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Pantagruel-Thaumaste Littérature française générale et comparée

Par   •  10 Janvier 2018  •  2 969 Mots (12 Pages)  •  451 Vues

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En ce qui concerne le nom de Panurge il y a la signification grecque πανούργος, celui qui utilise des moyens immoraux ou illégaux de sorte qu’il accomplisse son but. En français, le nom Panurge pourrait être Pain plus urge. Panurge a besoin de pain, il veut manger. Alors, c'est un jeu avec son nom et son besoin.

Les différentes interprétations sur le chapitre

Le combat de Thaumaste et Panurge est semblable d’une histoire grecque sur la transmission de l’idée de droit de Grèce en Rome. Les Grecs ont envoyés un sage pour savoir si les Romans sont prêts d’apprendre le droit et les Romans lui délèguent un sot pour combattre avec signes et gestes étant donnée qu’ils ne savaient pas comment de communiquer. Alors, ils ont fait beaucoup de signes entre eux sans comprendre ni le grec ni le roman les significations de ces signes mais en donnant leur propre sens. Finalement, le grec a considéré qu’ils sont capables d’avoir le droit et ils ont transmis leurs idées et leurs savoirs. En même temps, Panurge (l’idiot) batte Thaumaste à la place de Pantagruel en faisant plusieurs gestes humoristiques, en changeant de signes mais aussi de sons, en utilisant d’objets contre les règles. Aussi, Rabelais crée une atmosphère plus amusant, plus complique que la comédie grecque.

Parallèlement, il y a une autre histoire que Rabelais est influencé, la discussion entre Salomon et la reine de Saba, l’épisode biblique. La reine de Saba à transversé de mers pour trouver et voir le grand Salomon vient pour « l’éprouver par des énigmes », « vint de limites » et « ouïr la sapience » mais enfin elle rencontre la magnificence de Christ. . En même temps, elle a voyagé du bout du monde pour parler au grand Salomon comme Thaumaste a voyagé de discuter avec Pantagruel. Cette épisode a été utilisé par Christ dans une réponse aux Sémites at aux Pharisiens à propos de le la reine Saba. Screech dit que les humanistes croient qu’elle a discuté par signes avec Salomon. En même temps, il y a une ambigüité sur le mot « signe ». Parfois il signifie un évènement merveilleux ou religieux et autres fois, par exemple pour Thaumaste ou pour la justice « signe » signifie le geste. Cette ambiguïté est très interessant à l’œuvre. Aussi, il y a les signes qui ont de sens, ces qui sont religieux, naturels et ces qui sont artificiels, kabbalistiques, qui ne sont pas clairs, qui peut-être ont de fautes. Thaumaste cherche pour connaissance cachée comme la raine de Saba. Alors que Rabelais connait que beaucoup de gestes ont de sens naturelle ou convenable, il fonde sa comédie sur le fait qu'il y a d'autres signes ésotériques dont leur sens est aussi arbitraire que les sens imposé sur les mots. Il veut montrer que quelques fois la recherche pour kabbale et magie peut conduire aux fautes et épisodes comiques

Cependant, Rabelais n’a pas choisi cette méthode de débat seulement pour évoquer le rire et à cause de l’histoire grecque. Il voulait de moquer « ces fols sophistes de la Sorbonne » qui utilisent la langue et les philosophes comme ils les conviennent parce qu’ils ne cherchent pas la vérité objective mais ils essayent de convaincre le public. L’intervention de Panurge est déterminante pour le débat vu que tous se changent à une pantomime grotesque ponctuée de pieds de nez et de quelques symboles gestuels dont l’obscénité se laisse percevoir sans peine. Il fait de gestes obscènes, il est apparu sérieux avec son braguette. Pour Panurge tous le debat est un jeu. Pourtant la vérité n’est pas la même pour Thaumaste et Panurge. « bonneur et appleusement de bonnes, mais la vérité seule » dit Thaumaste. La première phrase s’agit aux Sophiste, Gorgias et Protagoras et la deuxième à Socrate, le philisophe. Il y avait un debat à l’antiquité entre « Peitho » et « Alethia » et Rabelais en voulant de critiquer les sophistes il utilise cette phrase. Il y a une différence entre la vérité et le savoir. Rabelais utilise l’équation Sorbonages pour appeler les sophistes. On sait que Socrate et en général les philosophes disputaient avec les sophistes parce qu’ils ne veulent pas trouver la vérité mais convaincre le public en utilisant des « sophisties », arguments avec beaucoup de mots sans vérité. La comparaison de Sorbonne avec les sophistes est une satire. Comme tous les humanistes, Rabelais condamne la « dispatatio pro et contra » Alors, en ce qui concerne Thaumaste, est un sujet sacralise et très important pour lui. Il est intéressé aux traditions occultes « de magie, d’alchimie, et de Cabale » et aussi de géomancie et d’astrologie. Ces pseudo-savoirs créent d’avertissement avec les gestes de Panurge. L’ironie a commencé. Thaumaste, au terme du débat interroge Panurge ‘Ha, j’entends, mais quoi ?’ C’est un paradoxe parce qu’on sait que les gestes et les signes de Panurge n’ont pas une explication. Cependant, Thaumaste est tant sur qu’il comprend, qu’il demande plus d’information sur le sujet. Les signes ont été transformés en quolibets, paillardises et dérisions. Les gesticulations sont mystérieuses, satiriques et le fait que Panurge ridiculise Thaumaste avec eux fait le combat et enfin la victoire plus ironique.

Panurge utilise des gestes dérives dégradants et parfois grotesques. Quelques fois des grimaces ou de bruits bizarres en utilisant quelques parts de son corps (p.ex. « Sonner ses dentz bien mélodieusement les basses contre les haultes », autre fois en utilisant des objets avec de bruits comme les deux pièces de bois entrechoquées p.ex. « faisoyt son,tel que font les ladres en Bretaigne avecques leurs clicquettes mieulx toutesfoys resonnant et plus harmonieux et de la langue contracte dedans la bouche fredonnoyt joyeusement, tousjours reguardant l’Angloys » les singeries de Panurge créent un environnement plaisanterie. Panurge fait beaucoup de sons qui ne peuvent pas être assimilés à n’importe quoi. Ainsi, le narrateur fait de comparaisons de sorte que le lecteur comprenne. La seule différence entre Thaumaste et le lecteur est que le premier est sûr qu’il comprend tous les signes, les gestes, les sons et les grimaces et le lecteur sait qu’il ne comprend pas vu que s’il y a un sens à ces singeries n’est pas du tout clair.

Cependant, les signes de l’œuvre ont de différences en fonction de qui les utilise. Il y a deux catégories : ces qui sont utilisé de Panurge et ces de Thaumaste. Les signes de Panurge sont obscènes sauf à Thaumaste qui essaie trouver de sens en nous évoquant de rire à cause de son crédulité et de son naïveté car il n’arrête pas chercher les sens secret. D’autre part ceux de Thaumaste sont destinés

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