Commentaire de «Djinns» Victor Hugo

...

mais Hugo n’a redouté pas l’utiliser juste au début du poéme. Les couleurs d’ouverture sont «grises», «pales», «livide». C’est la description de la realité et les tones vivants apparaissent avec le «rêve des djinns». Le rêve est au centre de l’imagination romantique, c’est la source de création qui met le poéte devant les mystères de l’existance. Ainsi il y a beaucoup des personnages mythologiques sauf les djinns: «les vampires», «les dragons», «impurs demons», «fils du trépas». Hugo les place au milieu du poéme quand le fait mysterieux est commencé. Au contraire au debut et à la fin il n’y a pas d’événements fiables: le poet décrit la realité contre le rêve. Il y a aussi beaucoup de mots religieux «la cloche», «tes sacres encensoirs». Les romantiques ont aimé l’église, ils sont redéfinis sa definition et apprécie les idées du christianisme. «Si ta main me sauve…J’irai prosterner mon front chauve Devant tes sacres encensoirs». Hugo renvoie au sauvetage probable chrétien et aussi s’adresse à la divinité: «Dieu, la voix sépulcrale».

Parmi les autres expressions il y a des repetations («brise», «rampe», «vague») qui font un bon rhythme. Quelques l’anaphores («Et tantôt», «Si»), l’epiphores («rampe», «vague»), l’épithètes («vol fracasse», «pin brulant», «voix grele»), les comparaisons («comme une ame», «comme un bruit de foule», «comme la cloche»), les metaphores («le noir bataillon» = les demons, «fils du trepas» = les djiins, «les vitraux noirs» = les nuages), les personnifications de la nature («l’haleine de la nuit», «la voix plus haute», «l’echo le redit», «murmure une onde», «la maison crie»), l’hyperbole («tremble a deraciner ses gonds») et le grotesque pendant tout la partie central.

Grace à ces expressions Hugo pouvait exprimer comment les gens orientals perçoivent l’orage. Il ne pensent pas aux raisons reeles de ce phenomene mais ils s’adressent à la mythologie et la religion. L’heros de poéme est une arabe qui a peur d’orage que lui semble un cohorte des dijinns. Il se cache de demons et prie a Dieu jusque le fin de l’ouragan. Hugo illustre une rêve éveillé et terrible de la connaissance orientale. Le heros romantique est placé au centre d’un sujet fabuleux et il resiste aux les forces obscures et tout l’exterieur. Avec le rhythme musical et les rime bien proportionnés ce poéme est devenu un vrai chef-d’œuvre du romantisme et la litterature française entiere.