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Fiche complète de "Le Diable au corps"

Par   •  16 Octobre 2018  •  3 796 Mots (16 Pages)  •  838 Vues

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silence, exprimant une convention tacite, est mal compris par Marthe qui l’a représenté comme un silence hostile. Face au manque de visite de la part de l’adolescent, la jeune femme place un rendez vous afin de se réconcilier.

Le couple fini finalement par se pardonner sur un accord plutôt enfantin.

En jugeant le refus de la part de Marthe comme un manque d’amour, Jaque demande alors à cette dernière de venir le visiter à Bourges. Elle demande à ce que le narrateur l’accompagne mais celui-ci refuse, en se justifiant par la morale. Marthe décide donc de ne pas se rendre à Bourges.

Le jeune homme se rend rapidement compte qu’un lien se forme avec Marthe, les deux ne font que ce ressemblé de plus en plus.

Une période de trouble suit, ce qui annonce le fait que Marthe soit enceinte ; le narrateur, premièrement consterner par la nouvelle, commencera à aimer cet enfant malgré la peur que ce dernier puisse ruiner le couple.

Une deuxième permission approche et Marthe se voit obligé de partir. Sous regret du narrateur, leur dernière n’est marqué que par un fort sommeil de la part de ce dernier.

Lors de la permission, le narrateur se retrouve obligé à retrouver ses habitudes, malgré l’aide de son père. Pendant cette période, sa seule source de bonheur était le facteur apportant les lettres de Marthe. Le narrateur tente donc de cacher ces lettres et construit un certain respect pour ces lettres que représentent son amour. Il se contente finalement que Marthe soit en compagnie de Jaque, pouvant la défendre en tout cas.

Dans ces lettres, Marthe demande régulièrement au narrateur de faire visite chez-elle. Ce dernier accepte et rencontre par pur hasard Svéa, une jeune fille suédoise laquelle ne fréquentait plus Marthe à défaut de sa relation.

Un lien commence donc à se former entre les deux et ce sera chez Marthe que ces deux s’embrasserons mais le narrateur, rassasié et honteux de déshonorer d’un telle manière la demeure de Marthe décide de partir et de ne plus y venir.

À travers une lettre du propriétaire, Marthe découvre ensuite la tromperie du jeune homme, ce dernier convint Marthe à le croire et l’éloigne e l’idée de la tromperie. Le narrateur remet donc en question son amour et le libertinage, l’affligeant de plus en plus.

À l’arrivé de Marthe, le couple s’installe dans la maison de ses parents mais les sentiments du narrateur ne cessent de le troubler : il espère pouvoir faire face au libertinage et pense déjà à un futur avec son amante sans considérer le côté éphémère de ce dernier.

À couper ses tourments est Paul, cousin de Marthe et jeune aviateur dans l’armée.

Celui ci approuve le couple et dénigre Jaques pour son manque d’expérience ; en apprenant leur situation il leur propose une garçonnière à Paris mais, par timidité le couple refuse.

Étant le dernier train pour Paris partis, Marthe proposa gentiment de l’accueillir tout en faisant rester le narrateur. Ce dernier ce sens donc propriétaire de la maison et époux de Marthe.

Il commence tout de même à douter sur la grossesse de Marthe, il se rend effectivement compte qu’elle l’a annoncé à sa famille mais aussi à Jaques. C’est pour lui l’occasion de constater que son amante peut lui mentir.

Cependant, le narrateur ne cessent d’être tourmenter par ses pensés et, malgré les beaux moments passé avec elle, il se sent tel un vandale pour avoir marqué Marthe de la pire des façon : un enfant.

Au même moment, les parents du narrateur se rende compte de la grossesse de Marthe parle biais d’une lettre envoyé par celle ci. La mère considère trop jeune le narrateur pour être père et elle même trop jeune pour devenir grand mère. Pendant ce temps, son père essaye de le persuader à quitter Marthe mais en vain.

Mme. Grangier vient également À connaissance de la nouvelle, elle décide de ne rien dire par sentiment de vengeance sur son propre passé.

De leur côté, la famille de Jaques ne fait que douter d’une telle tromperie, ce qui provoque une forte jalousie de la part de sa sœur.

Dans les jours qui suivent, par acte de menace, le père admet avoir avoué à Jaques qu’il n’est pas le père de l’enfant ; le narrateur se sont alors soulagé. Mais ces sentiments ne feront pas long feu, en effet, le jour d’après, le père lui avoue son mensonge.

Le narrateur passe la plupart de ses nuits avec Marthe, jusqu’à inquiéter son père qui lui demande de passer une nuit chez lui. Le narrateur refuse, voulant passer une dernière nuit avec Marthe. Cependant, voulant se cacher de la domestique, il doivent trouver un hôtel où aller dormir, la recherche pour ce dernier se révèle être un supplice et, finalement par timidité du narrateur, le couple ne trouve aucune chambre et se sent obligé de retourner chez eux ; le narrateur se sent injuste ayant fait souffrir Marthe, enceinte.

Un sentiment de dépression envahi le narrateur et commence à penser à la mort comme étant la seule solution.

Ces sentiments accompagne ensuite un début de maladie de la part de Marthe qui, afin de ne pas inquiéter le narrateur, en parle comme d’un simple rhume. Tout de même la situation empire et Marthe se retrouve obligé de repartir vivre chez ses parents. Cette séparation bouleverse indirectement le lecteur et les relation entre les deux se raréfie : d’un côté les parents de Marthe, brulant les lettre du narrateur devant elle et de l’autre le narrateur, recevant des lettres presque illisible.

Le jeune homme pense alors à se distraire avec sa famille et vie peu de jour après l’armistice. Il décide alors d’aller fêter cela avec son père mais se retrouve rapidement ennuyé non seulement par la fête elle même mais aussi par le fait que le retour de Jaques signifiait qu’il n’aurait jamais peu revoir Marthe.

Une lettre arrive ensuite, de la part de Mme. Grangier réclamant une visite de toute urgence à sa fille, ce qui finalement se révèle être une fausse alarme.

À travers l’excitation de ses petits frères, il se rend compte tardivement que la nouvelle de son enfant s’est répandue.

Cependant, la naissance prématurée de l’enfant fait place aux doutes chez le narrateur qui, pensant que cet enfant soit finalement celui de Jaques, s’enrage et perd conscience de son amour. Il se calme ensuite et son amour pour Marthe et l’enfant prend place dans son cœur et, grâce à la complicité du docteur, Jaques ne doute de rien.

La foudre arrive

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