Sommes-nous maîtres de nous même ?
Par Christopher • 18 Avril 2018 • 1 356 Mots (6 Pages) • 665 Vues
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aussi qu’à cause de sentiment aussi fort que l’angoisse comme par exemple la colère ou la rage, nous percevons une difficulté à nous maîtriser, certains n’y parviennent pas et il arrive donc, que, parfois, des mots nous échappent ; les mots dépassent notre pensée. Par la suite bien souvent nous cherchons à nous excuser en sortant la phrase toute faire « Je ne le pensais pas » seulement la n’est pas la vrai raison. Nous l’avons en effet pensé seulement le travail du moi à échouer, nous ne souhaitons pas le dire mais nous l’avons quand même fait. Les émotions qui engendre les sentiments sont très difficile à contrôler elles aussi, il suffit parfois d’une odeur, d’un lieu ou d’un sourire pour perdre le contrôle. Nous pouvons aussi parler de l’amour, principale source de perte de contrôle. Ce sentiments est l’un des plus fort avec la haine, il permet de répondre à une attirance dut à une pulsion du « ça », à ce moment la plus rien ne peut nous atteindre, la personne aimé devient parfaite, et les défauts deviennent des qualités. En effet, selon Descartes, un défaut du premier être aimé oublié, nous rapproche cependant d’autre personnes ayant le même. Lorsque l’on rêve, les barrières érigées sur le surmoi sont plus fragiles et certaines pulsions peuvent les traverser, mais elles sont modifiées et nous apparaissent symboliquement sous forme de rêves. En analysant nos rêves il nous est donc possible d’explorer certaines partie de notre appareil physique. Mais même si nous ne maîtrisons pas notre psychisme nous n’en sommes pas moins responsables. La non maîtrise de nous-même peut parvenir d’une action maîtriser.
Nous avons crée nous-même une embiguïter dans le monde dans lequel nous vivons, nous avons crée une société dans lequel nous sommes censé avoir le contrôle entier, nous avons voter pour ça, dans la devise de la société française il est bien indiquer « Liberté », définissons donc le terme liberté. La liberté est le concept qui désigne la possibilité d’action ou de mouvement sans contrainte. Or, dans la société française ceux n’est pas le cas. Nous sommes dès notre plus jeune âge d’une part influencer par le monde qui nous entoure par nos parents et nos amis, d’autre part nous sommes encadrée et éduquer selon un programme généralement prédéfini que l’on se contente de suivre. Selon la loi Ferry « L’école est obligatoire jusqu’à 16ans », la notion d’obligation s’oppose donc bien à la définition de liberté. Nous sommes entourer de loi et de constitution qui nous interdissent certaines voies, elles sont instaurés dans un but constructifs mais nous privent de notre libre arbitre. Ces lois ont été écrite par nous et nous prive nous. Nous nous imposons donc tous seul une contrainte de non maîtrise. Il en est de même pour la consommation d’alcool ou de drogues qui après ingurgitation nous rend « pas nous même », l’on prononce toute sorte de paroles souvent qui n’ont aucun sens, nous ne possédons plus le contrôle de nos mouvements, de nos pensées. Cette perte de contrôle nous l’avons provoqué par la consommation consciente de ces substances. Nous sommes acteurs et victimes de nous-même.
La question être maître de soi-même est donc difficile, elle consiste à se connaître, à connaître sa propre nature, à savoir où sont nos limites . Une bonne connaissance de soi permet un maximum de contrôle sur soi-même. Les expériences de la vie et les études imposer par notre société nous forme afin d’éviter les mauvaises surprises, et la perte du contrôle. Des techniques comme la psychanalyse et la maîtrise spirituelle permette de nous aider à nous comprendre. La maîtrise de nous-même dépend du sens et de l’échelle à laquelle on l’évalue.Certains dirons que nous ne sommes en aucun cas maître de nous même, que Dieu a déjà écrit tout un destin pour tout un chacun et que quelques soit nos choix bien qu’il nous paraissent raisonné et réfléchit ainsi que contrôler , ils résident dans la volonté de Dieu. De sorte à ce que cette dissertation que je fait la est était déjà
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