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Le lac cas

Par   •  17 Février 2018  •  1 545 Mots (7 Pages)  •  444 Vues

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2. (2e preuve : procédé + citation + commentaire) Champ lexical de l’indépendance du temps - « nuit éternelle » (l.4), « Le temps m’échappe et fuit » (l.32) et « l’heure fugitive » (l.37)

a) Grace à ce champ lexical de l’indépendance du temps le poète démontre qu’il sent une incapacité face à la puissance du temps

b) (si nécessaire)

à

C.A. : (conclusion du paragraphe A) Grace au champ lexical et à la métaphore qu’utilisent l’auteur on ressent à quel point le poète se sent impuissant face au pouvoir du temps.

B. (2e argument secondaire) Le temps est une force occulte au caractère inévitable

1. (1re preuve : procédé + citation + commentaire) Allégorie - « Ô temps ! Suspends ton vol » (V.23)

a) L’auteur demande au temps de suspendre son vol ce qui démontre clairement qu’il est impuissant face à lui.

b) (si nécessaire)

à

2. (2e preuve : procédé + citation + commentaire) Euphémisme - « l’homme n’a point de port, le temps n’a point de rive ; il coule et nous passons » (V.37-38-39)

a) Grace à cette euphémisme Lamartine met en évidence le caractère inévitable du temps.

b) (si nécessaire)

à

C.B. : (conclusion du paragraphe B) L’euphémisme et l’allégorie dans le poème, « Le lac », confirme la puissance du temps face aux hommes.

C.II. : (conclusion de la partie II) Suite à cela, on comprend la fatalité qu’est le temps pour l’homme grâce au caractère inévitable qu’a souligné Lamartine.

III. (3e argument principal) Le temps est destructeur de bon moment en les faisant passer trop vite et en faisant passer les moments de malheur trop lentement

A. (1er argument secondaire) Le temps passe trop vite lors des bons moments

1. (1re preuve : procédé + citation + commentaire) Métaphore - « Laissez-nous savourer les rapides délices des plus beaux de nos jours » (V.25-26)

a) Le poète implore le temps de le laisser profiter plus longtemps de ses plus beaux jours.

b) (si nécessaire)

à

2. (2e preuve : procédé + citation + commentaire) Champ lexical des moments qui passent trop vite – « échappe » (V.32), « fuit » (V.32), « sois plus lente » (V.33), « fugitive » (V.35) et « s’envolent » (V.41).

a) Le champs lexical des bons moments qui passent trop vites démontre que l’auteur croit que les bons moments ne durent pas assez longtemps.

b) (si nécessaire)

à

C.A. : (conclusion du paragraphe A) L’écrivain dénonce la puissance du temps d’être fautif d’avoir fait passé ses plus beaux moments avec son amoureuse beaucoup trop rapidement.

B. (2e argument secondaire) Le temps passent trop lentement lors des pires moments

1. (1re preuve : procédé + citation + commentaire) Métaphore - « Temps jaloux, se peut-il que ces moments d’ivresse, où l’amour à long flots nous verse le bonheur, s’envolent loin de nous de la même vitesse que les jours de malheur ? » (V.40-41-42-43-44-45)

a) Avec cette métaphore l’auteur

b) (si nécessaire)

à

2. (2e preuve : (procédé + citation + commentaire) Champ lexical de la misère – « éternité » (V.47), « néant » (V.47) et « sombre abîme » (V.47)

a) Selon ce champ lexical qu’a employé Lamartine pour qualifier les moments qui passent lentement qu’il affirme que les pires moments passent trop lentement.

b) (si nécessaire)

à

C.B. : (conclusion du paragraphe B) Le texte d’appui permet aussi de comprendre que le temps s’écoule beaucoup plus lentement lors des pires moments de leur couple ce qui rend leurs souffrances très longue.

C.III. : (conclusion de la partie III) Le temps a le pouvoir destructeur de passer rapidement lors des bons moments, mais d’éternisé les pires moments d’une vie. Autrement dit, il nous fait souffrir plus longtemps.

CONCLUSION

 Confirmation : Pour finir, le poème écrit par Lamartine est clairement une focalisation de son attention sur le pouvoir dévastateur du temps qui s’écoule sans arrêt.

Synthèse : Le poète met son attention de façon centripète sur l’amour passé, le temps est une grande puissance pour l’homme puisqu’il ne peut le contrôler et pour finir le temps est destructeur de bon moment en les faisant passer trop vite et en faisant passer les moments de malheur trop lentement.

 Ouverture : Donc, si on veut qualifier une vie comme étant heureuse suffirait-il de vivre dans le passé en chérissant nos bons souvenirs, mais sans porter attention à nos mauvais jours

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