Plan détaillé Le Lac, Lamartine
Par Ninoka • 16 Mars 2018 • 1 000 Mots (4 Pages) • 2 186 Vues
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a) perdus (v.43) souvenir (v.54) s’envolent loin (v.41) efface (v.45) néant (v.47) emportés (v.4)
b) (si nécessaire)
→ Cela met de l’emphase sur son sentiment de perte et vulnérabilité.
C.B. : (conclusion du paragraphe B) Il est mécontent que le temps emporte des moments et personnes importantes.
C.II. : (conclusion de la partie II) Il ne peut rien faire face au temps et sa force à s’emparer d’être chers, dans ce cas, Julie Charles.
III. (3e argument principal) Il supplie à la nature de garder vivants les souvenirs.
A. (1er argument secondaire) La nature demeure toujours la même.
1. (1re preuve : procédé + citation + commentaire) Utilisation de coupe à l’intérieur d’un vers.
a) «L’homme n’a point de port, le temps n’a point de rive» (v.37)
b) (si nécessaire)
→ Cela favorise l’analogie et nous permet de voir le lien entre les deux sujets.
2. (2e preuve : procédé + citation + commentaire) Changement de mètre d’alexandrin à hexasyllabe
a)
«Ô lac! Rochers muets! Grottes! Forêt obscure! (12)
Vous que le temps épargne ou qu’il peut rajeunir, (12)
Gardez de cette nuit, gardez, belle nature, (12)
Au moins le souvenir! (6)» (strophe 13)
b) (si nécessaire)
→ Cela brise le rythme et amplifie le dernier vers. Celui-ci conclue la demande du poète.
C.A. : (conclusion du paragraphe A) Ces composantes propres au poème mettent l’emphase sur la force qu’à la nature par rapport à l’homme.
B. (2e argument secondaire) Elle est supérieure à lui.
1. (1re preuve : procédé + citation + commentaire) Temps de verbe impératif
a) «Gardez de cette nuit, gardez […]» (v.53)
b) (si nécessaire) Parlez (v.49)
→ Il sent que seule la nature en est capable.
2. (2e preuve : (procédé + citation + commentaire) Participes passés
a) emportés sans retour (v.4) perdus (v.44) passés (v.44)
b) (si nécessaire)
→ Le temps lui enlève des choses.
C.B. : (conclusion du paragraphe B) Le temps lui quitte des choses dont la nature, elle peut se souvenir.
C.III. : (conclusion de la partie III) L’homme dépend de la nature pour garder ses souvenirs vivants malgré le temps et ses effets.
CONCLUSION
- Confirmation : Impuissance du poète face aux effets du temps. Il demande donc à la nature de pérenniser son amour pour Julie Charles.
- Synthèse : Le poète se confit à la nature et lui confit aussi ses souvenirs lorsqu’il se rend compte de sa vulnérabilité, chose n’atteignant point la forte nature.
- Ouverture : Comparaison avec Les nuits (1835-1837) extrait la Nuit de décembre écrit par Alfred de Musset. C’est une œuvre dans laquelle le poète vie la perte d’êtres chers et désir en garder le souvenir.
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