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Réflexion comparative sur les textes de Montaigne (Essai) et de Voltaire (Candide)

Par   •  30 Octobre 2017  •  1 154 Mots (5 Pages)  •  1 280 Vues

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Chez Montaigne, il compare la société française et celle de cannibale. Conséquence, l’Indien est expliqué plus tôt supérieur par son moral. Pourtant à la fin de texte, il le disqualifie avec un ironie sur son civilisation. Mais au finale il se moque les Français plus que l’Indien.

De plus en plus, ils sont fascinés par leur musique qui contient l’esprit de passion et de joie de vivre. Tandis qu’elle insiste la pauvreté et déstabilisant symptôme physique des immigrés. Elle remarque de leur qualité et contradiction de leurs images et cliches. La dernière phrase « C’était une génération perdue. » nous explique d’actualité de Français de son époque quand on ne peut pas cesser d’être raciste.

Les points communs entre les deux: Ils pressentent les points positifs d’étrangers. Chez Montaigne les indiens sont décrits comme ils sont très fortes et leur société est égale entre le richesse et le pauvre. Chez Etcherelli, les arabes sont décrits avec les images très vivantes. Les deux n’hésitent pas d’admettre qu’ils étaient stéréotypés mais actuellement ils donne les exemple pour valoriser les étrangers.

Les différences entre les deux: Chez Montaigne, il se moque les Français par la comparaison avec les Indiens. Mais à la fin, il se moque les Indien aussi. C’est son stratégie de ne pas critiquer les Français directement. Etcherelli ne se moque pas d’Algérien. Il reproche les Français qui restent d’être racistes et il espère que les la génération suivant allait changer et avoir l’esprit plus ouvert pour les étrangers.

Les différences avec le narrateur chez Voltaire: Le narrateur ne décrit pas les points positives de Candide. Il est toujours l’expliqué comme un homme crédule alors qu’il confronte les défauts de Français. Voltaire nous montre pas sa motivation de qualifier les étrangers.

Mon préfère: Je préfère le narrateur de Montaigne le plus. Il est très intelligent de critiquer la société française en utilisant les cliches d’étranger sauvage. Les Indiens et les Français sont très différents et donc cette comparaison nous donne le contraste vif qui montre du morale d’Indien et de la superficialité de Français. En plus, le narrateur utilise le pronom “je” et l’intervention de son excuse au milieu de texte. Ce façon de raconter s’approche et tire l’attention de lecteur pour réfléchir mieux son idée.

b) À mon avis le théâtre est le plus adopté pour évoquer de façon interessante la question des étrangers comme il peut illustrer les images d’étrangers avec les costumes d’acteurs et les sons de discours. Nous comprennes profondément de la culture étrangers par les visuels et les audio. Par contre, pour présenter les concepts plus compliqués, il vaut mieux décrire sur le roman ou l’essai puisque quand nous regardent un théâtre, nous sommes facilement fascinés par les charmes des éléments visuel et audio et nous raterons de capturer le sujet principale.

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