Victor Hugo, Les Misérables, peut-on dire que Javert est un héros romantique?

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Plus le 2eme paragraphe avance plus les terme utilisé deviennent absurde, à la fin du paragraphe il y une comparaison entre l'inspecteur et le saint michel qui est l'archange qui a terrassé le diable, nous finissons alors ce paragraphe sur cette comparaison qui est la plus grosse des absurdité de ce texte, comment un humain peut être mis en même rang qu'un saint ? De plus, l'emploi du terme « Saint » est précédé d'un « ce » ce qui renvoie à une certaine forme de banalité face a sa grandeur divine.

Cette ultime comparaison fait preuve du plus grand des narcissisme et est la transition qui fait basculer le lecteur dans le dernier paragraphe qui lui traite des vices de cet inspecteur.

Ce dernier paragraphe est moins extraverti et expose humblement le fais que Javert n'est pas un dieu ou un héros et peut avoir certaine faille.

A la ligne 18, nous avons : « Javert effroyable, n'avait rien d'ignoble ». Cette phrase tout d'abord est étrange car elle seule sur une ligne et de plus cette phrase contraste énormément avec ce qui était dit au chapitre suivant en effet dans cette phrase Javert apparaît comme quelqu'un d'affreux alors qu'il a beaucoup de qualité. Egalement dans ce paragraphe nous pouvons constaté l'utilisation du champs lexical de la laideur : « Effroyable » ligne 18, « ignoble » ligne 18, « hideux »ligne 19, « horreur » ligne 20, ce qui insiste sur le fait qu'on nous somme plus dans le côté héroïque de la chose mais dans le côté sinistre.

Nous avons une apparition de mot « majesté » ligne 20 nous rappelant le champs lexical du paragraphe d'avant mais est de suite mit en quarantaine avec « persiste dans l'horreur », ce qui montre une fois de plus le fait que dans cette partie il n'y a plus rien de divin.

«L'impitoyable joie honnête d'un fanatique en pleine atrocité conserve on ne sait quel rayonnement lugubrement vénérable », cette phrase décrédibilise par l'utilisation du mot « fanatique » pour le décrire, ce mot le fait passé pour le méchant de l'histoire avec l'utilisation du mot « atrocité », qui implique qu'il s'obstine sur Jean Valjean afin de satisfaire sa volonté personnel alors qu'il est celui qui incarne la justice.

A la ligne 23, il est dit que : « Javert, dans son bonheur formidable, était à plaindre comme tout ignorant qui triomphe », cette phrase est d'une extrême violence à l’égard de Javert car elle le fait passer pour quelqu'un de naïf qui croit avoir réussi mais à tort car nous savons que plus tard dans Les Misérables Javert se suicidera pour avoir condamné un homme qui était bon et qui avait tout fait pour se racheter.

La dernière phrase est une comparaison qui résume la situation de Javert : « cette figure où se montrait ce qu'on pourrait appeler tout le mauvais du bon. Cette dernière phrase résume à merveille l'état de Javert noyé entre le mauvais et le bon sans véritablement savoir dans quelle eau il navigue.

Pour répondre à cette dernière question, je dirai qu'effectivement Javert peut très clairement être considéré comme un héros romanesque car il incarne des valeurs nobles qu'il identifie à celle de dieus. Il symbolise aussi la justice, justice qu'il suit aveuglement et à la qu'elle il voue un véritable culte quitte à poursuivre de mauvaises personnes, être considéré comme une personne ignorante et que « Ce sont des vertus qui ont un vice, l'erreur » ligne 21.

Je choisis de conclure sur cette phrase car à mon avis elle résume en tout point la seule erreur commise par Javert, erreur qui lui causera bien des peines...

Ainsi je finirai en me demandant qu'elles sont les raisons exact du suicide de Javert plus tard dans Les Misérables.

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