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ADM1400 TN2

Par   •  16 Novembre 2018  •  2 430 Mots (10 Pages)  •  1 176 Vues

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L’organisation vue comme une prison du psychisme

Dominique Brown le président de Chocolat Favoris est devenu un entrepreneur à un très jeune âge, à l’âge de 17 ans, il en aura fait rire plusieurs dans ce qu’il désirait qui était de conquérir le monde. Son besoin incessant de conquête peut être relié à une prison du psychisme par exemple, son idéalisation de la conquête du monde ne peut se faire en un jour et non plus avec une seule personne. Je pourrais même dire que sa zone d’ombre est son côté de jeune enfant qui est resté caché dans son inconscient. Son besoin de pouvoir est si grand qu’il semble l’idéaliser en abandonnant son ancienne entreprise pour choisir d’en acquérir une autre pour avoir un contrôle absolu sur cette dernière en pouvant toucher le marketing et la mise en marché des produits qu’il ne pouvait pas faire avec l’ancienne. On pourrait même dire que la théorie « d’objet transitionnel » (image de l’organisation, p. 229) s’adapte bien à ses principes de conquête, car il en fait une telle fixation qu’il en est incapable d’abandonner l’idée. Certes, il respectera les valeurs de l’entreprise, car elle lui convenait au départ avant l’acquisition de l’entreprise. Avec cette entreprise on peut voir qu’il retombe dans son enfance pour pouvoir atteindre des points de son inconscient, non exploiter, comme il le dit « qui n’a pas eu un jour le fantasme de placer sa bouche sous un robinet de chocolat ?[3] ». De plus, le fait de faire plusieurs franchises à travers le Canada peut lui démontrer qu’il pourra encore plus conquérir un territoire avec l’aide de ses alliés, car seul il n’est pas fort, mais avec ses conseillers il sera mieux averti sur tous les niveaux de marketing et de concurrence. Ainsi c’est là qu’entre en jeux son éthos de concurrence acharné envers les autres compétiteurs. Il est si fort son acharnement qu’il implante une application de ChocoFan en été 2016 ce qui « permet aux utilisateurs d'accumuler des points pour chaque achat réalisé dans l'une des 22 succursales de Chocolats Favoris au Canada ou encore pour la réalisation de défis amusants. Le chocolatier parle d'un « concept jamais vu » dans le secteur du commerce de détail.[4]» comme ceci il réussira à créer un phénomène social de demande et de besoin technologique que les gens aiment dans l’ère que nous sommes aujourd’hui. Mais ce que je trouve curieux c’est qu’il ne parle jamais des employés qui servent cette clientèle ou comme je pense peut-être est-ce une sous-culture non dite de son organisation dont il ne veut parler. D’après ce que j’ai observé sur la satisfaction d’anciens employés d’avoir travaillé au sein de ces franchises, il en ressort qu’ils sont satisfaits du côté humain des gestionnaires, mais que le stress d’être seul à face à toute les taches qu’ils leur sont demandés en entreprise est difficile à gérer et qu’il n’a sois aucune pause accorder sur un quart de travail ou de très courtes pauses leur sont accorder. Je semble déceler ici un système de management paternaliste et que les principes de Taylor peuvent même être de mis dans cette situation, car cette division du travail semble verticale. Donc, ceci peut- être une autre prison de psychisme pour les employés qui sont à l’emploi de l’entreprise, car il exécute sans nécessairement faire part de leur ressentit. Il se peut que venant du président on y voie une certaine « dénégation[5] » face à son « idéalisation[6] » de son entreprise.

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L’organisation vue comme un système politique

Les premiers propriétaires de l’entreprise semblaient avoir un besoin de préserver ce qu’il avait construit comme organisation dans le but de gardé l’héritage familial et artisanal dans la société, mais n’avait peut-être pas les relations requises comme forme de pouvoir pour avoir le besoin de faire grandir les affaires. Dominique Brown a usé de son pouvoir de liquidité financier et son pouvoir de connaissance dans le but de faire miroiter que l’opportunité de leur vendre l’entreprise pouvait être bénéfique pour tous. De plus, il s’engageait à les garder au sein de l’entreprise en tant que franchisé. Ainsi, chacun garde leur forme de pouvoir et d’autorité comme dans la politique, car il y a un ministre et ses députés ; j’y vois l’entreprise comme cela. Le président arrive chez Chocolat Favoris avec un bagage impressionnant en tant qu’entrepreneur dans l’entreprise et ce qui laisse présumer qu’il sera capable avec ses grandes ambitions d’innovateur de dominer le marché et de faire fluctué les affaires. Au sein du siège social Dominique Brown exerce dans son organisation un mode de gouverne avec « autocratie » (Image de l’organisation, p 153). Par contre, il n’en abuse pas, car il est clair dans ses propos quand il a créé son siège social qu’il voulait tout regrouper ensemble : système de production, bureau des gestionnaires et distribution des produits. Il a même gardé un style managérial de type ouvert où tous pouvaient avoir accès à toute information et laisser croître la créativité de tous. En créant le système de franchise, Brown à laisser naître un autre système de gouverne politique «la démocratie représentative » (Image de l’organisation, p 153). Cette démocratie donne un pouvoir à la fois indépendant, mais dépendant du président, car ses lui qui tient les ressources et les réseaux pour pouvoir produire et en faire la distribution dans ses franchises. On peut dire pour les franchisés que de devenir propriétaire n’égale pas la liberté de toute décision ou d’action. Les franchisés et le président ont un intérêt politique commun cela est de faire fluctuer leur entreprise et d’en être actionnaire. La différence qui existe entre le président et les actionnaires c’est que lui possède les liquidités de tout et détient les moyens de produire et les actionnaires quant à eux ne possède qu'une ou quelques entreprises et distribue les produits. Et cela est exactement comme un politicien qui gouverne un parti et ses ministres qui gère qu’un parti d’un compté ou d’un département politique comme la santé par exemple. L’ensemble de Chocolat favoris peut-être défini comme une coalition aussi, car certains servent leur propre intérêt au détriment d’une même idée de départ. La gestion de l’entreprise Chocolat Favoris est unitaire du président, car il est dans l’idéologie de

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