Communication intercuturelle
Par Celia Berrabah • 16 Octobre 2018 • Cours • 1 610 Mots (7 Pages) • 414 Vues
Communication interculturelle
*Interculturelle : Inter signifie dans ce cas une mise en relation, prise de considérations des interactions entre les groupe d’individus et des identités. Il s’agit de rechercher le contact avec les autres et s’ouvrir à eux.
- Analyse de la problématique de la communication interculturelle :
- Mécanisme qui fait obstacle à une communication normale
- Lever les obstacles :
Toute communication rencontre des obstacles qu’on appelle des filtres qui vont déclencher des incompréhensions. La différence fait peur, dès qu’on n’est pas comme nous on trouve ça bizarre ce qui perturbe et déroute la communication. Face à ca de manière inconsciente on met des mécanismes de défense.
L’Ethnocentrisme : C’est de penser que sa culture est la seule et la meilleure. Que les façons de croire et de voir sont les valeurs naturelles et universelles. La perception de l’autre va se faire à travers d’une grille de lecture (Filtre) et va se faire à travers de ce qui nous aient familier. Cette grille traduit ce qui est diffèrent dans le registre du bizarre et de l’insolite. C’est la proportion de rejeter tout ce qui est menaçant (Cela pourrait nous faire tenir en équilibre). Avec la mondialisation on voit arriver d’autre religions et d’autre penser et ceux grâce à l’arrivée de nouvelles personnes qui partagent.
Les représentations sociales sont :(
- Catégorisation : C’est un autre mécanisme de défense face à l’altérité (culture de l’autre)/ Nous avons tous tendance à regarder l’autre à travers une catégorie d’appartenance et à lui attribuer des caractéristiques associés à cette catégorie
- Stéréotype : C’est une image figé qui appauvri la réalité sociale. un cliché. Il n’est pas forcément négatif (ex. : les belges aiment manger des frites → ceci n’est pas négatif).
- Le préjugé : C’est une opinion préconçue. En Générale un préjugé est négatif. Il est souvent attribué à des gens qu’on a fixés dans un groupe.
- Le piège est de classé et de figé les gens dans des stéréotypes ou des préjugé. Tout ceci sont des démarches d’esprit de tentative ….
- Conclusion on a peu de ceux qu’on ne connait pas. L’ignorance peut être source de crainte et de peur. Dans cette zone d’inconnu on va placer les stéréotypes, catégorisation et les préjugés. Ceci nous empêche de connaitre l’autre et de communiquer. Pour éviter cela, une ouverture d’esprit est de rigueur.
L’exotisme : est un mécanisme qui consiste à valoriser l’autre et l’ailleurs. D’une façon plus souvent mythique et idéalisée. C’est le fait de penser qu’ailleurs c’est toujours mieux. (Ex. Tahiti avec ses plages de sable fin, le monoï, la vanille… Ceci est l’exotisme) C’est l’absence de prise en compte de la différence. C’est une tendance que nous avons à ne pas vouloir attacher d’attention à nos différences.
==>Faut prendre conscience de son propre encrage culturelle et de son caractère relatif.
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L’égocentrisme :
Les préjugés :
Titre : Mise en place de compétences de communication interculturelle
- Etablir une relation d’égalité ce qui nécessite d’outre passé ses représentations sociale (Catégorisation- préjugé- stéréotype) et d’être dans la reconnaissance de l’autre.
- Apprendre à se décentrer(Berne) pour pouvoir aborder l’autre sans le comparer avec son cadre de référence et sans porter de jugement aprioriste
- Etre dans une écoute active de l’autre et chercher les réponses à nos incertitudes, à notre questionnement chez l’autre, cela veut dire être ouvert.
- Etre capable de modifier ses points de vue pour être dans la négociation et dans l’élaboration.
➔Comment réagir face à ces différentes conceptions et manière de faire ?
- Eviter le jugement ( : dire ce qui est bien ou pas bien, dire ce qu’il faut faire et pas faire.) ou ce dernier doit se faire sur des éléments fiable et stable. Donc essayer de trouver un équilibre dans son jugement.
- Laisser de côté ses représentations.
- User des mêmes techniques que l’on utilise dans toutes les communications soit si on ne connaît pas l’interlocuteur c’est de faire un pas envers lui. Soit s’intéresser a lui pour essayer de le comprendre et de le connaitre. (aller vers les autres et montrer qu’on peut voir comprendre et analyser une conception.). Comprendre ne veux pas dire partagée ni être d’accord.
- Essayer de trouver un compromis ou consensus enter notre conception et celle de l’autre.
- Il est toujours nécessaire pour entretenir de bonnes relations humaines d’aller vers l’autre et comprendre sa situation. Ceci est une démarche positive
- Définition de la communication interculturelle peut se définir comme une situation de rencontre entre personnes appartenant a différente culture. La différence n’est pas uniquement la nationalité (langue linguistique). Parmi les éléments qui font cette différence nous avons :
- Le milieu social
- L’Age et le sexe
- L’origine ethnique (lieu de naissance)
- Lieu d’habitation
- Appartenance religieuse et politique
- Statut professionnel
Toutes ces barrières créent des différences et va déterminer notre identification et la différence de culture et va nous pousser à partager des moments et à comprendre. Le mode de vie issue de ces valeurs-là , le système
- Selon john Gumbers il existe d’autres des codes dont la méconnaissance peut entrainer des malentendus et de l’incompréhension entre les interlocuteurs :
- Code narratif
- Code rituel : tout ce qu’on peut faire par habitude. Ex. des mots qu’on a l’habitude d’utiliser.
- Code non verbaux : gestuelle , expression de visage , mimiques
- Code rythmique
- Code intonatin
Ex. Il a fait une étude sur les serveuses indienne dans un restaurent anglais. Qui était jugés mal. Ceci est dû à l’intonation utilisé par les serveuses. Alors que les serveuses indiennes traduisaient le comportement des clients par la discrimination racial.
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