Voyage au bout de la nuit, Céline

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portent: " avec casque", de ce qu’ils font: "a genoux,creusant". Ces soldats n’ont qu’un seul but: "tout détruire". De plus il déshumanise les soldats en les comparants a des chiens "cent mille fois plus enragés que mille chiens". Le raprochement de "cent mille fois plus" et de "mille chiens" donne un eimpression de rage incontrolable. Les soldats seraient meme pire que des chiens enragés "plus enragés que des chiens enragés que les chiens adorant leur rage". Il insiste puique le mot "rage" est répété 3 fois dans la meme phrase. Les soldats font penser a une vague qui se deferlent sur l’ennemi "deux milions de fous héroiques".

Ensuite il dénonce la guerre en la qualifiant "d’erreur", qu’on se serait trompé. Il dénonce aussi le fait qu’on puisse tuer sans que cela soit interdit, que ce ne soit pas défendu. Pour lui la guerre réveille la vrai identité des hommes "qui aurait pu prévoir tout ce que contenait la sale hame héroique et fainéante des hommes". Il compare aussi la guerre a un enorme brasier qu’on aurait allumé d’un coup "venait d’allumer la guerre entre nous et ceux d’en face, et a présent ca brulait". Le champ lexical du feu est beaucoup présent dans ce texte: "feu","charbon","s’éteindre".

L’auteur dénonce donc les méfaits de la guerre a travers le personnage principal qui représente le soldat s’engageant sous un coup de tete et voulant rentrer comme un héros mais aussi en décrivant au plus près les combats et les soldats entrain de combatre d’autant plus que Louis Ferdinand Celine a fait la guerre. Il serait utile de se demander si d’autres auteurs de son siècle ont eux-meme dénoncer la guerre.