Initiation à la gestion Travail noté 1

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se prendre et la décision est finale dans le sens où elle sera appliquée dès la fin de la réunion.

La direction de SEMCO confirme que le changement pour y arriver constitue une période difficile pour la compagnie. Pendant cinq ans le processus de changement était une période très turbulente, car «demander aux gens ce qu’ils voulaient, ce qu’ils aimaient et n’aimaient pas sans tabous est beaucoup plus facile à dire qu’à faire» (Cité par Neto, le directeur manufacturier de SEMCO à l’époque - Management à l’ère de la société du savoir, page 2).

Les deux préoccupation des auteurs du mouvement des relations humaines sont :

- leur volonté d’humaniser la condition ouvrière de façon de contrer l’isolement des travailleurs par une amélioration du climat social et de la productivité

- leur désir de modifier les modèles formels.

Suite deux expériences effectués le mouvement des relations humaines ont conclu que à la présence du groupe, le travail est devenu satisfaisante. En raison du climat amical, les ouvriers ont le sentiment d’appartenir à un groupe privilège et le lien se sont renforcés et le groupe se donne un objectif commun. En bref, l’amélioration des relations humaines permettre d’accroître la productivité.

Selon le mouvement de relations humaines, la productivité dépend de la satisfaction de besoin humains sociaux, «L’être humain est un animal social et non rationnels.»

Pour continuer, «La SEMCO encourage les employés à changer périodiquement d’activité, de fonction ou d’une unité d’affaire» en permettant d’accélérer le développement de compétences multiples et d’augmenter la synergie entre les différentes partir de l’entreprise.» (Pozzebon, 2008 cas la SEMCO).

Les valeur de base de la SEMCO est accessible à tous disponible au site internet de l’entreprise afin de partager la culture de l’entreprise avec des personnes externes.

Pour finaliser, «Le contrôle est une illusion» dit Ricardo Semler avec assurance. J’ai trouvé que si on leur donne la liberté totale, les gens vont agir dans leur meilleur intérêt, et donc dans le meilleur intérêt de l’entreprise. «Nous croyons que lorsque nous leur donnons la liberté, ils agissent de façon responsable.» ¹

Question 3

En quoi l’entreprise SEMCO remet en question certains principes associés au capitalisme industriel et au capitalisme financier? Illustrez votre réponse à l’aide d’extraits tirés du cas* et démontrez clairement les liens que vous faites avec les principes associés au capitalisme industriel et au capitalisme financier.

Dans le capitalisme industriel les principes de base est axé sur la production et à l’optimisation de celle-ci. Ce type d’économie est en vigueur dans les premières décennies après la Révolution Industrielle, où l’industrie prend un rôle dominant dans l’activité économique. Lié à la gestion taylorienne sur le méthode de production (chaine de montage), la division du travail est instauré et contribue à l’aliénation des hommes au travail. Le fordisme est aussi très présent à cette économie et conditionne les ouvrier en automate.

Le capitalisme financier est axé sur les profits à maximiser les gains dans un délais le plus court possible et quelque fois, à n’importe quel prix. Pour ce type d’économie, le grand commerce et la grande industrie sont contrôlée par le pouvoir économique des banques commerciales et autres instituition financières. Les organismes financiers mènent une course au rendement maximal.

À l’écart de ses deux système économique, la SEMCO valorise la sagesse des gens et les encourage à remettre en question la pratique et les objectifs pour inciter l’initiative des employés mais encore la SEMCO encourage les employés à maximiser leurs performance favorisant un développement à long terme. Le bien être des salariés est très important et il a un effet direct sur la performance de l’entreprise. De plus, les collaborateurs ne décident pas seulement de la forme de la rémunération, mais aussi de son montant (Gravel page 9)

Restant capitaliste la SEMCO va au-delà-de ce deux types de gestions. Basée sur des valeurs socialistes, l’entreprise respect plus les aspects anthropologiques et humains que les aspects politiques. Toutefois le chiffre d’affaire ne sont pas mis de côté, l’entreprise l’augment continuellement avec son style particulier.

Bien que la gestion humaine et innovatrice de cette entreprise attypiqiue suscite de questionnement, le leadership est également encouragé et honoré.

Ayant le partage de profit comme son deuxième valeur, le partage de profit n’est pas automatiquement distribué aux actionnaires chez SEMCO. Contrairement à des entreprises classique, ici ce sont les employés qui décident comment distribuer le profit. Une autre possibilité d’inciter les employés a mieux effectuer leur travail. Antonio Semler mentionne que le but du travail n’est pas de gagner de l’argent, mais de se sentir bien dans la vie.

’’...Nous voulions démontrer que le lieu de travail peut être un lieu de satisfaction, et non de souffrance. Le travail devrait être un plaisir, et non pas une obligation.’’ (Clovis Bojikian, directeur de ressources humains à l’époque - La SEMCO : avec ou sans Ricardo, page. 4). Il affirme aussi que cette façon n’est pas seulement une thèse humanitaire, car ils croyaient réellement que les personnes qui travaillent avec du plaisir sont plus productives.

Pour finaliser, la recherche sans limites du meilleur rendement ne devrait pas se pousser trop loin., car il risque de ruiner l’entreprise, ainsi que la qualité de vie de ces collaborateur.