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Cas securiplus adm 1002

Par   •  23 Juin 2018  •  1 206 Mots (5 Pages)  •  665 Vues

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Question 3

Les postulats du mouvement des relations humaines reposent sur la pensée suivante : que l’être humain doit faire partie d’un groupe social pour s’y sentir en sécurité et doit y trouver sa place, comme chez les animaux[5]. La productivité d’un travailleur ira au prorata de son sentiment d’intégration et de bien-être, plus il se sent heureux et a de bonnes relations au travail, mieux il performe[6].

Ce que l’on constate chez Sécuriplus, c’est que les employés ne performent pas : «En moyenne chaque employé traitait 125 réclamations ... bien de deçà de 155 réclamations… chez 3 de ses conccurents ». Les gestionnaires devraient se demander si les équipes de travail sont bien équilibrées et si les employés si sentent motivées. Le fait que M. Blanchette se sentent constamment préoccupé par les coûts montrent que ça causent des frictions constantes avec ses subordonnés[7] une des critiques des postulats des relations humaines qui est l’absence de préoccupations des aspects économiques, s’il avait un plus gros budget de main d’oeuvre, il ne serait pas aussi dur avec ses employés. Il dénigre ses employés ouvertement comme lors de sa rencontre avec son employés Marie-Line Briens :«Tu travailles mal!». Pas très constructif. Les études de Hawtorne ont démontré que les facteurs sociaux ont une grande influence et que seuls les facteurs économiques et physiques ne sont pas les seuls éléments qui influent sur le comportement d’un individus au travail[8]

Le mouvement des relations humaines a évolué graduellement pour que l’employé y prenne part en devenant le modèle participatif qui lui repose sur les principes suivants : Que l’employé contrôle ses tâches et participe à l’établissement de ses objectifs[9], et y voit un idéal démocratique plus équilibré.

Sécuriplus n’est en rien basé sur le modèle participatif car les communications sont descendantes et l’opinion des employés n’est pas prit en compte. Lors d’une rencontre avec une employée, le directeur lui demande pourquoi l’employée se « plante si souvent » mais n’écoute pas la réponse, elle lui réponds qu’elle ne comprends pas le système et il revient toujours au fait qu’il a investi des milliers de dollars en formation, il ne cherche pas à trouver une solution même si malgré ses heures de formations, l’employée n’est pas en mesure d’effectuer son travail à cause du système. En fait, le modèle participatif considère que les gestionnaires utilisent mal leurs ressources humaines[10], il s’agit peut-être d’un exemple concret. Il devrait voir si l’employée est

« assise sur la bonne chaise ». Le modèle de gestion autoritaire selon Likert qui est utilisé par M. Blanchette devrait être revu et redirigé vers un modèle plus participatif ou consultatif afin d’améliorer le climat au travail chez Sécuriplus.

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