Les assurances sécuriplus cas
Par Christopher • 7 Avril 2018 • 2 464 Mots (10 Pages) • 598 Vues
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QUESTION 2
Henri Fayol dit de ses principes "qu’’il ne s’agit en rien de principes rigides ou absolus" (M.G.Bédard, M.Ebrahimi, A-L Saives, Management à l’ère de la société et du savoir, p.40). M. Fayol a quatorze principes,
La division du travail. La compagnie a trois division (industrielle, vie et médicale) et quatre directions (services administratifs, vente, réclamations médicaments et dentaires) les postes sont clairement indiqués et le personnel ne font que leur travail. M. Fayol mentionne "Il importe que les travailleurs soient spécialisés; de cette façon, ils deviennent sans cesse plus expérimentés et plus productifs. " (M.G.Bédard, M.Ebrahimi, A-L Saives, Management à l’ère de la société et du savoir, p.40), le premier principe est en accord avec la compagnie.
L’autorité et la responsabilité. Le directeur de la compagnie M. Blanchette nous menace les employés de les congédier, si la production et la qualité ne s’améliore pas, "J’entends bien changer les choses et améliorer la performance autour d’ici et tant pis s’il faut congédier chacun des commis du service pour y arriver. (A. Atkinson, Étude de cas Les Assurance Sécuriplus p, 11)". M. Fayol indique "Ce principe correspond au droit de donner des ordres et au pouvoir de les faire exécuter (...) il n’est point d’autorité sans responsabilité, c’est-à-dire sans une sanction" (M.G.Bédard, M.Ebrahimi, A-L Saives, Management à l’ère de la société et du savoir, p.41). Le deuxième principe est en accord avec la compagnie, mais un peu contredit avec la définition de la discipline "il ne faut point se borner à en rejeter négligemment la responsabilité sur le mauvais état de la troupe ; la plupart du temps, le mal résulte de l’incapacité des chefs" (M.G.Bédard, M.Ebrahimi, A-L Saives, Management à l’ère de la société et du savoir, p.41).
La discipline. M. Blanchette applique la discipline (et la terreur) "je voulais le voir devant son écran et qu’il avait intérêt à faire du travail qui lui vaudrait le respect de la direction". (A.Atkinson, Étude de cas Les Assurance Sécuriplus p, 11). Ce principe est en accord avec M. Fayol, mais une petite différence avec l’explication de M. Fayol "il ne faut point se borner à en rejeter négligemment la responsabilité sur le mauvais état de la troupe ; la plupart du temps, le mal résulte de l’incapacité des chefs" (M.G.Bédard, M.Ebrahimi, A-L Saives, Management à l’ère de la société et du savoir, p.41).
L’unité de commandement. Avec la figure 1, nous avons le directeur de la division médicale qui vient par la suite tous les directeurs des départements, suit par les responsables administratifs (sauf au vente) et terminons avec les commis. Seul les commis ont des directives des directeurs et des responsables administratifs pour le reste l’unité de commandement est respecté. M. Fayol indique " Chaque personne ne doit dépendre que d’un seul chef" (M.G.Bédard, M.Ebrahimi, A-L Saives, Management à l’ère de la société et du savoir, p.41). Le principe est en accord à 80%.
L’unité de direction. La figure 1 représente très bien le principe de M. Fayol. "Les personnes qui travaillent dans un même but doivent relever d’un seul patron, mais aussi d’un seul programme" (M.G.Bédard, M.Ebrahimi, A-L Saives, Management à l’ère de la société et du savoir, p.41)
La subordination de l’intérêt individuel à l’intérêt général. M. Blanchette démontre très bien ce principe. il n’a aucun soucis congédier les employés qui ne donnerait pas satisfaction à la compagnie. Il faut que la compagnie passe en premier et par la suite les travailleurs
La rémunération. Malheureusement dans le document Les Assurances Sécuriplus, aucune mention de salaire n’a été mentionnée.
Le degré de centralisation. Je dirais que la centralisation est très grande chez Les Assurances Sécuriplus, "La division médicale comptait 66 employés répartis comme suit : sept cadres supérieurs" (A.Atkinson, Étude de cas Les Assurance Sécuriplus p, 2) sur 66 employés nous avons sept cadres supérieurs qui prennent les décisions pour la division, nous pouvons dire que le degré de centralisation est tout à fait en accord.
La hiérarchie. Je vous rapporte à l’organigramme de la figure 1 (A.Atkinson, Étude de cas Les Assurance Sécuriplus p, 2), la ligne hiérarchique est clairement indiqué, tous les employés sont au fait de qui sont les directeurs et les postes ce qu’ils représentent.
L’ordre. La figure 2 du document (A.Atkinson, Étude de cas Les Assurance Sécuriplus p, 3), nous indique explicitement le fonctionnement de la compagnie, tout est suivi. M. Fayol nous indique aussi que "seuls une saine organisation et un bon recrutement permettent d’atteindre cet équilibre" (M.G.Bédard, M.Ebrahimi, A-L Saives, Management à l’ère de la société et du savoir, p.42)
L’équité. M. Blanchette a eu avec Marie-Line Briens et Olivier Le Scelleur, le même discours, il fait preuve d’équité, il utilise les mêmes termes et procédures pour tous. Pour M. Fayol il est écrit ; "que l’équité, c’est-à-dire la combinaison de la justice avec la bienveillance, est la solution pour pallier les insuffisances des règles établies" (M.G.Bédard, M.Ebrahimi, A-L Saives, Management à l’ère de la société et du savoir, p.42), la différence entre les écrits et la compagnie est la ‘bienveillance’ de M. Blanchette.
La stabilité du personnel. Nous avons l’indication qu’une personne a travaillé 3 ans dans la compagnie et que M. Blanchette est à son poste depuis 5 ans. M. Fayol dit "il faut du temps et de l’expérience pour bien remplir une fonction " (M.G.Bédard, M.Ebrahimi, A-L Saives, Management à l’ère de la société et du savoir, p.42), est-ce que 3 ans est suffisant dans ce poste ? Est-ce que 5 ans est suffisant pour un gestionnaire ?
L’initiative. M. Blanchette avec M. Olivier Le Scelleur n’a pas appliqué ce principe, car M. Le Scelleur essaie de soumettre une solution a un problème, M. Blanchette lui répond "quand je voudrais l'entendre japper je tirerais sur sa chaise mais qu’entre temps, je voulais le voir devant son écran et qu’il avait intérêt à faire du travail qui lui vaudrait le respect de la direction. " (A.Atkinson, Étude de cas Les Assurance Sécuriplus p,11) ainsi il n’y a aucune initiative de la part des employés qui n'est tolérée.
Et finalement
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