ADM 2010 Gestion de la formation et développement des ressources humaines
Par philga • 20 Mars 2023 • Étude de cas • 2 191 Mots (9 Pages) • 1 012 Vues
ADM 2010 |
Gestion de la formation et développement des ressources humaines |
FEUILLE D’IDENTITÉ
TRAVAIL NOTÉ _1_ VERSION _A_ |
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NOM | PRÉNOM |
NUMÉRO D’ÉTUDIANT | TRIMESTRE Hiver 2023 |
ADRESSE | |
| CODE POSTAL |
TÉLÉPHONE DOMICILE | TRAVAIL |
CELLULAIRE | |
COURRIEL NOM DE LA PERSONNE TUTRICE Amélie Bernier | |
DATE D’ENVOI | |
Réservé à l’usage de la personne tutrice | |
DATE DE RÉCEPTION | DATE DE RETOUR |
NOTE |
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Question 1
Chez Groupe Écrito, plusieurs acteurs sont engagés dans le projet de formation pour le département de production. Tout d’abord, il y a la propriétaire, Mme Bourgeois, M. Frédéric Jacques, responsable des ressources humaines, le chef du département de production, les représentants syndicaux, les futurs formateurs, les machinistes-moulistes ainsi que le reste du personnel de production.
Mme Bourgeois, en tant que propriétaire et fondatrice de l’entreprise, « doit être sensible aux besoins de formation […]. Elle doit être également être sensible aux nouvelles compétences et expertises qu’elle doit acquérir pour demeurer compétitive. »(Lauzier et Rivard, 2013 page 20). De plus, Il est mentionné dans le minicas que Mme Bourgeois considère que la mise à jour et le renouvellement des compétences de ses employés « ajoutent de la valeur à son entreprise. » Elle reconnaît aussi qu’il y a des employés qui se sentent dépassés par l’arrivée de nouveaux équipements et d’un système de gestion intégré de la production. Face à cette situation, Mme Bourgeois est à revoir le processus de formation en commençant par le département de la production.
Pour le responsable des ressources humaines, M. Frédéric Jacques, il accompagne Mme Bourgeois dans la révision du processus de formation de l’entreprise. Selon Lauzier et Rivard(2013), « la responsabilité première de la gestion du capital compétence revient habituellement au service des ressources humaines. »
Le chef de production, quant à lui, représente ce que Lauzier et Rivard (2013) définissent comme un cadre intermédiaire. Les cadres intermédiaires doivent « veiller au développement des compétences de leurs employés. D’autre part, lorsque la formation est offerte par une tierce personne, leurs responsabilités incluent l’identification des besoins de formation de leurs employés, ainsi que le soutien au transfert des apprentissages. »(Lauzier et Rivard, 2013 page 21) Un projet de formation a d’ailleurs été déposé par ce dernier et Mme Bourgeois et M, Jacques l’ont retenu comme premier projet à implanter dans l’organisation.
De son côté, le syndicat veille au respect de ses membres et à la désignation des formateurs de ce nouveau projet de formation. Il souhaite que l’employeur soit « flexible afin d’accommoder les employés ayant de jeunes familles et que le programme puisse reconnaître l’expertise des employés plus âgés, pour que les employés plus expérimentés n’aient pas à suivre la formation portant sur des compétences et des savoir-faire qu’ils maîtrisent déjà. »(minicas)
Les futurs formateurs qui ont été désignés par le syndicat pourront suivre une formation de compagnons à l’intérieur même de leur milieu de travail. Selon Lauzier et Rivard(2013), un formateur se doit d’être prêt pour transmettre une formation(planification du lieu et du moment et la préparation des participants par exemple.) Il doit démontrer une bonne aisance dans l’animation de groupe afin de pouvoir s’adapter aux différentes questions qui pourraient lui être posées et atteindre ses objectifs de diffusion de la formation.
Enfin, on retrouve les machinistes-moulistes et le reste des employés de production. Les machinistes-moulistes sont au cœur du programme de formation, car c’est eux qui doivent acquérir et développer les compétences et connaissances visées par le programme de formation. Pour les autres, il y aura une augmentation des responsabilités, toutefois, il est important de considérer que « le personnel de production était ouvert aux changements et qu’une culture d’entraide existait, et ce, malgré les différences individuelles […] »(minicas). Cette réalité contribuera à l’implication de ces derniers et à l’adhésion à ce changement.
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