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Cours de Politique, Emploi, Travail

Par   •  12 Octobre 2017  •  5 033 Mots (21 Pages)  •  722 Vues

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Le système attribut aux demandeurs d’emplois des ressources financières sur une durée assez longue.

Cette politique publique est en lien avec le contexte d’époque, sauf qu’aujourd’hui il y a beaucoup plus de chômeurs et le chômage n’est plus transitoire.

S’il y a un salaire minimum cela veut dire que la consommation est tirée vers le haut. A cette époque on a fait le choix d’un système de retraite par répartition. Pour qu’il marche correctement il faut qu’il y ai suffisamment d’actifs par rapports aux retraités.

C’est en 1971 qu’on va obliger les entreprises a former les salariés.

Il y a une forme de saturation des marchés d’une façon qualitative et quantitative. De manière générale en économie on voit rarement un modèle disparaître totalement. Ce qui paraît être efficace finit par devenir contre productif (ex : l’opposition entre hiérarchie et exécutant est dans un premier temps très efficace, car on va vouloir recruter toujours plus mais la population est de plus en plus formée est sophistiquée, il faut reconnaître au personnel un certain degré d’indépendance).

Parcellisé le travail génère beaucoup de productivité mais si celui-ci est trop parcellisé va générer des taux de rebus, un gaspillage important.

Payer de mieux en mieux les salariés est très efficace les premiers temps mais au fur et à mesure des nouveaux besoins qui apparaissent, d’autres besoins vont apparaître comme le besoin de reconnaissance du salarié. On va devoir injecter autre chose que le seul salaire.

Le modèle de croissance patrimonial :

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Prix des actions[pic 47][pic 48][pic 49][pic 50][pic 51]

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Crédit[pic 53][pic 54][pic 55][pic 56]

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Taux d’intérêt[pic 62][pic 63][pic 64]

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Certaines entreprises et pouvoirs publics ont souhaités sortir du cadre strictement national. Dans la période actuelle un élément important de régulation est la globalisation.

Quand on parle de globalisation on parle de 3 notions :

- La mondialisation des échanges : apparition de pays émergents, on importe et on exporte pas seulement des marchandises concrètes, les services y participent également

- La libéralisation des marchés : certains pays ont décidés de faire disparaître d’obstacles entre eux, on fait confiance aujourd’hui à la concurrence (alors que pendant les 30 glorieuses ont se méfit de la concurrence) ➔ vison optimiste.

Dans une vision négative on parlera de dérégulation du marché

- La financiarisation de l’économie : le fait que la finance ai pris de plus en plus de place, dans les flux économiques, la finance est dominante. Pour partie la finance s’est autonomisée, un ensemble d’acteurs et de produits fonctionnent sans être connectés à l’économie réelle, elle a développé des produits qui sont recherchés pour eux même et non car ils viennent appuyer le développement de l’économie réelle. Cette financiarisation impose ses conditions.

Il faut agir à une échelle qui dépasse le cadre national.

De manière générale, la globalisation tire les prix vers le bas, c’est donc un point positif. Il y a baisse des prix car il y a plus de concurrence. Nous sommes tributaires d’un système globalisé qui exerce des prix à la baisse.

Le profit par action va être utilisé pour rétribuer les actionnaires en leur accordant des dividendes.

Pour les entreprises qui ont des besoins de financement elles n’ont plus la garantie de trouver un investissement. Il faut proposer aux actionnaires des retours sur investissements.

Le fait que les actionnaires prennent le pouvoir = gouvernance d’entreprise.

Les investissements d’organisations sont des investissements qui vont remodeler les entreprises (ex : le développement de la sous traitance, ce qui permet aux entreprises de ce concentrer sur des activités qui considèrent vitales), (ex : l’externalisation). Parfois ces investissements portent sur les méthodes de management (ex : management par objectifs, on fixe des objectifs à atteindre par équipe, on va faire disparaître une partie de la hiérarchie). Ils sont souhaités par les actionnaires qui les imposent.

Les grandes et petites entreprises sont constamment en recherche de flexibilité, elles souhaitent coller au plus près de la demande. Non seulement produire au plus juste.

Le marché du travail est en parti transformé, l’économie ne se transforme pas radicalement il y a des évolutions qui apparaissent dans le cadre du marché du travail qui pour une bonne part conserve des caractéristiques ancienne du travail.

Il ne faut pas croire que tout se transforme rapidement, il ne fonctionne pas de manière aléatoire il est amené à considérer différents publics qui ne sont pas gérer de la même manière.

Certaines choses ne disparaissent pas mais se prolonge (ex : la féminisation de l’emploi), on est toujours dans une société salariale ou la part des femmes est de plus en plus importante.

Autre phénomène qui perdure est la tertiarisation de l’économie (aujourd’hui nous sommes à environ 64%).

Ce qu’hier était compté comme un emploi industriel est aujourd’hui compté comme un emploi de service. Il y a une très forte évolution vers le tertiaire car il y a également une évolution de la demande, il y a tout une ensemble de besoins et de services qui se sont développés autour d’économie de consommation qui renvoi à de nouveaux besoin exprimés en terme de service.

Les entreprises sont amenées à solliciter tout un ensemble de services de plus en plus pointu. La tertiarisation

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