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Mort à crédit - Louis-Ferdinand Céline (1894-1961)

Par   •  25 Septembre 2018  •  3 151 Mots (13 Pages)  •  489 Vues

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L’entrée de Ferdinand à l’école communale – Fièvre et vomissements incoercibles – Le délire du petit mala-de : « La maladie je l’avais eue grave. » (page 97) – La collecte des termes - c’est-à-dire des loyers - avec la grand-mère Caroline – Le débouchage des tinettes - c’est-à-dire des WC - dans les logements – La fuite de la bignolle - c’est-à-dire la concierge - malmenée par les locataires [de cette époque !] – La mort de Grand-Mère Caroline : « Travaille bien mon petit Ferdi-nand ! » (p. 102) – Auguste, le papa, à l’évidence anti-sémite (bas de la p. 104) – Le réveil salutaire de Clémen-ce, la maman, face au fantôme menaçant de la dèche ou de la misère – Les marchés, et la connaissance d’un petit gars surnommé Popaul – La fronde et l’hor-loge brisée d’une place attenante au marché

Mme Divonne, amie de la famille et fille d’un préfet d’Empire – L’oncle Arthur qui déménage à la cloche de bois, et qui devient une célébrité dans son nou-veau quartier – Il manque se noyer – Les congés payés du père – A Dieppe – Clémence fait des ventes à la sonnette, autrement dit du porte-à-porte – Les esti-vants embarquent pour l’Angleterre, traversée qui en-gloutit la ½ du pécule laissé par la grand-mère – Sur le pont, tous vomissent à qui mieux mieux – Descrip-tion apocalyptique – Au débarquement, les voyageurs se trompent de valise – Quelques kms sous la pluie – Retour immédiat par bateau – Le récit énorme du vo-yage que fait le père aux voisins du passage : « Il avait de la gueule tant que ça peut !... » (p. 134) – Le récit de leur passage à Londres, où ils n’ont pas mis les pieds ; le récit du naufrage, Auguste imitant les ac-cents de désespoir des naufragés [Auguste ressemble en cela à son frère Arthur !] – La mère Méhon qui ne supporte pas les talents de conteur « hénaurme » du père – Elle sombre dans la folie, et on l’enferme à Charenton

Ferdinand présente le certificat d’étude : son exami-nateur est un pharmacien de quartier – A la recherche d’une maison de commerce pour le futur apprenti vendeur : la présentation par Clémence de son fils à Monsieur Berlope, propriétaire des magasins du mê-me nom – Début d’amitié avec un autre apprenti, le petit André – Ferdinand fascine ce dernier avec le ré-cit des histoires du roi Krogold – Il est renvoyé sur l’avis du chef de rayon – Embauché dans la ciselure de bracelets, par le patron Gorloge dont les boucles d’oreille et les bracelets se révélaient tous « plus ca-cas les uns que les autres » - L’autre apprenti, Robert, voyeur qui montre à Ferdinand comment surprendre les ébats sexuels soit des patrons Gorloge, soit de la patronne et de leur ouvrier – Le porte-à-porte de Fer-dinand pour fourguer les « cacas » – Il entre dans un magasin de chinoisieries : s’ensuit la commande du mandarin chinois, de passage à Paris – Confection du bijou – Le départ de Gorloge pour accomplir ses 28 jours de service militaire – L’ouvrier Antoine en profi-te pour s’envoyer Dame Gorloge, la sodomise – Les épiciers réclament leurs dûs – La patronne entreprend Ferdinand mais, en plein ébat, s’arrange pour le dé-posséder du bijou en or façonné sur commande dont il avait la garde et qu’il avait cousu dans la doublure de l’un de ses vêtements – Le retour du patron – L’a-veu de la disparition du bijou – Gorloge dit tout ce qu’il sait aux parents : « Ils ont hurlé le pour et le contre, entre les crises et les furies… » (p. 195) – Le père s’épanche auprès de son propre patron, Lem-preinte

L’oncle Edouard propose un séjour en Angleterre – Le délire verbal d’Auguste [qui n’est pas sans m’évoquer le catastrophisme extravagant de ma petite maman] [Louis-Ferdinand Céline, en proie à la mauvaise cons-cience – conséquence du mépris incommensurable é-prouvé par son père –, a repris à l’encontre des Juifs le délire de haine extravagant de celui-ci à son en-droit] – Les adieux à la gare : le chagrin de la séparati-on

Ferdinand débarque à Folkestone – La fête foraine à la descente du train en gare de Rochester – Quelqu’un lui dégueule dessus car il est sur le quai, en contrebas – Gwendoline, la petite vendeuse de frites : « C’est une môme qui aimait l’étranger… » (p. 223) – Gwendoline l’emmène auprès d’une chiromancienne – Leurs adi-eux à la porte du Meanwell College – Est accueilli par le directeur de l’institution, Merrywin – Le pension-naire handicapé, Jonkind : « … il était ignoblement myope, il aurait renversé les taupes. » (p. 232) – Nora, la belle Nora – Ferdinand se mure dans le silence, et bien que, parfois, ce soit Nora qui s’adresse à lui – Merrywin écrit à ses parents – Les courses en ville : il accompagne Nora et le débile mental – Au hasard de leurs promenades, ils découvrent la construction d’u-ne pension concurrente, le Hopeful College – Sitôt ou-verte celle-ci, Merrywin perd ses pensionnaires les uns après les autres – La débandade – Merrywin ne fait même plus la classe : scène où il est seul dans sa chambre, devant la cheminée, jouant du bilboquet et sirotant du whisky – La liquidation des meubles de la pension Meanwell – La missive d’Auguste, avec le bil-let de retour [un morceau d’anthologie, qui est à reli-re absolument (pp. 271-275)] – Puis le télégramme : « Rentre immédiatement. » – La crise de sanglots de Nora – Le dernier dîner offert par Mr Merrywin et sa jeune femme – Les adieux de Nora qui se glisse dans le lit de Ferdinand – Son suicide

Les retrouvailles avec les parents « ratatinés » - La nouvelle ouvrière à façons qu’emploie Clémence, Ma-dame Jasmin – Ses muflées à l’absinthe – La jambe de Clémence, et son abcès au genou – Auguste et ses e-xercices de dactylographie – L’oncle Edouard [beau portrait du frère de Clémence], spécialiste des acces-soires de bicyclette – Ferdinand habillé d’un costume d’hiver, malgré la chaleur caniculaire – La tribu des crêve-la-faim et des chercheurs de boulot – Ferdinand passe ses journées au Musée de la Marine – La femme de ménage du couple parental, Hortense – Les voisins de l’impasse qui viennent dégoiser sur Ferdinand, au-près de sa mère – La crise du père (page 319) – L’abcès du genou maternel qui crève – Sa maman lui délègue un soir quelques courses : jambon, salade et cœurs à la crème ; mais Ferdinand s’empiffre aux Tuileries les cœurs et échange le reste – Les reproches du père, la violente algarade : Ferdinand lui balance à la tête sa machine à écrire, saute sur Hortense, et veut étran-gler Auguste – Les voisins parviennent à

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