GESTION DE PORTEFEUIL
Par Stella0400 • 12 Septembre 2017 • 7 974 Mots (32 Pages) • 764 Vues
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Maintenant tout le monde a un œil sur la Bourse pour prévoir.
Disponible par rapport au délit d’initié : il est interdit en bourse : tout le monde doit avoir le même niveau d’infos, il n’y a pas de privilégiés. C’est ce qu’on appelle un délit d’initié, avoir une info que les autres n’ont pas.
Le marché est plutôt efficient mais pas totalement.
Conditions :
- Allocation optimale des ressources
-Juste remunération des termes de l’échange
-Atomicité/Liquidité
Paradoxe : GROSSMAN/STIGLITZ
Anomalies :
-Décôte des Holdings
-Volatilité excessive
-Finance comportementale
COURS DU 6 novembre 14
Les acteurs sont rationnels et le marché est efficient mais difficile pc un etre humain n’est pas rationnel et information pas du tt disponible. En consoéquence il faut trouver quelque chose qui compense : la finance comportementale. Elle évoque les raisons pour lesquelles nous faisons des tas de choses irationnels.
I. Biais de Traitement de l’information :
Biais cognitifs : ce qui explique pourquoi nous traitons mal une information= décisions irationnels. Ca s’applique à tout le monde sans que l’on ne sache pourquoi, inconsciemment.
- Biais représentativité : il faut passer du général au particulier. D’abord on essaye de fr un constat et on en tire une loi (loi des grds nombres). Mais il faut partir de ce que je connais, de ce que j’arrive à me représenter et en partant de mon cas particulier, je tire une conclusion d’ordre général. Pc je considère que ce qui m’arrive est significatif. Ce qui n’est pas bon pc tout le monde n’est pas pareil. « Mon expérience c’est que ce que je connais. » C’est comment fonctionne un être humain, il généralise tout. Il y a une tendance générale à généraliser= biais de représentativité.
-Biais momentum : il dit que ce qui vient de se passer dans un passé présent va se reproduire ds un futur proche. A partir du moment où quelqu’un fait quelque chose, tout le monde le reproduit. En bourse= bulle spéculative. Ca dit au fond que si moi je n’ai pas identifié quelque chose et que les autres le font c’est qu’il faut le fr, rejoindre une tendance pc l’humain a peur de rater quelque chose.
J’imite les autres. Globalement quand je vois qu’une info est entrain de se nourrir, tout le monde imite. Une fois qu’une tendance est identifiée elle va avoir tendance à continuer/se reproduire= effet mouton. Ex : Bulle spéculative/crac boursier.
-Faux consensus : c’est la relation que je fais entre mes anticipations personnelles (=ce que je pense moi) et l’idée que je me fais du consensus. Exemple : en 2005, on a fait un référundum sur la constitution de l’Europe (Giscard destin). Texte très compliqué et tt le monde venait, toutes les représentations sociales mais intuitivement ils sentaient que c’était un événement important. Et si Giscard se serait intéréssé à l’opinion des « vrais » gens, il n’y aurait rien eu car tout le monde était contre (consultation populaire). Ce qu’on pensait les hommes politiques : 92% des hommes politiques étaient favorables et donc que la population allait suivre derrière et aller avoir les mêmes opinions que les hommes politiques. L’Assemblée n’est pas du tout représentative de la population, il n’y a pas d’ouvriers par ex alors qu’en France il y en a 7 millions. Mais bcp de fonctionnaires.
Et donc référundum a été a 55% non alors que la constitution a été voté alors que plus de la moitié de la population était contre. >>logique d’un micro système.
Intéressant : mettre un sociologue dans une équipe de financier car mm s’il ne comprend rien, il comprendra mieux que les financiers les comportements humains. Il n’y a plus d’indépendance intélectuel car selon leur milieu ou leur formation, ils pensent tous de la même manière.
Ex : les socio politiques ou le « fridaywhore » dans la bourse, tous les vendredis les financiers s’habillent « cool ».
Uniformisation des esprits donc erreur car tout le monde ne pense pas pareil. Ce n’est pas forcément évident, il faut chercher plus loin.
-Raisonnement Analogique : Un raisonnement doit etre en principe logique. Ici on parle plutôt d’un raisonnement « analogique » : C’est l’évaluation de la probabilité de la survenance d’un évenement en fonction de la facilité avec laquelle des exemple d’un tel évenement me vienne à l’esprit.
Exemple : Expérience d’un mec ds un simulateur de voiture, en précisant, la route et sèche le ciel est beau, pas de police. Il roule à 250km. Puis il voit une voiture encassstré ds un autre et en déduit que c’est dangereux et ralentit donc.
3èeme étape : il s’ennuit et augmente sa vitesse : « ouais mais l’autre avait une voiture nulle pas la mienne ».
Dans la vraie vie : le mec a une probabilité « x » d’avoir un accident. Mais la vie c’est qu’il y a une différence entre les probabilités réelles et les probabilités ressenties. Donc ce mec a envie de s’amuse et est anormalement dangereux et dés qu’il voit l’accident il est dans la surévaluation, il alentit. Puis après il est ds le déni, il a conscience des probalités mais ne veut pas en tenir compte. (= le risque n’existe pas).
Les probabilités ressenties sont différentes des probabilités réelles. Dans la première étape, il est dans l’inconscience alors que le déni c’est qu’il en a conscience mais continu d’agir.
Ex : sketch de Bigard sur les chauves souris. On a git en reproduisant des choses mais ça ne correspond pas à la probabilité.
-Conservatisme : C’est la tendance que j’ai de surévaluer les informations qui vont dans mon sens et à sous évaluer les info qui me donne tord. Ex : un mec qui va dans un kiosque et qui achète tout. Et à la fin il fait une synthèse, il est sincère et honnête et le seul problème c’est qu’il n’est aps objectif.
Mais celui qui lit un article,
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