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Introduction aux sciences économiques

Par   •  26 Février 2018  •  2 101 Mots (9 Pages)  •  642 Vues

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L’éthique des affaires morale est la relation transparente avec les fiscs, c'est-à-dire une relation de confiance.

- L’entreprise, centre de décision

Le centre de décision sert à fixer les objectifs à atteindre par l’entreprise, mais définit aussi les notions à mettre en œuvre.

La prise de décision est un acte essentiel dans l’entreprise, il permet l’adoption d’un meilleur environnement mais aussi concerne les cadres dirigeants (décisions stratégiques) et le reste des employés (décisions opérationnelles).

NB : La notion de centre de décision permet de distinguer l’entreprise de l’établissement.

- Comment est-elle perçue par ses partenaires ?

Pour permettre sa pérennité et son développement, toutes les entreprises ont besoin de clients, fournisseurs, apporteurs de capitaux (investisseurs, actionnaires) et de la collectivité nationale (l’Etat).

L’entreprise est un pôle d’échange de biens et services, de flux financiers et d’informations au sein même de l’entreprise.

- Fournisseurs et clients : L’entreprise entretient avec les fournisseurs et les clients une relation marchande.

Elle obtient de ses fournisseurs des biens et services nécessaires à son activité ; elle leur délègue parfois une partie de sa production dans le cadre d’un contrat de sous-traitance (≠ : intégration d’une conglomération d’homme/valeur)/

Elle doit séduire et fidéliser ses clients pour écouler sa production en se distinguant de ses concurrents. L’entreprise noue avec ses fournisseurs et ses clients des liens +/- stables/conflictuels (négociations des prix, délais, qualités…)

- Actionnaires et apporteurs de capitaux

Les cadres dirigeants ont parfois une vision très possessive de leur entreprise : Elle symbolise pour leur réussite personnelle, représente la possibilité d’exercer un pouvoir, de concevoir des plans stratégiques… La rentabilité des capitaux investis passe alors au 2nd plan de leurs préoccupations ; alors que pour un actionnaire/banquier, l’entreprise est un placement risqué dont ils espèrent, à +/- long terme, tirer un juste profit.

- L’Etat et la collectivité locale, l’opinion publique :

Pour certains, l’entreprise est un fournisseur d’emplois, animateur de la vie locale, une source de revenue, un instrument de la politique industrielle… Pour d’autre, c’est un consommateur d’infrastructures, un demandeur de subvention, un pollueur, un agent économique qui privilégie ses intérêts au détriment du collective.

- Marjane se caractérise par sa liquidité : écoulement de stock facile➔vitesse de rotation des stock (intervient pour ce qui est de l’aisance financière) ;➔délai client : ratio de recouvrement des créances → doit être ➔ clients de Marjane payent même avant que l’entreprise paye ses fournisseurs →marge de sécurité.

- Les approches théoriques de l’entreprise s’opposent-elles ?

- Point de vue des juristes.

Les juristes considèrent l’entreprise comme :

- Un objet de droit, c'est-à-dire comme un ensemble de biens/droits/obligations (patrimoine) ; l’entreprise est soit la propriété privée des apporteurs de capitaux, soit celle de l’Etat ➔Office.

- Un sujet de droit, c'est-à-dire non plus comme un objet d’appropriation, mais comme une entité dotée d’une personnalité ; l’entreprise est un sujet collectif de droit, une combinaison de travail et de savoir faire.

B. Point de vue des économistes.

Jusqu’à la fin du 18ème siècle, les économistes ne s’intéresse pas à l’entreprise en tant que telle. Elle était seulement une source de richesse pour les mercantilistes (l’or et les métaux précieux !!!). Pour les physiocrates, c’est plutôt la terre.

Adam Smith et les classiques montrent que la valeur créée par le travail de l’homme prend en compte que l’entreprise sans vraiment dissocier l’entre de l’entrepreneur. Celui-ci est guidé par la recherche du profit et a donc intérêt à rationaliser sa production par la spécialisation et le rapport du travail.

A leurs suite, les néoclassiques développent une théorie de la firme et utilisent des modèles mathématiques pour réduire aussi bien les contraintes de production financières, commerciales ou humaines. Il s’agit de modèle de fixation des prix et des quantités assurant l’équilibre de l’offre et de la demande globales sur les différents marchés (marché du travail, des biens de consommations…)

- le point de vue des théoriciens classiques de l’entreprise

- Les classiques.

Contrairement aux juristes et aux économistes qui observent l’entreprise de l’extérieur, les théoriciens de la firme (ingénieurs, psychosociologues, gestionnaires…) privilégient l’analyse de son fonctionnement et de ses modes de gestions internes.

Taylor préconise deux solutions pour l’OST :

- Division sociale du travail

Spécialisation des individus dans des métiers différents

Séparation des taches de conception réservées à des spécialistes et des taches d’exécution confiés à des ouvriers.

- Division technique du travail

Fractionnement de la fabrication d’un bien entre plusieurs personnes

Décomposition du travail en taches élémentaires pour gestes superflus afin d’obtenir un rendement maximal

Ford complète l’application de Taylor en analysant le travail des dirigeants ; il définit les taches dévolues à la direction ➔diriger = prévoir+organiser+commander+coordonner+contrôler.

Il propose 14 principes d’administration des entreprises parmi lesquels :

- Division du travail

- L’unicité de commandement

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