Le Lac, Alphonse de Lamartine
Par Andrea • 19 Août 2018 • 1 165 Mots (5 Pages) • 683 Vues
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a) « Tu la vis » (v. 10), « Tu mugissais » (v. 11), « Tu te brisais » (v. 12), « t’en souvient-il » (v. 15) − Pron. pers. 2e pers. sing.
b) (si nécessaire) « Vous que le temps épargne » (v. 52) − Pron. pers. 2e pers. plur.
→ Le lac d’abord, puis tous les éléments de la nature sont les destinataires du poète
2. (2e preuve : procédé + citation + commentaire) Apostrophes
a) « Ô lac » (v. 7), « Ô lac ! rochers muets ! grottes !, forêt obscure ! » (v. 51), « Vous » (v. 52), « belle nature » (v. 53)
→ Le poète interpelle tous les éléments de la nature
C.A. : (conclusion du paragraphe A) La nature qui entoure le poète lui sert de représentation
B. (2e argument secondaire) La nature est une force immuable
1. (1re preuve : procédé + citation + commentaire) Champ lexical de la nature
a) « rivage(s) » (v. 3 et 20), « océan » (v. 5), « lac » (v. 7, 51, 56), « flot(s) » (v. 8, 18, 21), « pierre » (v. 9), « roches » (v. 11), « flancs » (v. 12), « vent » (v. 13 et 63), « écume » (v. 13), « onde(s) » (v. 13 et 16), « cieux » (v. 16), « terre » (v. 19), « rive » (v. 37), etc.
→ Montre toute l’étendue du champ d’action de la nature et met en évidence son immuabilité
2. (2e preuve : procédé + citation + commentaire) Vocabulaire appréciatif
a) « roches profondes » (v. 11), « flots harmonieux » (v. 18), « flot […] attentif » (v. 21), « rochers muets » (v. 51), « belle nature » (v. 53), « Beau lac » (v. 56), « riants coteaux » (v. 56), « parfums légers » (v. 64), « air embaumé » (v. 64)
→ Révèle la magnificence de la nature, sa grandeur, sa splendeur, sa disponibilité
C.B. : (conclusion du paragraphe B) Montre que la nature est d’une force exceptionnelle.
C.III. : (conclusion de la partie III) Le poète parle de la nature pour exprimer ses solution face au temps, grâce au qualité immuable qu’elle pocède.
CONCLUSION
- Confirmation : Le poème est une méditation sur la puissance destructrice du temps dû à la mort de sa bienaimée.
- Synthèse :
CI : Interrogation de lui-même;
CII : Le poète, dénonce la puissance négative du temps;
CIII : Le poète se tourne vers les bienfaits de la nature.
- Ouverture : Ce texte, nous fait rappeler à Atala et René, de Chateaubriand. Le retour à la nature et visible dans les deux roman. Aurait-il influencé Alphonse?
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