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Gestion des connaissances et informatique

Par   •  17 Avril 2018  •  2 323 Mots (10 Pages)  •  677 Vues

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flux de connaissance dans une organisation sont des moyens de communication internes et externes, tacite et explicite ou encore individuelle et collective. C’est la conception de la gestion de connaissance dans l’organisation. Il faut faire la différence entre une connaissance tacite qui l’expérience de la personne ce qui est sont savoir faire et la connaissance explicite, qui est du savoir qui se distribue d’un individu à l’autre avec un discourt écrit ou oral. Le flux de connaissance servira alors à donner la bonne information à la bonne personne. Il faut aider les gens à développer les idées grâce à des réseaux humains de connaissance Les données qui peuvent être transmisse dans ce genre d’outils peuvent être distribué à grande échelle dans une équipe et la personne qui en a besoin va la capter pour pouvoir s’en servir. Des réseaux sociaux ou des blogues, un bon portail qui a des bons liens toujours actifs peuvent être des éléments clés pour faire passer la connaissance tacite à explicite.

Le flux de connaissance n’est pas seulement dans des documents ou tout autre système de distribution. Il faut savoir aussi gérer les gens. Il faut réussir à comprendre l’homme pour le pousser à se connecter avec d’autres pour faire l’échange de connaissance.

La matrice de Nonaka démontre très bien un exemple du flux de connaissance. Avec ces quatre états de connaissance; la sollicitation qui est l’échange entre individus par imitation et l’observation, la formalisation qui est explication orale ou écrit, l’intériorisation qui l’automatisme chez l’individu et finalement, la combinaison qui est la communication des connaissances explicite dans un langage commun. L’individu qui se retrouve dans cette spirale de connaissance s’approprie des nouvelles connaissances, assimile et donne de l’apprentissage à d’autres.

Mise en relation de cycle de gestion des connaissances.

Concrètement, Alavi et Leidner se sont mis ensemble pour créer un cycle de gestion des connaissances. C’est un cycle en quatre étapes qui sont toutes inter-reliées. Chaque composition du cycle sert au développement de connaissance tacite et explicite d’une organisation. Ça demeure à la base une réflexion individuelle et collective. Nonaka est du même avis pour ce genre de cycle de connaissance. Lui aussi s’exprime avec les connaissances tacites et explicites qui peuvent être en place dans une organisation individuellement ou collectivement.

Les deux cycles démontrent des étapes semblables qui sont dynamiques et continues. Avec la méthode Alavi et Leidner, on peut commencer par le processus de la création. Participer activement à un processus de création soit seul ou en équipe, pour chercher une nouvelle application, un nouveau savoir-faire ou l’élaboration de nouveaux processus, l’organisation doit être constamment en développement. Tout comme Nonaka, Alavi et Leidner, le processus de la création est de le maintenir en progression constante, par l’échange entre le tacite et l’explicite. C’est un échange individuel, comme une personne qui prend conscience de nouvelle connaissance et l’assimile. C’est une interaction tacite et explicite pour Nonaka. Tout comme faire un « brainstorming », il faut socialiser. Il faut articuler sa pensée pour atteindre des stades de réflexion. Prenons exemple sur un groupe technicien en électronique qui en mélangeant leurs idées pourraient réinventer la mode avec la création de vêtements qui ont des composantes électrique. Ils feraient faire à leur entreprise de fort gain.

Fournir des occasions à ses collègues de se développer, c’est le stade du transfert pour Alavi et Leidner. Plus précisément, il faut passer d’un stade explicite individuel à un stade explicite collectif. Pour Nonaka, c’est aussi un transfert, donner ses connaissances à un groupe ou un système informatique. La hiérarchie peut-être mise en évidence pour distribuer qui fait quoi. Il faut rassembler ceux qui ont la même connaissance avec ceux qui en ont besoin. Tout simplement, diffuser la connaissance acquise à ses collègues qui en demande. Par exemple, un chef d’équipe qui regroupe des techniciens qualifiés avec des nouveaux arrivants pour amorcer un travail. Ici pour Nonaka, c’est un état de combinaison.

En passant par la création et le transfert, il faut maintenant entreposer et récupérer la connaissance. Le processus d’Alavi et Leidner explique le fait qu’il ne faut pas oublier les connaissances qui semblent acquises. Nonaka, c’est la récurrence dans l’entreprise. Il faut passer du tacite à explicite collectivement, en d’autres termes, c’est la mémoire organisationnelle. L’intériorisation est l’implantation de connaissance explicite. Les gens qui travaillent ensemble font leurs tâches automatiquement, ils créent, modifient des trucs régulièrement sans trop réfléchir. Ils communiquent en connivence sur leur réalisation. Ils ont des normes qui respectent par cœur. Tous mettent leurs connaissances et leurs expériences en commun, alors rien ne se perd

Pour un dernier processus, qui interagit avec les trois autres, est l’application. C’est l’absorbions de la connaissance par un groupe d’individu dans une organisation. Nonaka dit de s’approprier individuellement des connaissances par la pratique ou encore par procédé automatisme qui servira au partage collectif. C’est le tacite individuel qui devient collectif par l’apprentissage qu’on met en application. Une personne donne une formation par le biais de ses connaissances avec un discours oral et des documents qu’il a écrits. Il faut par la suite mettre ses nouvelles connaissances à profit. Il faut toujours exploiter la connaissance des autres ce qui aide à prendre des décisions.

Descriptions d’une situation de gestion des connaissances

Savoir spécifique

Le savoir spécifique est généralement le travail collectif et le partage de document interne. L’analyse qui explique son document conceptuel. Il énumère les procédures standards par le biais de courriel ou directement en personne avec le technicien qui va réaliser le travail. Celui-ci ca prendre ses connaissances avec l’analyste et ses notes internes. Le savoir spécifique peut-être aussi sous forme de réunion d’un groupe de travail qui se réunit pour partager leurs connaissances. Ils s’échangent leurs notes et ce qu’ils ont appris. Ils peuvent aussi s’envoyer des solutions pour la résolution de problème.

Savoir générique

Le

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