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La valeur le coût et le prix

Par   •  12 Septembre 2017  •  6 257 Mots (26 Pages)  •  690 Vues

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Finalement, afin de compléter son paradoxe, Adam Smith affirme que la valeur en échange peut être dépendante de la quantité de travail nécessaire à la production des objets. Le travail dans une manufacture peut être utilisé à titre d’exemple. De la sorte, le travail exécuté sur une matière quelconque par un ouvrier ajoute forcément une « valeur d’échange » à cette dernière. En conséquence, cette augmentation de la « valeur d’échange » d’un objet découlant de l’ouvrage d’ouvrier s’exprime forcément par le profit engendré par son maitre. Ainsi, plus une matière cumule d’heures de travail de la part d’un ouvrier, plus elle devrait logiquement avoir une valeur en échange élevée.

Théorie du prix

Dans cette courte définition en provenance de l'encyclopaedia universalis[10], le terme du prix est souvent associé à la base d'une économie de troc qui tient compte du prix par rapport à l'importance des biens échangés. Le prix est donc un déterminant de la transaction du bien. Ainsi, le prix est produit comme une valeur d'échange, et selon laquelle l'acheteur est prêt à débourser pour le bien en question. Donc, le prix sert essentiellement à mesurer la valeur d'un produit lors de la transaction ou de l'échange.

D'après un article de Monique Zollinger, elle présente « le prix comme le dernier prix payé pour un produit, le prix observé dans un autre point de vente, le prix d'un produit concurrent, le prix que le consommateur est disposé à payer. »[11] D'autres spécialistes dans le domaine de l'économie, vont en autre dire que le « prix de référence son le prix que les acheteurs utilisent comme élément de comparaison pour évaluer le prix d'un produit ou service offert. »[12] Dans ce concept tel qu’établie par Monroe, l'effet du prix de référence va entre autres donner une nouvelle approche envers l'acheteur, c'est-à-dire qu'il pourra faire des comparaisons de prix, et d'en juger s'il paye plus cher ou moins cher, tout en prenant en compte les différents prix déjà existants sur le marché.

Une autre théorie aussi pertinente pour bien définir le prix, sans le doute que « les prix sont déterminés par l'estimation subjective des acheteurs (demande) et des vendeurs (offre), et non par un quelconque coût de production objectif; plus le prix est élevé, moins les quantités achetées seront grandes et plus les quantités offertes seront importantes»[13]. Dans cette théorie, la masse individuelle va déterminer la structure des prix. Le phénomène social se caractérise en trois types de classe; de ceux qui ont le pouvoir d'achat, de ceux qui produisent et de ceux qui s'abstiennent.

Par ailleurs, le théoricien Léon Walras propose que la demande « doive être considérée comme le fait principal, et l'offre comme un fait accessoire. On n'offre pas pour offrir, on offre que parce qu'on ne peut pas demander sans offrir; l'offre n'est qu'une conséquence de la demande » [14]. Le prix résulte d'une entente entre les deux individus lors de l'échange. Dans ce cas-ci, le profit n’est considéré comme nulle ou presque.

Dans notre démarche pour bien comprendre la terminologie du prix, nous avons plus haut défini ce que le prix signifie réellement. Il est sans ce dire que le prix est débattu lors d'une transaction basée sur la théorie de l'offre et la demande, et que le prix se négocie entre deux individus pour en venir à un prix mutuel pour un bien ou un service. Cependant, il y a des exceptions à la règle. Le prix peut être gonflé de manière à ce que les individus soient prêts à payer pour l'acquisition d'un bien. Si on se met dans l'actualité, l'exemple le plus facile à saisir, c’est la vente des produits Apple. Bien que le produit soit sensiblement comparable à d'autres produits identiques sur le marché, la valeur est beaucoup plus élevée que celle de ces compétiteurs. Cela démontre que lorsque le pouvoir d'achat est élevé, celui qui est disposé à payer le prix remporte la bataille.

Or le prix de l'offre et la demande permet de comprend l'état du prix pour certain produit en se basant sur la rareté des produits. L'eau en est un exemple, bien qu'il est accessible pour tout le monde, le prix ne vaut presque rien, mais à l'opposé à celui d'un diamant, le prix est très dispendieux pour le commun des mortels.

Dans une tout autre perspective du prix dans le domaine de l'immobilier, il est vrai que la théorie de Monroe exprime avec exactitude, la pratique dans l'évaluation foncière. Lorsque le client s'informe sur les propriétés similaires, ou apparentes à son propre domicile. Il peut se débattre pour pouvoir rechercher une estimation la plus exacte que possible pour l'achat d'une maison. En accumulant les informations précises, l'acheteur peut comparer les différentes propriétés, avec les différents prix déjà existants dans les bases de données informatiques, et d'en juger s'il paye plus ou moins cher pour la propriété. Les informations sont souvent prises dans les dernières transactions effectuées dans les jours, les semaines et même des années. À l'aide des informations du passé, il est probable de concevoir une idée sur une projection du prix dans le futur.

Théorie du coût

James Mcgill Buchanan Jr (1919- 2013) est un grand économiste américain de son époque. En 1986, ce dernier reçu le prix Nobel d'économie pour avoir grandement contribuer à la concrétisation de la théorie des choix publics, communément appelés Public choice theory. Initialement, Amilcare Puvini était responsable de l'exécution de la critique mettant à l'évidence les faiblesses entre les comportements des nations vis-à-vis des citoyens qui la constituait. Cependant, l'achèvement de la thèse du dysfonctionnement des intervenants public ne fut effectué par nulle autre que James, M. Buchanan. [15]

«If among a nation of hunters ... it usually costs twice the labour to kill a beaver which it costs to kill a deer, one beaver should naturally exchange for or be worth two deer.» [16]

Adam Smith

Cette affirmation résume en effet le concept de la valeur d'échange en économie classique. Où la valeur marchande d'un bien quelconque serait déterminée par les coûts relatifs de production. Ceci dit, notre homologue moderne explore une vision relativement similaire

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