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ADM1002 - TN1

Par   •  20 Décembre 2017  •  2 260 Mots (10 Pages)  •  464 Vues

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discipline ne s’applique pas dans notre cas. Les subordonnées n’obéissent pas, il doit toujours leur répéter qu’ils ne font pas du bon boulot. Il ne se passe pas une semaine sans qu’il n’est à écrire à un employé pour lui rappeler que son travail laisse à désirer.

L’unité de commandement. Oui selon notre cas, les ordres proviennent toujours du même chef qui est M. Blanchette.

L’unité de direction : Oui ce principe s’applique, le service a pour but de servir le client le plus rapidement et le plus efficacement possible. Les tâches sont divisées pour accélérer le processus et une étude du service à la clientèle a été effectué pour pouvoir améliorer les types de problèmes que fait face le service.

La subordination de l’intérêt individuel à l’intérêt général : Non ce principe ne s’applique pas ici, dans aucune situation j’ai senti les intérêts individuels des employés étaient dans les préoccupations du chef, seul le résultat du travail compte pour lui.

La rémunération : Non ce principe ne s’applique pas, il n’est aucunement mention du salaire, des avantages, des primes des employés. De plus, il n’est pas mentionné de quelle façon le salaire des employés est déterminés.

Le degré de centralisation : Oui ici les tâches sont centralisées par secteur et par division. Les employés ont chacune tâche routinière à faire. Par exemple, le courrier est reçu, ouvert, trié et distribuer à chacun des services par le service du courrier. Le service des réclamations /médicaments tri et traite à son tour les différentes demandes. Le service des chèques, émet les chèques et ça se termine par le service du courrier qui prépare et envoie les enveloppes.

La hiérarchie : Oui les Assurances Sécuriplus ont un organigramme hiérarchique dans la division et les communications entre relations horizontales sont permises. Comme pour les demandes complexes un spécialiste en réclamation de chacune des divisions soit la division médicaments et la division dentaire doivent coordonner leurs efforts pour répondre à la demande.

L’ordre : Oui je crois qu’une partie de ce principe s’applique ici dans l’entreprise. Pour l’ordre matériel, oui chacun des services travaille avec son système de classement donc chaque chose à sa place. Pour l’ordre social, l’entreprise ne possède pas ce principe. Le gestionnaire n’est pas au courant des besoins de ses employés, par exemple certains ont un manque de formation ou de compréhension pour bien faire le travail.

L’équité :Oui dans cette entreprise il y a des règles d’établies. Que ce soit le cheminement séquentiel spécifique d’une demande ou la durée d’une demande de traitement d’une réclamation.

La stabilité du personnel : Oui le personnel est assez stable, Marie-Line une employée qui a trois ans d’expérience a autant d’expérience que tous les autres employés du bureau, et aucune mention n’est faite pour un taux de roulement de personnel excessif.

L’initiative : Non,on ne laisse pas les employés faire preuve d’initiative, le gestionnaire a répondu à un employé « quand il voudrait l’entendre japper, il tirerait sur sa chaîne, mais qu’entre temps, il voulait le voir devant son écran et qu’il avait intérêt à faire son travail qui lui vaudrait le respect de la direction ». Les employés n’ont pas été avisé d’une étude sur les erreurs et ne sont pas consultés pour expliquer les erreurs et même donner leur opinion sur comment améliorer leur façon de travailler.

L’union du personnel : Non il n’y a aucune contribution de la direction pour promouvoir l’union et les communications sont plus tôt écrites, donc plus directes, et peuvent être mal interprétés.

Question #3

Sur la base des postulats du mouvement des relations humaines et du modèle participatif, quelles critiques pouvez-vous adresser à l’entreprise Assurances Sécuriplus?

Dans le cas de notre entreprise, la division du travail est séparée en fonctions distinctes, mais complémentaires, mais leur rôle est de contribuer à la réalisation des objectifs de la direction. Les gens travaillant au service de la division médicale travaillent dans le but d’offrir le meilleur service aux gens qui présentent une réclamation. Leur travail est divisé par tâche et chacun doit attendre que l’autre ait terminé sa tâche spécifique avant que la réclamation puisse poursuivre son chemin jusqu’à l’émission et l’envoi du chèque.

Dans le cas de l’administration, il faut s’assurer du comportement des membres afin de réaliser les buts de l’entreprise. Chez les assurances Sécuriplus, dans la division médicale, ils devraient avoir un suivi particulier auprès des employés pour s’assurer qu’ils aient en main tous les outils nécessaires pour bien faire leur travail et être capables de répondre aux exigences de l’entreprise. Les employés n’ont pas de suivi avec le gestionnaire, il n’est pas au courant de leur besoin. Il suppose qu’avec les dollars investis en formation et leur manuel, les employés ont tous acquis les connaissances nécessaires et s’attend qu’ils performent.

Styles technocratiques ou analytiques de gestion : La technocratie est une entreprise où la place des experts techniques et de leurs méthodes est centrale dans les prises de décision . Dans le cas des assurances Sécuriplus, j’ai l’impression que les décisions sont toujours prises au niveau du groupe de gestion sans consultation auprès des employés. Ce qui peut apporter aux problèmes où les employés ne comprennent pas les changements, ne sont pas ouverts ou ont de la difficulté à accepter les changements et à apprendre les nouvelles méthodes de travail.

Une des fonctions de l’entreprise est de satisfaire les besoins sociaux des employés et en retour les employés seront plus productifs. Dans le cas de la division médicale des Assurances Sécuriplus, la production attendue de la part des employés n’est pas rencontrée par ceux-ci. De plus, lors de l’analyse des erreurs de traitement du service des réclamations/médicaments, les erreurs sont toutes dues à des erreurs manuelles/humaine et non à cause d’un manque informatique ou autre. Le manque d’information ou de la mauvaise information au dossier sont les causes d’erreurs les plus communes. En étant distrait, moins concentrés, manque de motivation se sont tous des causes d’être non

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