La lutte internationale contre la drogue

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C- D'un point de vue de la collaboration policière

Les organisations internationales prévoient des collaborations entre états pour traquer les narco-trafiquants. En effet, des collaboration européenne ou encore mexico-américaines ont vu le jour pour lutter contre le trafic de drogues qui touche chaque pays comme l'autre. Les services de polices attachés à la question des stupéfiants agissent selon des normes d'ordre internationales. Par exemple, l'exercice de la torture est interdite.

D- D'un point de vue de sensibilisation

Les organisations internationales obligent les pays membres ou signataires d'exercer une sensibilisation poussée contre les drogues et les activités qui en émanent. Que ce soit des spots publicitaires, des numéros verts, des institutions intra-étatiques... Si un pays ne prend pas par à la sensibilisation des méfaits des activités liées à la drogue, l'organisation peut la considéré comme complice.

III- La situation aujourd'hui

A-Un trafic international qui ne baisse pas

Malgré la lutte, le trafic de stupéfiants occupe toujours une place très préoccupante, selon l'OMS, c'est le 3e commerce en importance derrière le pétrole et l'alimentation. Le nombre de consommateurs augmente de plus en plus année après année. De plus, les incarcération pour activités liées à la drogue augmentent dans chaque pays ce qui a pour conséquence une surpopulation des prisons comme en France ou au Mexique par exemple.

B- La tâche peu facilité par l'arrivée de nouvelles substances et de nouvelles techniques de trafic

Les trafiquants ne cesse de se perfectionner pour arriver à leurs fins. D'abord e commercialisant de nouvelles substances illicites avec notamment l'apparition des « drogues de synthèse » mais également en trouvant de nouvelles technique de transport pour passer une drogue d'un pays a un autre. De plus, il est aujourd'hui de plus en plus facile de trouver de la drogue grâce notamment au commerce sur internet.

C- La dépénalisation, débat internationale

En France comme dans un bon nombre de pays du monde, la question de la dépénalisation de certaines drogues douces fait débat. En effet, les défenseurs de cette dépénalisation avance le fait que se droguer n'aurait plus rien de « sexy » car chez les jeunes, l'interdit procure une certaine forme d’adrénaline, de plus il y aurait plus de place dans les prisons. Mais il faut que la vente soit organisée et contrôlée. De l'autre côté on a les opposants, qui eut avance comme argument la montée des toxicomanes car on leurs servirait leurs drogue « sur un plateau » avec la dépénalisation et ainsi l'augmentation des personnes souffrant de troubles physiques et moraux.

Nous avons donc vu que les différentes organisations internationales de lutte contre le trafic de stupéfiants et les normes qui en émane ont une certaines influence sur les politiques nationales en la matière. Cependant, la situation ne s'est pas améliorée et il est de plus en plus difficile de combattre les trafics de drogue. De plus, certains États commencent à critiqué l'influence de cette coopération internationale comme le président mexicain Enrique Peña Nieto qui se plaint d'avoir déjà assez payé pour la lutte. Suite a cet état des lieux, on peut se poser la question de savoir quel est vraiment la meilleure des solutions pour lutter contre le trafic de stupéfiant.