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Culture de la communication, 1ère année

Par   •  4 Décembre 2018  •  615 Mots (3 Pages)  •  705 Vues

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L’auteur relève une « faible utilité pour l’éducation de la population » lorsque la commémoration rituelle est manichéenne avec le sujet (« sa propre image ») candide et les autres avec une « image négative ».

De plus, pour Todorov, « elle contribue aussi à détourner notre attention des urgences présentes » et même à « ignorer les dangers actuels » car on se concentre sur ce qui s’est passé et quels acteurs étaient présents à ce moment. Alors que ces menaces ont un tout autre visage aujourd’hui.

4. Paragraphes 4, 5, 6 : On dit volontiers... mutuellement

Quels liens entretiennent ces paragraphes avec le paragraphe précédent ?

L’auteur du texte rappelle dans ces paragraphes l’utilisation négative fait contre l’oubli du passé. En effet, il assure que le recouvrement de la mémoire est « plutôt à la défense d’une sélection de faits parmi d’autres, celle qui assure à ses protagonistes de ce maintenir dans le rôle de héros ». Alors que « le même fait peut recevoir des interprétations opposées » comme par exemple dans le monde politique, où il est courant qu’ils soient utilisés pour justifier des désaccords.

5. Paragraphe 7 : Le passé... les nôtres

Quelle solution préconise Todorov pour que le passé soit bénéfique ?

Pour Todorov, le passé peut nous être bénéfique si nous ne tentons pas de garder une vérité, c’est-à-dire, en le confrontant « à l’examen de la raison et à l’épreuve du débat ».

EXERCICE 4

Selon l’adage : « Mémoire du mal à longue trace ; mémoire du bien tantôt passe ».

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