Examen final sociologie quebecoise
Par Andrea • 25 Février 2018 • 1 948 Mots (8 Pages) • 569 Vues
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Dans le texte «La question du Québec» de Marcel Rioux, on évoque l’idéologie de Durham qui se trouve presque dans la même ligné que monsieur Garigue « Durham a accusé les Québécois de ne pas avoir d’histoire ni de littérature» (Rioux Marcel, «La question du Québec», p.119) Comme expliqué en classe, pour Rioux le passé c’est d’abord l’habitant, il va aller sur le terrain afin de faire la sociologie de l’île-verte. Par la suite on observe dans le texte que, les québécois voulait avoir comme but de non seulement être indépendant mais aussi de conserver leur culture. Le clergé aidera à définir cette idéologie de conservation.
Le terme de nationalité prend aussi beaucoup d’importance pour les québécois, Dumont affirmera ceci « La politique deviendra un terrain où périodiquement les politiciens défendront leur nationalités; mais ce ne sera qu’un lieu parmi d’autres, d’élaboration des idéologies nationalistes.» (Rioux Marcel, «La question du Québec», p.119) Marcel Rioux, confirma aussi comme les autres auteurs nommé plutôt au cours de ce texte, la grande puissance et influence de l’Église, d’après Rioux l’objectif de l’Église était d’évangéliser et de civiliser la population. On appuya aussi le fait que les hauts dirigeants soutenaient aussi l’Église d’une manière ou d’une autre, malgré qu’elle cherchait à conserver une certaine idéologie et luttait contre les penseurs libres. «Cette prédominance que l’Église acquiert se fait avec le consentement « des leaders, même incroyants, qui ne pouvaient manquer de reconnaître que la religion était un facteur essentiel de solidarité sociale et un élément fondamental de la nation canadienne-française dans sa différenciation d’avec l’Anglais»». (Rioux Marcel, «La question du Québec», p.121) Monsieur Rioux, nous expliqua aussi l’idéologie de rattrapage vu en classe, et l’idéologie de dépassement donc entre les forces du libéralisme et de la contre-culture
Dans le texte «Anatomie d’une société distincte» et le texte « Sécularisation, catholicisme et transformation du régime de religiosité au Québec. Étude comparative avec le catholicisme au Canada (1968-2007)». On retrouve dans c’est deux texte, grâce aux statistiques et divers constats, la transformation du Québec à une société post-moderne. On voit se Québec traditionnel passer un mode plus moderne, plus laïc. Le caractère distinct de la société québécoise est aussi vue de la nouvelle tolérance acquise par les québécois, les sujets tabous, le sont beaucoup moins aujourd’hui.
Les valeurs qui avaient de l’importance avant, le sont beaucoup moins aujourd’hui. «Ils sont moins intéressés par le mariage (-22%)» («Anatomie d’une société distincte», Dossier, L’Actualité, Janvier 1992. p.229) «La pratique du mariage catholique a connu, quant à elle, un déclin constant entre 1968 et 2001, baisse semblable à celle de la pratique religieuse hebdomadaire. En 33 ans, la proportion des mariages catholiques par rapport à l’ensemble des mariages (religieux ou civils) a baissé de plus de 51 % ». (E-Meunier et Sarah Wilkins-Laflamme, « Sécularisation, catholicisme et transformation du régime de religiosité au Québec. Étude comparative avec le catholicisme au Canada (1968-2007)». On tant à noter aussi que l’identité sociale québécoise est vraiment important, les canadiens anglais sont plus devenu plus conservateurs et sans soucis peu par rapport au Canadien-français.
La consommation est aussi prise à cœur par les québécois, elle démontre un sentiment de plaisir, ils aiment consommer. On constate que l’idéologie que perpétuait la religion à travers la société québécoise est moins importante qu’à l’époque. Le texte d’E-Martin Meunier et Sarah Wilkins- Laflamme comparé à celle de la revue l’Actualité de 1992 ne comporte pas une grande différence si ce n’est le fait que selon le texte d’E-Martin Meunier et Sarah Wilkins- Laflamme, après la Révolution Tranquille, on a remarqué une nette diminution des croyants adhérant aux divers principes de l’Église. Les québécois sont plus définis comme des catholiques, ceux-ci tiennent à cette identité. On souligne que le sentiment d’appartenance est important dans plusieurs sujets car, on est avant tout catholique et francophone. Ce qui les distingue des canadiens anglais. On part d’une société traditionnelle, conservatrice qui vivait dans la peur du changement et sous l’aile de l’Église à celle qui est tolérante. . Les québécois sont moins portés à se marier par rapport aux autres provinces, ils préfèrent vivre en union libre. Par contre, ils deviennent plus méfiant à l’égard des immigrants, la population Québécoise veut aussi une certaine transparence, on cherche à comprendre, on veut savoir. Les Québécois recherche à mieux vivre dans leur société tout en essayant d’accepter et de tolérer certaines choses.
Bibliographie
«Anatomie d’une société distincte», Dossier, L’Actualité, Janvier 1992.
E-Martin Meunier et Sarah Wilkins-Laflamme, « Sécularisation, catholicisme et transformation du régime de religiosité au Québec. Étude comparative avec le catholicisme au Canada (1968-2007)», Catholicisme et laïcité au Québec. Recherches sociographiques, LII, 3, 2011, pp. 638-729.
Garigue, Philippe, «Évolution et continuité dans la société rurale canadienne-française», in Rioux, Marcel et Yves Martin (dirs), La société canadienne-française, Montréal, HMH Hurtubise, 1971, pp.137-148
Guidon, Hubert, «Réexamen de l’évolution sociale du Québec», in Rioux, Marcel et Yves Martin (dirs), La société canadienne-française, Montréal, HMH Hurtubise, 1971, pp.149-171
Rioux, Marcel, «La question du Québec», Montréal Éditions Seghers, 1969, pp.75-100
Simard, Jean-Jacques, « Ce siècle où le Québec est venu au monde» Québec 2000, Roch Côté (dir.), Fides, 2000.pp 17-77
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