Langage et communication
Par Raze • 28 Juin 2018 • 1 205 Mots (5 Pages) • 485 Vues
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Analyse partie des différents modes de communication aliénants :
- Jugements, peuvent être positifs ou négatifs, s’apparentent à un comportement, pensées ou façons de réagir. L’opinion est un jugement. Il faut être vigilant (être en veille, faire attention) quand on parle à quelqu’un.
- Les comparaisons - Société de consommation s’appuie sur les comparaisons.
- Le refus de responsabilité - Ne pas assumer ce qu’on dit, fait ou pense. Expliquer certains de ses actes, paroles, positionnements par des éléments extérieurs (dire qu’on fait les choses parce qu’on est obligés). Exemple : je vais en cours parce que je suis obligée. (Lynda : « comment lutter contre la procrastination ? » → Remettre au lendemain).
- La pression sociale, « je n’aime pas aller travailler mais je suis obligée car je suis chargée de famille ».
- Le dictat d’une autorité, dire qu’on nous a demandé de le faire.
- Exigences, si la personne ne répond pas à notre exigence elle va avoir l’impression de se mettre en danger. Système de punition – récompense. Exercer une sorte de pression symbolique. Aliénant car on a peur de pas pouvoir faire ce qu’on veut.
Quand on communique de façon aliénante ça veut dire qu’on est frustré. Par la communication non violente on va arriver à déjouer des situations comme celles-ci en essayant de revenir à la réalité.
La communication non violente est une méthode en 4 étapes qui peut être utilisée soit pour comprendre sa façon de réagir soit pour aider l’autre à comprendre sa façon de réagir.
- 1ère étape : observer une situation
- 2ème étape : décrire le sentiment
- 3ème étape : analyser le besoin
- 4ème étape : formuler une demande
Bien respecter les quatre étapes
La femme vient frapper à la porte des jeunes.
L’un d’entre eux ouvre la porte, et demande ce qu’elle veut.
« Qu’est-ce que je peux faire pour vous ? »
« Bonjour, je suis votre voisine de palier, je viens vous voir car je voudrais parler de quelque chose avec vous. »
« Entrez »
La femme s’installe dans le salon, avec les trois jeunes.
« Bon, nous n’allons pas passer par 4 chemins, je viens, encore une fois, vous parler du fait que vous faites la fête tous les jours, en occasionnant du bruit, ainsi que des déchets dans la cage d’escalier. Nous voulions, mon mari et moi-même vous dire que nous avons un bébé, et que le bruit est assez insupportable passé 22 heures. »
« Ouais mais nous sommes libres on fait ce qu’on veut vous n’êtes pas notre propriétaire et j’pense que vous exagérez là alors faites pas chier. »
« Non, si besoin est nous ferons faire un constat par la police mais je ne pense pas que ce soit la bonne solution. »
« On s’en fou de la police nous ! »
La femme commence à s’énerver.
« Nous sommes vraiment exaspérés de votre comportement et de votre incompréhension, c’est pourtant pas compliqué de comprendre que vous n’êtes pas tout seul ici, si vous voulez faire la fête toute la nuit vous prenez une maison en plein milieu d’un champs. »
« Ce n’est pas toi qui va nous dire ce qu’on peut ou ne peux pas faire, on a déjà des parents pour ça. »
Un des jeunes essaye de calmer la situation.
« Écoutez, on ne fait qu’envenimer les choses, il faut qu’on trouve un compromis. »
« Oui je suis d’accord. Je comprends que vous fassiez la fête, c’est normal à votre âge, mais ayez la décence de prévenir vos voisins, et de ne pas le faire toute la semaine, et de privilégier les fins de semaine pour cela. Il serait bien aussi que vous pensiez à nettoyer les détritus dans la cage d’escalier, et de respecter un certain horaire. Ça peut paraître beaucoup pour vous mais ce n’est que le respect de la vie en collectivité. »
« Vous avez raison, nous allons essayer de faire des efforts, et si jamais il y’a un problème à nouveau, n’hésitez pas à venir nous voir et à nous prévenir. »
« Merci de votre
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