ADM1015 TN1, gestion des ressources humaines
Par Junecooper • 17 Octobre 2018 • 1 691 Mots (7 Pages) • 591 Vues
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On peut faire un lien entre le processus d’affaires et celui du texte présenté aux pages 4-5 du livre, les auteurs St-Onge et al. (2013). Dans ce texte, on peut lire que la SAQ a été mis face à un conflit important en 2004 soit la remise en question de la confiance que leurs accordait ses syndicats. C’est pourquoi en 2008, ils ont signé les plus longues conventions collectives de son histoire. Depuis, les syndicats participent à l’élaboration du plan stratégique. On peut donc dire qu’une vision à long terme a été mise en place dans le but de maintenir le niveau de satisfaction des employés qui sont dorénavant perçus comme des leviers essentiels au succès de l’entreprise.
Pour ce qui est des pratiques d’affaires en GRH, on peut prendre l’exemple suivant : ‘un duo PDG et VPRH au cœur…’ p.23, les auteurs St-Onge et al. (2013). On nous représente l’idée derrière une pratique d’affaire mise en œuvre pour améliorer la gestion des ressources humaines. Dans ce cas-ci, l’initiative a été de déléguer plusieurs divisions à la vice-présidente ce qui a permis d’optimiser le travail d’équipe en adoptant une stratégie innovatrice. Cette philosophe de gestion repose sur un personnel motivé qui vise l’atteinte de l’excellence opérationnel en adoptant des initiatives d’amélioration continue.
Dans le documentaire ‘costco craze inside the warehouse giant’, nous pouvons constater les effets positifs des activités d’affaires. Costco fonctionne sur le principe club-entrepôt avec adhésion. Puisque nous devons payer pour magasiner dans leurs magasins on s’attend à un service à la clientèle excellent et à un prix concurrentiel et raisonnable. D’ailleurs, il offre une gamme limitée mais très ciblée d'articles divers et de produits alimentaires de qualité. Costco maintient un standard élevé de son service à la clientèle en tout temps pour fidéliser ceux-ci. Pour ce qui est des employés, ils sont payés adéquatement ce qui renforce leur dévouement à l’entreprise et contribue au maintien d’un bon service à la clientèle.
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Question 2
Quel lien peut-on faire entre l’angle microscopique et l’adaptation de la stratégie de GRH à l’environnement interne d’une organisation. Tout d’abord, rappelons la définition de Normand Turgeon de l’angle microscopique : « qui est cette organisation? Quelles sont ses forces, ses faiblesses, ses habiletés, ses compétences distinctives, ses ressources? Comment réussir sur ce marché ? » En répondant à ses questions, les gestionnaires et entrepreneurs peuvent mieux appréhender le monde économique et ainsi faire les meilleurs choix stratégique. Étant donné que chaque organisation a sa propre gestion, et cela peu importe l’industrie ou le marché, la stratégie doit être parfaitement réfléchie car elle agit directement sur l’environnement extérieur de l’entreprise. En effet, la gestion stratégique des ressources humaines vise à aligner les processus et à susciter l’adhésion de toutes les personnes concernées. C’est pourquoi toute stratégie d’organisation exige la parfaite connaissance de ses ressources. C’est en analysant les forces et faiblesse de l’entreprise et en tenant compte de ses compétences distinctives que celle-ci peut réussir sur le marché. Parmi les 4 différents angles de vision complémentaires cités dans l’article de Normand Turgeon, c’est à travers l’angle microscopique qu’on peut trouver l’identité de l’entreprise et que la gestion des ressources humaines peut spécifier quelles qualités elle recherche chez ses membres pour optimiser son rendement.
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Question 3
Les tactiques d’affaires sont cruciales dans la création et la captation de la valeur sur le marché. Les choix tactiques sont facilement réversibles, ce qui n’est pas le cas des choix stratégiques et du modèle d’affaires. Contrairement aux choix stratégiques, les tactiques représentent l’action, l’opérationnel des stratégies. On doit se poser la question suivante : Qu’allons-nous allons faire pour atteindre l’objectif fixé à la fin de l’année?
Les responsabilités des professionnels des RH se sont accrues au fil des dernières années. En effet, les cadres hiérarchiques manquent de temps ou d’expertise pour assumer toutes leurs responsabilités de GHR. Il peut donc être très bénéfique d’embaucher un professionnel des RH qui va voir à la bonne gestion des ressources humaines. Pour ce faire, ils peuvent mettre en place des conditions de travail favorable à la bonne qualité de travail de ses employés ce qui aura pour effet de motiver les troupes. Par exemple, la compagnie Cascade qui offre une rémunération à deux volets soit une partie fixe et une partie variable en fonction de la rentabilité, plus proprement dit ‘le partage des profits’. Il est difficile pour la concurrence d’imiter une telle tactique. Effectivement, la direction des organisations doit mettre en place des activités, des méthodes afin que leur personnel soit perçu comme un avantage distinctif. Par exemple, les compétences, la créativité, l’engament et la motivation. « Une GRH efficace satisfait les employés, qui eux, rendent l’organisation capable de mieux satisfaire ses clients, ce qui favorise la santé de l’organisation. » p.14, les auteurs St-Onge et al. (2013). On parle ici de valeur ajoutée. Bref, le professionnel des ressources humaines doit mettre en place des tactiques d’affaires efficaces afin de se démarquer de la concurrence et pour atteindre les objectifs fixés.
Question 4
Pour être une bon partenaire ressource humaine crédible et influent, il faut, tout d’abord, réussir à bâtir sa crédibilité. Pour ce faire, il faut inspirer confiance, être perçu comme quelqu’un de compétant capable de livrer ce qu’on a promis. Les professionnels ressource humaine ainsi que les gestionnaires opérationnels devrait être perçu comme des conseiller précieux qui adoptent une approche partenaire d’affaire. Lorsque l’organisation se doit d’implanter un nouveau programme, ils sont capables d’être attentif aux préoccupations des troupes en essayant d’ajuster les programmes au mieux. Ils sont également capables de présenter les liens entre un bon plan d’affaire et les programmes implantés. De plus, même si parfois leurs idées ne fait pas l’unanimité, ils sont capables d’aller de l’avant ou
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