La sociologie politique
Par Junecooper • 6 Juillet 2018 • 40 223 Mots (161 Pages) • 602 Vues
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La politique comme espace, est l'espace des activité et les conflit autour du gouvernent de la société. Elle englobe aussi la politique comme activité (l'influence sur le gouvernent). Enfin, elle englobe la politique comme actions publique (les décisions prisent par ceux qui exerce les fonctions de gouvernement).
B. Le repérage du politique: comment un problème devient t'il politique?
Il existe une multitude de problèmes sociaux mais seul certains deviennent politiques. Pourquoi? Jean Leca, dans le repérage du politique en 1973, "Dans une société, tout est potentiellement du politique; C'est le rapport de force entre les groupes qui détermine les frontières". Dans son approche, il n'existe pas de faits politiques. Pour lui il n'y a pas de faits politiques, économiques ou religieux en soit tout est affaires de labels. C'est lorsque des faits se font labéliser qui deviennent politique ou religieux. Il existe pour lui des œuvres d'art qui sont politiques, comme les châtiments de Victor Hugo. Il faut penser les choses comme en relation. Il dit que "tous les faits sociaux sont plus ou moins chargé de politique, car l'univers politique relève d'un type de relation et non de faits" autrement dit "le politique n'est que du social qualifié d'une certaines façon, il n'y a pas de lieu politique en soit".
Il y a politique lorsqu'un acteur politique décide que ça l'ai. Si on pense comme cela, le problème est le suivant; on réduit trop le repérage du politique au réduit la chose, et on risque de trop diluer le politique.
C. Pour une conception relationnel du pouvoir.
On peut avoir une vision des choses qui considère que ce qui est politique est ce qui est saisi par des gouvernants. Devient politique ce dont le gouvernement se charge, c'est la vision institutionnaliste du pouvoir. Hors, Leca énonce que cela n'est pas scientifique mais plus idéologique car, elle fait juge des frontière du politique ceux qui ont un intérêt à maintenir ces frontières dans un état propre à perpétuer leurs dominations.
En outre, les détenteurs officiels ne sont pas forcement ceux qui énoncent le pouvoir. Par exemple les hauts fonctionnaires rédigent les textes de loi, mais les politiques les font voter. Il faut adopter une conception relationnelle du pouvoir. Le pourvoir est une relation entre des individus ou des groupes et pas seulement comme une réalité institutionnel ou juridique. Il est toujours pouvoir sur des individus ou sur des groupes. C'est la conception classique du pouvoir, une personne A exerce un pouvoir sur une personne B dans la mesure ou il obtient de la personne B une action qu'il n'aurait pas obtenue autrement, conception de Robert Dahl.
Des fois la personne B s'abstient d'agir ou modifie sont comportement, dans ce cas là c'est aussi du pouvoir. On peut exercé du pour en faisant faire quelque chose aux gens et par des non décisions.
Plus objectif encore, c'est l'idée qu'il n'y a pas d'activité politique si celle-ci n'est pas portée par des groupes sociaux suffisamment puissants pour l'apporter dans le jeu politique. C'est le rapport de force entre ces groupes qui détermine les frontières entre le politique et le non politique. Si un groupe n'est pas assez puissant pour faire rentrer une situation dans le camps politique, cette dernière restera à l'extérieur, qu'importe la question du juste (voir Machiavel).
Les exclus de la chose politique peuvent de fait ne pas durer par les évolutions du rapport de force.
Un problème politique est un problème socialement labélisé comme tel par la société et qui va être élevé au rend de question politique par ceux intéressé par la labellisation du problème. Ce pose la question de la puissance des groupes d'intérêts.
III- La sociologie politique comme étude des formes de domination.
Pourquoi les personnes obéissent? Pourquoi reconnaissent-ils aux gouvernements le droit des les gouverner?
C'est la question de l'obéissance et du pouvoir qui anime la science politique.
A. Comment obtient l'obéissance? Entre légitimité et contraintes.
On peut user de légitimité et de contrainte. La légitimité est le fait de reconnaitre comme normal, juste et souhaitable qu'un individu donne des ordres.
La contrainte est le fait, par divers moyens, dont la force physique, faire triompher sa volonté, même quand la légitimité est insuffisante. Cela ne se réduit pas au politique on peut aussi penser à l'administration ou à l'entreprise.
B. La notion de domination chez Max Weber.
Sociologue allemand, il à écrit en 1921, économie et société. Il y distingue la puissance de la domination. La puissance est synonyme de pouvoir c'est "toutes chances de faire triompher au sein d'une relation social sa propre volonté, même contre des résistances". Elle peut donc reposer sur la contrainte et est une relation asymétrique.
La domination suppose que la relation de pouvoir s'inscrive dans des cadres légitimes. La domination suppose qu'elle soit acceptée par ceux qui la subissent. Weber dit "nous entendons par domination, la chance pour des ordres spécifique de trouver obéissance de la part d'un groupe déterminé d'individus". Cela signifie qu'il faut un minimum de volonté d'obéir.
Le pouvoir exercé que par la contrainte (la puissance) est précaire et menacé. Pour durer il doit répondre à des croyances partagées. Il y a plusieurs raisons pour que les individus obéissent. L'habitude, les motifs affectifs, ils adhèrent à la personne d'un supérieur ou d'un chef, ils peuvent obéirent pour des raisons matérielles, enfin ils peuvent obéirent par idéal.
Selon Weber, c'est d'avantage l'habitude et la raison matérielle qui l'emportent le plus. La domination repose sur une croyance en la légitimité.
C. Les 3 formes de dominations selon Max Weber.
Max Weber désigner trois types idéals, qui sont un ensemble de concepts abstrait.
La domination traditionnelle. Ce sont les cas des coutumes
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