PROBLEMATIQUE,THEMATQUE ET SOLUTION

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Parlant d’autre part que ces télévisions sans utilités aucune qui polluent le petit écran et qui participe également à la dépravation des mœurs. Elles sont sources d’impudeur, de sexualité précoce, de mal être profond, de perte de temps. Ces émissions ne sont que sexe, dans des scènes et d’autres futilités et un tas d’émission dont il conviendrait de démissionner, car considérées comme des « télévisions poubelles ».

En outre, les médias plus intéressés par la rentabilité et la visibilité de leurs articles, que par le volet éducatif de leurs émissions, sont aussi responsables de cette désastreuse situation.il ne font que la publicité de fausses célébrités et d’autres sujets sensationnels ; ils s’érigent en complicités de ces hors- la loi (marchand ambulant, garage) qui occupent illégalement les rues et trottoirs. Allant même jusqu’à menacer les autorités étatiques, chargées de remettre l’ordre sur la voie publique. « DAMAY DAAN SAMA DOOLE » n’est point une excuse pour violer la loi.

En somme, nous pouvons retenir de tout ce qui précède que ces causes poussent la jeunesse a la désorientation. Toutefois, cette situation entraine des conséquences liées à la mal compréhension et à la non maitrise de la culture du monde extérieur.

//- DEUXIEME HYPOTHESE DE TRAVAIL : LES CONSEQUENCES DE LA PERTE DES VALEURS ET DE LA CRISE DE LA JEUNESSE

Les causes découlent des conséquences venant :

D’une part de l’indiscipline notée vis-à-vis de cette jeunesse. Cette situation aboutit à une angoisse existentielle qui est un facteur explicatif de la violence que mène cette jeunesse. Car pour eux, la violence est la

Solution à tous les problèmes. De même le manque de civisme qui en découle, la destruction des bien de l’Etat est devenu un refrain. Et vont parfois même jusqu’à s’attaquer aux biens des personnes privées. Dès lors, on peut affirmer sans ambage que « quand la justice est dans la rue, il n’est plus dans le tribunal » d’où la nécessité de constater qu’au Sénégal, les jeunes appliquent la culture de la justice privée qu’est « pillage, saccage » « c’est l’Etat qui paye ».de ce fait nos jeunes se pervertissent de plus en plus. D’autre part, nous notons le manque de repère qui s’accentue par la mondialisation qui cherche à unifier les valeurs. Avec l’avènement des nouvelles technologies, les jeunes cherchent à imiter une minorité de classe privilégié, de reproches et que le hasard du destin a propulsé au-devant de la scène : célébrités, stars et « nouveau riches ». De nombreuses filles se baladent pratiquement nues et de plus en plus croissant en Afrique et hors des frontières au sein de la diaspora.

Ces jeunes exposent sans gêne leurs corps et se plaisent à attirer les regards. A cela s’ajoute l’homosexualité qui gagne plus de terrain. Toutefois, elle n’est pas la seule conséquence de cette malaise.

Avec l’arrivée des NTIC, l’internet a libéré les mœurs et décomplexer les femmes en Afrique qui remettent sur pied celui de la prostitution qui est mise à rude épreuve. Nous pouvons noter également la fuite de responsabilité de certains parents.

Et ils ont alors du mal à transmettre leur patrimoine culturel aux jeunes générations. De nouveau mode de vie donne en exemple à l’échelle mondiale, ne correspondent pas souvent aux réalités locales (par exemple) l’importation d’une culture de consommation, en générale incompatible avec les besoins du développement, suscite des aspirations irréalistes et multiplie les frustrations particulièrement dans la jeune génération. En effet, ces derniers ne font pas l’effort de satisfaire aux besoins financiers qui prévalent dans leur famille. Ils dépensent leurs argents dans des futilités et s’occupent peu ou pas du tout de l’encadrement de leurs enfants. Ainsi que les pressions du monde contemporain forcent de nombreux adultes à abandonner leurs cultures traditionnelles. EXPLE SE REFERER DANS NINI LA MULATRAISSE OU AVANTURE AMBIGUE.