celui de l’objet pour le sujet », d’où on retrouve cette définition de l’exotisme : « L’exotisme n’est donc pas une adaptation ; n’est donc pas la compréhension parfaite d’un hors soi-même qu’on étreindrait en soi, mais la perception aiguë et immédiate d’une incompréhensibilité éternelle. La connaissance de quelque chose qui n’est pas soi-même. » L’exotisme nous montre que l’Homme ne veut pas comprendre l’autre car l’un à l’autre se trouverons toujours exotique.
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