Le Lac, Alphonse de Lamartine
Par Stella0400 • 8 Décembre 2017 • 915 Mots (4 Pages) • 618 Vues
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Laissez-nous savourez les rapides délices » (v.23)
« Que faites-vous des jours que vous engloutissez ? » (v.46)
Le temps apparait comme un personnage affamé qui ne veut que dévorer tous les instants qui passe.
C.B. : (conclusion du paragraphe B) Le temps ne peut être stoppé en aucun cas.
C.II. : (conclusion de la partie II) Même si nous aimerions tous profiter le plus possible du temps, malheureusement nous sommes impuissant face à cette force destructrice.
III. (3e argument principal) L’inexorable fuite du temps
A. (1er argument secondaire) Le temps découle rapidement
1. (1re preuve : procédé + citation + commentaire)
a) Enjambement nombreux en fin de strophes précipitent le poème
à « Regarde ! Je viens seul m’asseoir sur cette pierre
Où tu la vis s’asseoir ! » (v.7)
à « Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence
Tes flots harmonieux. » (v.15)
2. (2e preuve : procédé + citation + commentaire) écoulement inexorable et rapide du temps.
a) Expression évocatrice
à « Heure fugitive » (v.22) « rapides délices » (v.23) « le temps m’échappes et fuit » (v.30)
b) Utilisation du champ lexicale de la vitesse
à « Rapide » (v.23) « vitesse » (v.39)
C.A. : (conclusion du paragraphe A) Le temps est incontrôlable et passe très rapidement.
B. (2e argument secondaire) Fugacité des moments de bonheur
1. (1re preuve : procédé + citation + commentaire)
a) Antithèse
à « Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface » (v.43)
Le poète porte plainte de toute nature humaine.
2. (2e preuve : (procédé + citation + commentaire)
a) Utilisation de la première personne du pluriel
à « Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface » (v.43)
Permet au lecteur de se reconnaitre dans le cri de douleur du poète
C.B. : (conclusion du paragraphe B) Le poème semble évoquer la fuite du temps.
C.III. : (conclusion de la partie III) Le temps est une puissance destructrice que personne ne peut freiner.
CONCLUSION
Confirmation : Ce poème est une réflexion sur le temps par rapport à la souffrance qu’il peut apporter.
Synthèse : Lamartine confirme avec amertume que les instant de bonheur du passé ne sont que du passer et qu’ils sont partie à jamais. Il constate dans ce poème que le temps efface les traces que tous et chacun avons pu émettre.
Ouverture : Comparaison avec Ronsard, célèbre poète français du XVIème siècle
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