Penser le droit

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3ème remarque : de cettre conception du rapporta à dieu découle un conception de la justice. La queston du juste ou de la justice ponctu kle écit bibilique. Etant donné ce lioen avec kla justice biblique, la jujstice biblique correspoond à un soummisobn de l’hjiome à la lio bibilique par amour de Dieu, le juste est celui qui aile Dieu et repect sa règle par amlour de Dieu. Dansl’apporcxhe biblique, le juste est celui qui respecte la loi de Dieu, ses préscriptiopn religieuses et social. Lez récit de Job illustre le mieux cette idée.

La justice biblique, etre juste selon la bible correspond à une approche de la sainteté. Or comme cette justice est ubne apporche de la ssainteté, elle concerne l’intériorité de l’etre, del’homme. L’homme juste n’est poas simplement celui qui se soumet à la loi de dieu non pas par peur des tribuneaux mais par amour de Dieu, avec des intentions pures.

B l’apport de la pensée grec

Les jursites pense que les grecs etaient des philosphes et les romains des jusristes et des polituque. Le greac apporte pour la penseée et le reomain poiyur le droit et la politique.

Les grecs furent bien avant tout des philosphes mais les premioers à envisager le phénomène des institutions, de la justice. Plus de manière philosophique et moins pratique mais cette pensée reste poilitique et philosophie et a inspiré les romains, le monde médiéval et meme moderne. Cette philosophie grec classique a été une philosophie du droit et une phiolosophie polityiqure

- L’enseignement de la mythologie

- La justice

- Le droit

- De manière générale dans aml myhtologie grec estait syymbolisé par 2 déese Thémis et Diké

Thémis fille de la terre et du ciel et épouse et coneillère de zeus est représenté tenant une balance, un eépée et un beandeau sur les yeux. L’épée symbolise la force qui accolpagne le droit et la hjustice, le baneau l’impartialité et la balance : l’équilibre, l’odre du monde. D’une certaine manière dans cette mythologie, thémis personnifie l’ordre dumonde, l’équilivbre des choses. Et en tant que conseillère de zeus, thémis s’occupe des affairesz des mortels, des gommes mais aussi des affaires des dieux. Thémis est montré dans l’olympe parlant aux autres divinités quels sont les chemins de la prudence. L’id&ée qu’elle a la connaissanec et dnonc indique aux hommese et aux dieux qules sont lezs chmines d el aprudances. Elle donnne des règgles général pour maintenir l’odre des choses parce qu’lle a les connaissances. Or cette imlage de thémis paralnt aux autres divinités souligne l’originalité de la pensée grec. Pour les grec, le cosmos : le visible et l’invisible, le tout. N’avait pas é&té crée par les divinités, la mythologie gerc se distingue de la àpensée des relgions monoithéiste cer Dieu n’est pas à l’origine d etout, de l’univers visivble et invislible, oiur les geres le cosmos existait depuis touijopurs. Les dieux avait l’oluympe et les mortels la terre. Il faut savoir cela poyur comprnedre comment les grecs voyaient la justitice. Pour eux le cosmos était organisé de manière harmonieuse, le comsos fgorme un tout parfaitement organisé. Dans cetrte peneéee on part du principe qu’il existe unn ordre naturel. Mais cet ordre peut etre boulversé par la démesure (HYBRIS) snetiment violent déclanché par les passions.

Ainsin pour les grecs, le but de la justcie est de rétablir l’harmonbie naturel lorsqu’elle est remlise en casue, affecté par l’hybris. C’est le principe meme du droit naturel. Pour pouvoir rétablire cetta harmonie lorsqu’lele est brisée, il faut la connaitre et vc’eszt ce qu’on retrouve avec thémis et sa balance (l’ordre des choses) c’est donc cette ccopnnaissance de l’harmonie naturel qui fait que thémis s’adresse aux autres pour le indiquer la règle qui est tirées de al connaissance de l’ordre du monde. Pour les gr »ecs, le droit naturel n’est donc pas e fruit de la vonlonté divine, parce que ce droit natuerel bvietn de la nuture meme des choses et meme les dieux s’y convforment. Pour les grecs, le droit naturel dépasse la volonté des hmmes et des dieux. Voilà pk la mythologie nous mntre thémis qui s’adresse aux divinité car la règle n’est oas le fruit de la vononté des dieux.

Mais cette idée ne veut pas dire que ole v=dinvin est esclu= de la sphère du droit. En neffet thémis est bvine une déesse, épouse et conseillère du roi des dieux. Voilà qui souligne bien le caractère ghautement religieu de la justice.

Diké est la fille de Zeus et de thémis, elle apparait plutôt colmmpe la déese du jugement, pas comme thémis elle s’adresse plutôt aux affairesz humaines car si dans cette approche mythologique les homlmes sont bien à part, on un territoir different, maiks ce territoire est situé dans le cosmos, le tout. Donc l’attitude des hommes et leurs démesure peut venir rompre l’harmonie du cosmos. Donc les inéquité humaines on une influence sur l’ordre de l’univers, sur le comsmos et comme les dieux sont les gardiens de ce cosmos, les débordement humains les concerne directement car il ;s sont gardien du cosmso. Diké a 2 dfonction selon la mythologie : elle règle les différent entre les hommes en leurs montrant les moyens de la conciliation, la paix. Et elle rend des jugements, elle condamne et punit. Dans la mythologie, diké est le symbole de l’acte juiste : les moyens de la paix. Mais assui la déesse du jhuigement.

On voit donvc que la conception grec s’éloigne de la conception mésopotamienne t biblqie

3 distinction entre la concept grec et biblique :

- La place du divin dasn le droit : dans la bible, Dieu est le créteur et al source du droit, kle droit est le fruit de pal volonté de Dieu. Chez les grecs, le droit n’est pas le fryuit de la volontré divine, il dépasse la volonté des deiux. Et même le droit naturel tel que l’nevisage la mythologie grec n’est memle pas le fruit d’une volonté, les droit EST. Mais si le droit n’est pas lke fgruit d’nhe volonté, cette conceztpion n’exclu pas le divin, thémis et diké rappel le line fondamental entre le droit, la justice et kle divin. Ce droit naturelk vbietn aux hommes par l’intermeiaure de la divinité qui a la connaissance et qui transmet ses règle du droit naturel.

- Dans la conception grec le droit ne trouve pas son expreszsion dans des règles général, ici le droit trouve son expresiion dans le jugement