Althusius, fondateur du fédéralisme
Par Matt • 14 Novembre 2018 • 3 395 Mots (14 Pages) • 579 Vues
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Il devient élu au conseil des ancien et du consistoire local en 1617.
Il meurt en 1638.
Ces position d’acteur politique assez rare à l’époque le conduit à récrire la Politica méthodice digesta d’abord publié en 1603 :
- En 1614 : il developpe les chapitres sur l’organisation politique des villes et des provinces et la foncrtion des efforts. Rajoute le chapitre 38 sur le droit de résistance.
Il s’inscrit dans le courant humaniste, se réfère aux sources latines. Proche des auteurs de la seconde scolasitique, des dominicains.
Différence avec Luther, comme la seconde scolastique : Ils concidèrent comme eux que l’homme est par nature un être sociale appelé à vivre avec ces semblables pour accéder à une vie confortable et un bien être proprement humaien. Les hommes peuvent avoir des relations sociables stable et féconde par eux même. Le pouvoir n’a pas à contrôler la société mais simplement équilibrer les dvlpt qu’il engendre.
2 oppositions :
- Au volontarisme juridico politique et en particulier à Luther : la loi = expression impérative de la volonté du monarche, essentiellement de nature cohécitive, péché avec pervéti la nature humaine. Homme ne pouvait plus vivre ensemble -> prolongé par puffendorf
- Théoricine de l’absolutisme politique comme Jean Bodin, Cardin Lebret, Grégoire de Toulouse, Charles l’oiseau -> le souverain doit créer la société. Il doit posséder un pouvoir absolue indivisible et perpetuelle. Pour avoir unité dans république -> monarche doit avoir tout les droits de souveraineté, l’ensemble des compétences juridique
Les droits de souveraineté = « ame, esprit, cœur de la république ». Ils ne peuvent donc pas être retirer au peuple sans le rendre impuissant -> destruction de la société.
- La façon dont Althusius expose le cœur de la vie sociale
= la mise en partage des biens et des fonction -> condition de possibilité de la vie commune.
Pour Althusisu, ses contemporains ne voient pas qu’il faut comprendre le dvlpt de la vie sociale pour envisager le fonctionnemnt des orgnaes de pouvoir.
Il invente le terme de Communicatio, càd communciation universelle = république -> accentut la base de solidarité affective requise pour la vie collective. Consociatio = solidarité universelle.
Il décrit la politique comme étant symbiotique, symbios = symbiose, décrit la vie commune dans le consosciation universelle. La communicatio = gestion commun des droits, biens et services.
La vie politique se construit par interaction d’individus qui se répartisse les fonctions de la vie commune.
Pour lui la Politique est l’art d’établir, des cultiver et de conserver entre les homme les liens organique de la vie sociale ».
Échanges entre les hommes sont la base de la vie sociale = « lien organique qui permettra à la république de vivre heureuse et fleurissante ». Personne n’a les moyen seul de subvenir à ses besoins, de se protéger, de s’assurer une vie descente. Les H ont besoin des complaisance des autres pour vivre.
Importance à la façon dont la coordination des efforts humains parvient à assurer leurs autonomie. (4èparagraphe de la Politica).
Il mobilise donc le terme de Communicatio -> permet de rechercher la base de cette aptitude de cette coordination organiser, la vie sociale. Veut comprendre ce qui manifeste, explique la solidarité organique de la vie sociale.
Aptitude à l’échange = marque de l’humanité. Les H ont besoins de l’autre pour réaliser leurs expressions singulière. Les H sont des expressions singulière, unique.
Chaque H a reçu une don, une aptitude, une compétence particulière -> les besoins humains sont satisfait en rassemblant l’ensemble de ces compétences.
Complémentarité -> vie confortable et autonome. Dieu donne qualité à tous et non à un seul. Les hommes sont donc conduit à mettre en commun leurs aptitudes pour compenser leurs défauts grâce aux aptitudes des autres.
Seule vie sociale et po permet institution et consolidation de cette mise à disposition des différente compétence et du partage des différents bien. C’est pourquoi la communicatio est au centre de l’analyse po et de la vie sociale.
Solidarité organique visé par Althusius ne peut être atteinte que par la bonne gestion des aptitudes humaines. Une dynamique échange + partage -> créer la société.
La Politica découle de ce mouvement de don de soi et de réception des autres qui accompli l’humaine et créer la société humaine. Le Politique doit repérer zone de partage, le cultiver et les renforcer.
Une fois la coopération repérer, il faut l’analyse pour savoir où agir.
Il distingue 3 types de communicatio que l’analyste doit repérer et développer pour engendrer une république stable :
- La communicatio Rerum = mise en commun et partage des bien au sens large -> de tout ce dont les hommes ont besoin pour vivre. (vêtements, meubles, outils)
- Communication operarum = communicatio des fonction et des services -> répartition des activités professionnel en vue de satisfaire les besoins.
- Communciatio juris = communicatio des droits à l’ensemble des groupes organisé pour leurs permettent de réaliser leurs fonction ;
Les premiers livres sont consacré à l’étude de la communciatio. Communicatio = base de la vie sociale.
Grande importance au différent type de relation que peuvent nouer les hommes -> il faut supporter les personnes dans le besoin, aider le prochain avec ses conseils. Reconnaît l’importance de tout les métier pour assurer l’autonomie de la République. Distingue tous les métier au Chapitre 2. L’activité salariale est le cœur de la République -> concrétise les communcation entre les hommes. (maçon a besoin de l’architecte …)
Répartition des richesses et de biens + Partage des impots doivent prendre pour guide la capacité des hommes à s’assurer une vie autonome. Il n’est pas légitime de trop donner au riches -> engendre convoitise
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